dimanche 13 novembre 2011

Comprendre l'origine de la dette publique





8 commentaires:

Anonyme a dit…

Très clair.
Merci

Anonyme a dit…

mouais, j'suis plutôt d'accord, sauf que depuis le monde est monde, c'est comme ça... L'homme, des qu'il en a l'occasion, cherche à avoir plus, et peu importe au dépend de qui et ce depuis la nuit des temps. ça ne justifie, rien, certes. Néanmoins je pense que l'on vit pour la plupart beaucoup mieux qu'au XIeme siècle, ou la part des plus pauvres devait être, à la louche, d'au moins 95%. Et le peuple de gauche, qui croit pouvoir faire mieux que les autres, (bizarre que les pays communistes ont souvent fini en dictature -souvent, pas tout le temps- ), me fait doucement rigoler. C'est pas une raison pour ne pas essayer, bien sur, mais le ton moralisateur de celui ci, m'irrite un peu... Vous n'en avait cure, re-certes. Le chien aboi, la caravane passe...

Anonyme a dit…

attends!20:17, tu vas voir toute l'étendue du pouvoir de nuisance de l'homo erectus,Mr le désabusé qui dit que depuis que le monde est monde c'est comme ça.
Je pense,mais tu me diras si je me trompe,qu'il n'est plus question d'opposer le système communiste avec le système de libre échange,c'est bien plus tordu. C'est le grand retour de la dictature à la mode ORWELLIENNE que nous préparent en sous-main les banquiers fidèlement soutenus et renfloués par l'Europe.
Alors pour toi, c'est la résignation! et bien a mon avis tu vas pouvoir tester tout le spectre de tes propres émotions parce que cela ne fait que commencer, et si cela t'emmènes à l'indignation, c'est qu'il sera peut-être déjà trop tard.
Certes,les communistes n'ont pas inventé le fil à couper le banquier en deux,et n'ont pas de leçon de démocratie à donner quand on connaît l'histoire,mais les petits malins qui sont en ce moment aux commande du monde ont de grand dessins qui pourraient faire passer les purges de STALINE pour des petites bagarres de cour d'école.

Être résigné,c'est être mort sans même s'en rendre compte.

Anonyme a dit…

Merci.
A faire circuler et à mettre au menu des discussions lors des repas familiaux (fêtes de fin d'année obligent).

Pour répondre à 20:17, il n'y a pas de fatalité, et contrairement à ce qu'affirmait haut et fort la "dame de fer" dans les années" 80, il y a bien (au moins) une alternative possible à ce système dans lequel la monnaie est mise au service d'intérêts privés alors que par nature, elle est d'intérêt public !

Anonyme a dit…

Le problème c'est que le politique qui va se présenter avec la volonté de changer ce merdier ne pourra pas s'exprimer sur les antennes, dans les journaux, ....
Le pouvoir ils l'ont pris partout.

Va falloir passer par ailleurs pour expliquer, va falloir convaincre le peuple qui se fait laver la cervelle en permanence...
C'est pour ça que Montebourg a fait un bon score, même si on le fait passer pour un neuneu, même s'il n'a pas eu le temps de tout dire,.... nous on a senti qu'il essayait de mettre quelque chose sur la table.
C'est de toute façon trop lourd pour un seul homme. Il faut en mettre un en avant mais qu'il s'entoure de toutes les compétences pour mettre ce système en l'air en douceur si possible.

En ce moment la gauche m'emmerde carrément, le nucléaire chez les verts, Mélanchon qui déraille,..., ils ne pourraient pas nous faire quelque chose de plus malin.
C'est pas le moment de faire les finauds.
Hollande ne détient pas la vérité, les autres non plus, faut y aller tous ensemble et commencer par ce qui est urgent, vital. On est en guerre et il faut sauver notre peau.

Anonyme a dit…

Oui, 8:20. Le chemin est d'autant plus difficile que ce n'est pas un pays isolé qui peut bousculer cet état de fait.
Effectivement, avec des médias complices du silence, il n'est pas facile d'expliquer en quoi le système financier actuel nous amène dans une impasse.
Le pire est aujourd'hui le déni de démocratie, et cela ouvertement en mettant à la tête de la Grèce, de l'Italie et de la banque centrale européenne trois anciens employés de la sinistre banque Goldman Sachs, celle là même qui a maquillé les comptes de la Grèce au moment de son entrée dans la monnaie unique.
Vu que lors des consultations démocratiques il ne nous est pas demandé de nous prononcer sur ce sujet, il faut se mettre à interpeler nos élus, députés et sénateurs et réclamer que le pouvoir de création monétaire soit soumis au contrôle démocratique.
Il faut de plus garder en tête l'idée que ce ne sont pas ceux qui ont créé le problème qui seront capables de le résoudre !

Anonyme a dit…

le 20:17 est mort ! Mort dans sa tête ! Et il n'est pas seul ! Et c'est comme ça depuis que le monde est monde ! C'est avec des gars comme ça que les choses deviennent inéluctables ! Qu'on se bouche le nez pour ne pas sentir la "m...e" ! Qu'on s'accroche à la "pensée unique", qu'on ne veut surtout pas perdre ses petits privilèges personnels, qu'il y-a toujours plus malheureux que soi et qu'après tout, ce n'est pas mieux ailleurs !
La société n'a jamais progressé avec ces gens là, mais c'est comme ça depuis que le "monde est monde" ! Un seul espoir ? L'indignation ? La révolution ?

Anonyme a dit…

De 14 novembre 2011 20:17 à 15 novembre 2011 18:57
Ben oui, c'est ça faisons la révolution... ça vaut bien le coup, en Russie ils en rigolent encore... pour voir ou ils en sont maintenant, ça valait bien le coup de dégager le tsar. Va savoir si finalement c'était pas mieux avant. J'sais pas, les goulags ça devait être sympa. Moi, je suis mort mais toi tu as la foi... Comme si les révolutions changeaient les choses. Mais va y bat toi mon gars... ils en faut qui ont la foi, pour les connard comme moi qui sont des moutons égoïstes. Indignons nous les gars, construisons un monde meilleurs... J'y crois à mort. Défilons tous dans les rues pendons les. Ah non merde je m'emporte, on ferait pire qu'eux. Allez va, ça te reprendra avec que ça me reprenne.