Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
samedi 17 octobre 2020
vendredi 16 octobre 2020
Actuellement, on continue à nous maintenir dans l’idée d’une épidémie de cas positifs, sans victime, sans malade."
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Communication gouvernementale autour du Covid : au..." :
"Ce conditionnement à la peur, qui a fait prendre de si mauvaises décisions, a été couplé à une culpabilisation majeure et incessante. Celui qui ne respecte pas les consignes est responsable de l'aggravation des consignes restrictives, de la poursuite de l'épidémie, de la mort de ses proches. Cette culpabilisation se poursuit aujourd'hui au moyen de messages martelés dans tous types de médias intimant de ne pas embrasser ses proches ou recommandant des barbecues masqués entre amis car nous sommes des personnes responsables. Il faut protéger les plus fragiles, message louable mais cynique car il a conduit à infliger à nos aînés le pire, la privation de contacts et de soins.
Le détournement du sens des mots et l'introduction de mots nouveaux. Le chef de l'État a déclaré que nous étions en guerre. Nous n'avons jamais été en guerre mais cela a permis de faire passer facilement le principe de l'état d'urgence et d'imposer toutes les mesures sans concertation. De même une sémantique inconnue a progressivement colonisé notre langue pour devenir aujourd'hui banale. Il en est ainsi du cluster. Qui connaissait le mot ? A n'en pas douter peu d'entre nous. Le cluster s'est imposé et il est devenu une menace, un autre stimulus de la peur, car il semble savant donc « sachant ». Il ne désigne pourtant qu'un foyer de contagion (il existe d'autres significations en musique, informatique etc). Dans ce registre on peut également noter la confusion entretenue sciemment entre « cas positifs » et « malades ». Ne pouvant continuer à nous conditionner en égrainant quotidiennement les nombres des malades ou des victimes décédées, ces derniers diminuant, le chiffre des cas positifs est substitué, entretenant ainsi le sentiment de peur.
Actuellement, on continue à nous maintenir dans l'idée d'une épidémie de cas positifs, sans victime, sans malade."
Communication gouvernementale autour du Covid : autoritarisme, infantilisation et perversité. - Le Blog de jlduret
jeudi 15 octobre 2020
On paralyse le pays
On paralyse le pays
Parcequ'il n' y a pas assez de places dans les hôpitaux
(P.Pelloux)
Bien que ça ne couterait pas plus cher d' ouvrir des lits dans les hôpitaux en comparaison aux manques à gagner par les entreprises par la mise sous cloche de l'économie
Mais apeurer une population reste une solution très efficace
Pour étouffer une population qui en a « raz le bol » de ses élus qui se préoccupent plus de leurs carrières que d'être à l' écoute de leurs électeurs .
Et la sans évoquer toutes les malversations possibles mais pas que …
Constatations valables sur le plan mondial sauf de rares exceptions
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