samedi 5 octobre 2024

La démocratie

La démocratie 


Concept utilisé en « dents de scie »

Je pense que nos élus politiques ,  n’ ont pas compris  ou sont de mauvaise foi ou les deux 

Pendant les campagnes électorales et jusqu’aux élections 

Nos futurs élus surfent sur ce concept

Mais…mais…mais…

Une fois élu , tout est oublié 

Ils sont devenus tout à coup de véritables dictateurs ou trices entouré(e)s d’ une cour dévouée 

J’ ai aussi constaté régulièrement ce phénomène dans des associations


Et là, le mot démocratie n’ existe plus , on n’écoute plus les électeurs leur savoir absolu (des élus) est leur quotidien 


Lereboussierreboussier 

6 commentaires:

julian louis a dit…

le mot démocratie vient du grec ancien et signifie en gros " le pouvoir par le peuple " et le "peuple" qui pouvait voter était différent du corps électoral Français actuel : ni les femmes , ni les esclaves , ni les pauvres n'avaient ce pouvoir de voter ..
Dans le fond, l'humain a gardé une organisation clanique où la soumission à un chef est la règle ..

elton a dit…

Malheureusement c'est une problème mondiale et surtout humaine

Anonyme a dit…

Absolument d'accord ! Et c'est valable à gauche comme à droite !

Anonyme a dit…

"L'envers du décor à Béziers"

"Ce mode de communication politique, mis en place il y a quatre semaines, était présenté comme novateur par Robert Ménard. Les panneaux d'affichage public appartenant à la commune, celui-ci mettait aussi en avant le coût dérisoire pour les Biterrois (en dehors du manque à gagner publicitaire, les annonceurs extérieurs pouvant être intéressés par l'emplacement.)

Publiés en plus du journal officiel de la ville et en phase de test, les affichages de la majorité (une dizaine au total, renouvelable tous les mois) comportent tantôt des anecdotes prêtant à sourire, tantôt des informations jugées décontextualisées ou provocatrices par les élus d'opposition, principalement sur les questions sécuritaires. "M. Ménard nous a répondu que nous n'avions qu'à faire nos propres affiches, alors on l'a pris au mot", tacle l'élu écologiste.

Pour ce premier numéro de "La Pelle", Thierry Antoine a ainsi souhaité attirer l'attention sur les projets d'incinérateur ou de CRA (Centre de Rétention Administratif) de la ville. "Ces sujets ne sont presque jamais évoqués publiquement. Près 52% des enfants de moins de 11 ans vivent sous le seuil pauvreté à Béziers, c'est le record d'Occitanie (juste devant Perpigan, dans les Pyrénées-Orientales, ndlr). C'est pourquoi on estime qu'il y a par exemple mieux à faire que de créer des centres de rétention, où les gens sont au final rarement expulsés du territoire et finissent surtout à la rue en sortant."
(…)


https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/herault/beziers/a-la-base-c-etait-une-blague-en-reponse-a-l-appel-de-robert-menard-des-opposants-lance-un-nouveau-journal-intitule-la-pelle-3043570.html

Anonyme a dit…

Accusée d'être "toxique envers ses camarades"

"Pauline était l’une des meilleures élèves de sa classe. Alors qu’elle venait d’obtenir un prix d’excellence et un bulletin scolaire très élogieux en fin de première, ses parents ont été convoqués par le directeur. "On leur a dit que j'étais virée, parce que je ne correspondais pas à l'esprit de Stanislas, que j'avais été toxique envers mes camarades. J'ai été juste expulsée, comme ça, du jour au lendemain (...). Ç'a été un choc immense." Elle a été renvoyée juste avant les épreuves du bac de français.

Pauline vient de porter plainte contre trois responsables de Stanislas, dont le directeur de l’époque, pour discrimination. Deux associations de défense des droits LGBT ont également porté plainte pour discrimination. Pour les inspecteurs de l’Education nationale, "cette affaire témoigne de la méthode brutale employée par l’établissement pour écarter une élève brillante qui ne correspond plus à 'l’esprit Stan' et qui pourrait influencer d'autres jeunes". Mais ils n’ont pas considéré que Pauline avait été victime d’homophobie, et n’ont pas saisi le procureur de la République. Caroline Pascal, qui a supervisé l’inspection de l’Education nationale, assure que sur l’ensemble de 94 témoignages recueillis, ”nous n’avons extrait aucun élément caractérisé qui permettait de dire que l’établissement avait un comportement homophobe”.

"Complément d’enquête" a pourtant collecté une dizaine de témoignages d'anciens élèves homosexuels. Ils vont tous dans le même sens. "A la cantine, les élèves disaient tout le temps : 'Les homos nous font chier, les gays nous dégoûtent'..." ; "Le soir, je priais [pour] réussir à ne pas être homosexuelle. On nous le répétait au catéchisme, dans les conférences : 'Oui, on peut aller contre sa sexualité'.'" ; "Un jour, un censeur-directeur m'a parlé des thérapies de conversion."

La direction de l'établissement récuse totalement et fermement les accusations de discrimination et d'homophobie.

Extrait de "Stanislas : les dérives d'une école d'excellence(Nouvelle fenêtre)", un document à voir dans "Complément d'enquête" le 10 octobre 2024."


https://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/complement-d-enquete/video-renvoyee-de-stanislas-pour-avoir-porte-un-pull-qui-ressemblait-au-drapeau-lgbt-une-ancienne-eleve-temoigne-pour-la-premiere-fois-dans-complement-d-enquete_6827570.html

Anonyme a dit…

https://www.lemonde.fr/politique/article/2024/10/09/hugo-prevost-depute-de-l-isere-accuse-de-violences-sexuelles-annonce-sa-demission_6347680_823448.html