"Ce qui fait tiquer Philippe Moreau Chevrolet, spécialiste en communication politique et enseignant à Sciences Po. « Les émotions qui traversent les personnages sont sincères, violentes et négatives. Elles sont tournées contre le Président presque plus que contre sa décision. On sent du mépris dans le regard de Gabriel Attal par exemple », décrypte pour Le HuffPost le fondateur de l’agence MCBG Conseil.
Le communicant pointe en miroir la « légèreté » liée à la diffusion, voire à l’existence même, de ces clichés. « Comme si on voulait absolument être à l’image d’une séquence qu’on sait historique. La légèreté, c’est d’avoir photographié cette séquence comme si c’était une opération d’image alors précisément qu’elle était vitale pour les personnes qui sont en face du Président », déplore Philippe Moreau Chevrolet.
Avant d’insister : « Il n’y a pas de surmoi. Il n’y a pas de contrôle. Il n’y a pas d’autocensure. Cette photo est inquiétante par son contenu mais aussi par le simple fait qu’elle existe ». On serait tenté d’en dire de même de la décision prise par Emmanuel Macron, plongeant l’avenir politique du pays dans un inconnu anxiogène."
1 commentaire:
AUTRE FABLE MACRONIQUE...
« Du mépris dans le regard d’Attal »
"Ce qui fait tiquer Philippe Moreau Chevrolet, spécialiste en communication politique et enseignant à Sciences Po.
« Les émotions qui traversent les personnages sont sincères, violentes et négatives. Elles sont tournées contre le Président presque plus que contre sa décision. On sent du mépris dans le regard de Gabriel Attal par exemple », décrypte pour Le HuffPost le fondateur de l’agence MCBG Conseil.
Le communicant pointe en miroir la « légèreté » liée à la diffusion, voire à l’existence même, de ces clichés. « Comme si on voulait absolument être à l’image d’une séquence qu’on sait historique. La légèreté, c’est d’avoir photographié cette séquence comme si c’était une opération d’image alors précisément qu’elle était vitale pour les personnes qui sont en face du Président », déplore Philippe Moreau Chevrolet.
Avant d’insister : « Il n’y a pas de surmoi. Il n’y a pas de contrôle. Il n’y a pas d’autocensure. Cette photo est inquiétante par son contenu mais aussi par le simple fait qu’elle existe ». On serait tenté d’en dire de même de la décision prise par Emmanuel Macron, plongeant l’avenir politique du pays dans un inconnu anxiogène."
https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/dissolution-la-mine-de-gabriel-attal-sur-les-photos-a-l-elysee-de-dimanche-soir-resume-l-etat-du-pays_235424.html
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