mercredi 12 juin 2024

Cherchez l’ erreur !

 


4 commentaires:

Anonyme a dit…

Le Premier Communiant qui sur ses affiches avait une posture christique ?
Voilà t-il pas qu'il propose de faire alliance avec le groupe LIOT pour les législatives. Sacrée la bonhomie !

julian louis a dit…

au milieu légèrement sur la gauche de l'écran !

Anonyme a dit…

"C’est pour bientôt. Au terme d’une première journée marathon de négociations, mardi 11 juin, socialistes, « insoumis », communistes et écologistes se sont mis d’accord sur les volumes de circonscriptions octroyés à chaque formation en vue des élections législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet. Avec le programme, il s’agit du nerf de la guerre dans les tractations à gauche. Au lendemain d’un conseil national du Parti socialiste (PS) qui aura préféré reporter le vote sur le projet d’accord pour un « front populaire » à gauche, les partis se sont entendus sur des chiffres globaux.

La France insoumise (LFI), qui était candidate dans 326 circonscriptions en 2022, a revu sa copie à la baisse sous la pression des résultats des européennes. Les « insoumis » candidateront désormais dans 229 circonscriptions. Le Parti socialiste, qui était parti avec 70 candidats il y a deux ans, en présentera désormais 175. Cette centaine supplémentaire est le reflet d’un nouveau rapport de force, tiré du score de 13,8 % de la liste PS-Place publique menée par Raphaël Glucksmann aux élections européennes, par opposition à 2022, quand Anne Hidalgo avait obtenu 1,75 % à l’élection présidentielle.

Les Verts, 100 circonscriptions en 2022, en auront 92 cette année. Le Parti communiste, quant à lui, garde son petit quota de 50 circonscriptions. Les discussions se font sur la base de 546 circonscriptions (sur 577 en France), et elles excluent les outre-mer et la Corse.

« La bannière LFI pose problème »

Les circonscriptions où les partis détiennent un ou une députée sortante sont reconduites dans l’accord. Charge au parti de maintenir le même candidat ou d’en changer selon leur souhait. La question pourrait par exemple se poser pour Julien Bayou, député écologiste de Paris, démissionnaire d’Europe Ecologie-Les Verts, à la suite des accusations de harcèlement de son ex-compagne, et alors qu’une enquête interne est toujours en cours.

En revanche, les discussions se poursuivent sur le profil des candidats circonscription par circonscription en dehors des territoires déjà conquis. Au Parti socialiste, les opposants au premier secrétaire, Olivier Faure, informés dans la matinée du résultat de l’accord, maintiennent la pression sur lui. « LFI garde les meilleures circonscriptions et le PS aura le reste », s’énerve un protagoniste. La reconduction des sortants induit de maintenir le député LFI du Nord Adrien Quatennens, condamné pour violences conjugales, et les trois élues LFI de Paris, Danièle Obono, Danielle Simonnet et Sophia Chikirou, considérées comme des « repoussoirs pour notre électorat ». Pourtant, à Paris, dans deux circonscriptions de l’Est, c’est bien LFI qui arrive en tête."
(…)


https://www.lemonde.fr/politique/article/2024/06/12/elections-legislatives-2024-dans-le-cadre-du-front-populaire-les-partis-de-gauche-actent-une-premiere-repartition-des-circonscriptions_6239132_823448.html

Anonyme a dit…

"M. Rousseau avait claqué la porte du gouvernement, fin décembre 2023, pour manifester son désaccord avec le projet de loi sur l’immigration porté par Gérald Darmanin, dont il contestait l’orientation droitière. « Cela touche aux murs porteurs. Je ne donne de leçons de gauche ou de morale à personne. Je constate cliniquement que ce n’est pas possible pour moi d’expliquer ce texte », s’était-il alors justifié auprès du Monde.

Emmanuel Macron, avec lequel les échanges avaient été extrêmement tendus au moment de son départ, n’avait d’abord pas voulu accepter sa démission, redoutant que celle-ci ouvre un front au sein de sa majorité, très ébranlée par les débats autour de cette loi. Jusqu’au dernier moment, le président de la République avait pensé que son ministre de la santé se rendrait le 20 décembre, comme tous les mercredis, dans le salon du rez-de-chaussée de l’Elysée, où se tenait le conseil des ministres. Il avait même donné instruction que le carton mentionnant le nom de M. Rousseau soit placé, comme d’habitude à sa place, sur la nappe feutrée. Las. L’investiture de l’ex-ministre par le bloc de gauche, violemment critiqué par M. Macron lors de sa conférence de presse mercredi, est un nouveau désaveu pour la Macronie, en difficulté dans les premiers sondages.

« Résister à l’extrême droite passe par la dynamique à gauche »

Dimanche 9 juin, la liste de Jordan Bardella est arrivée en tête dans le département des Yvelines, avec 20 % des voix, devant les listes de Valérie Hayer (18 %), de Raphaël Glucksmann (14 %) et de Manon Aubry (12 %). « L’extrême droite est aux portes du pouvoir, il faut prendre ses responsabilités », explique Aurélien Rousseau, joint par Le Monde, justifiant son engagement dans cette campagne et son retour dans le giron de la gauche, par cette « situation inédite ». Il confirme ne plus se reconnaître dans le « virage à droite » pris par le gouvernement de Gabriel Attal, qui souhaite toujours faire passer par décret la réforme de l’assurance-chômage. « Résister à l’extrême droite passe par la dynamique à gauche », poursuit M. Rousseau."
(…)


https://www.lemonde.fr/politique/article/2024/06/14/legislatives-2024-l-ancien-ministre-de-la-sante-aurelien-rousseau-investi-sous-la-banniere-du-nouveau-front-populaire_6239989_823448.html