mercredi 19 juin 2024

Législatives : « Un Front populaire d’extrême gauche », l’argument risqué (et trompeur) de la Macronie

https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/legislatives-un-front-populaire-d-extreme-gauche-l-argument-risque-et-trompeur-de-la-macronie_235660.html



4 commentaires:

Anonyme a dit…

LE BARON DE LA DROITE EN SAL(L)E URGENCE !

"Dans cette période trouble au sein même de sa famille politique, le baron de la droite prend la parole. À quelques jours du premier tour des élections législatives anticipées, l’ancien Premier ministre François Fillon étrille « l’extrême gauche » dans une tribune publiée dans Le Figaro ce mardi. Il y affirme que « l’extrême gauche qui menace l’unité nationale doit être implacablement sanctionnée par les urnes. »

L’ex-Premier ministre, en attente de son nouveau procès, assure cependant continuer « à penser que l’extrême droite, malgré sa mue, n’est pas en mesure de redresser notre pays. »
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https://www.leparisien.fr/elections/legislatives/legislatives-anticipees-francois-fillon-affirme-que-lextreme-gauche-doit-etre-sanctionnee-par-les-urnes-18-06-2024-W7PXNDAJYFFC3DPX3KX6WQIIYE.php

Anonyme a dit…

Aux abois, le chef de l’Etat sort le gros rouge qui tache.
"Et dans le cadre de cette campagne pour les élections législatives, que sa délétère décision de dissoudre l’Assemblée nationale a déclenchée, c’est particulièrement irresponsable alors que le RN est plus que jamais aux portes du pouvoir. En déplacement hier sur l’île de Sein (Finistère), Emmanuel Macron a clairement fait du Nouveau Front populaire sa cible, en le diabolisant avec des mots excessifs et même choquants, tout droit sortis du vocable d’extrême droite. Laquelle ne peut que profiter d’une telle stratégie qui vient de fait valider sa proposition politique. A tel point qu’on se demande bien à quel jeu pervers joue le locataire de l’Elysée."
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https://www.liberation.fr/politique/transphobie-diabolisation-de-la-gauche-immigrationniste-emmanuel-macron-agent-electoral-du-rn-20240619_BOZMUDTWVJCNDGWZY2SWHJMIXY/

Anonyme a dit…

"Jeudi 13 juin, sur France 2, Eric Ciotti promettait 80 circonscriptions LR-RN. Un chiffre revu à la baisse, puisque 62 candidats ont été investis par le (toujours pas exclu) président des Républicains, avec le soutien du Rassemblement national. Interrogé lundi soir, sur France 2 à nouveau, à propos du différentiel entre sa promesse de «80 candidats venus de LR», et les 62 finalement alignés sur la ligne de départ, Eric Ciotti a objecté que «l’essentiel, c’est [d’avoir] bâti cette alliance».

Mais au-delà du nombre, c’est aussi le profil des candidats, supposément venus de LR, qui interroge depuis quelques jours. Sur ce point, Eric Ciotti s’est voulu affirmatif, déclarant que «tous sont adhérents aux Républicains». Ce qui ne veut rien dire du tout. En effet, un proche d’Eric Ciotti confirme que l’adhésion aux Républicains était «un critère préalable à toute candidature», et donc qu’«il était impossible de candidater sans prendre de carte LR». Ce qui ne signifie pas que les candidats avaient leur carte… avant de devoir la prendre. De fait, certains s’étaient engagés en politique sous d’autres couleurs, quand d’autres n’avaient jamais milité."
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https://www.liberation.fr/checknews/les-62-candidats-de-lalliance-lr-rn-sont-ils-tous-adherents-aux-republicains-comme-le-dit-ciotti-20240619_X4L52B6EGRAMLO7ANUV7FV2SCQ/

Anonyme a dit…

BARDELLA ET ATTAL BATTENT LA CAMPAGNE...

"Jean-Luc Mélenchon a dit lui-même qu'il ne s'imposerait pas"

"Pour contrer la crainte que peut susciter Jean-Luc Mélenchon, les candidats ont chacun leur technique. Une écologiste assure faire beaucoup de "pédagogie" : "On est quatre partis et Jean-Luc Mélenchon a dit lui-même qu'il ne s'imposerait pas". Hors LFI, les candidats martèlent d'ailleurs que Jean-Luc Mélenchon ne sera pas Premier ministre. Des socialistes tentent aussi de rassurer en rappelant que le PS a 100 candidats de plus qu'en 2022, et LFI 100 de moins, ou qu'il "vaut mieux LFI minoritaire dans une coalition de gauche au pouvoir que Jordan Bardella à Matignon". L'argument du rempart à l'extrême droite est évidemment le plus utilisé. "Cette alliance, c'est un mal nécessaire", résume un élu. Des candidats communistes, eux, prennent le parti de parler des "frigos vides", et mettent en avant le programme sur les hausses de salaires, le retour des services publics... plutôt que de parler tête d'affiche."


https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-brief-politique/legislatives-2024-sur-le-terrain-l-image-de-jean-luc-melenchon-pese-sur-de-nombreux-candidats-du-nouveau-front-populaire_6589113.html