samedi 1 juin 2024

Européennes 2024 : Y a-t-il un conflit d’intérêts entre Pfizer et Ursula von der Leyen ?

https://www.20minutes.fr/politique/4093327-20240531-europeennes-2024-conflit-interets-entre-pfizer-ursula-von-der-leyen


 

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Violences domestiques et IVG

« Alors même que Jordan Badella fait campagne sur l’accès à une électricité moins chère, l’intégralité de son groupe s’abstient en septembre 2023 sur un texte incitant à prendre en compte la dimension de genre dans la crise énergétique », souligne encore Avaaz auprès du HuffPost.

L’ONG rappelle aussi que les troupes lepénistes ont choisi l’abstention lorsqu’il a été question de se pencher sur le harcèlement sexuel dans l’Union européenne et sur l’évaluation de MeToo. Et quand il s’agissait de lutter contre le harcèlement sexuel au sein du Parlement européen, le RN a voté encore contre. Autre exemple mis en avant, le refus du Rassemblement de ratifier la Convention d’Istanbul, autrement appelée « Convention du Conseil de l’Europe sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique ».

Là encore, le RN s’est abstenu, alors même que ce traité consacre des avancées majeures, fixant des normes juridiquement contraignantes pour prévenir et lutter contre les violences envers les femmes (comme l’obligation de la reconnaissance des féminicides)."
(…)


https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/au-parlement-europeen-jordan-bardella-et-le-rn-ont-rate-le-train-du-droit-des-femmes_234819.html

Anonyme a dit…

Une Danoise à la tête du Conseil européen?

"Dernière grande institution européenne, et nouvelles tractations pour la présidence du Conseil européen, l’organisation qui réunit les 27 chefs d’Etat de l’UE. Ce poste a surtout un poste de médiateur, tout en assurant un rôle de représentation internationale pour l’union.

Un rôle loin d’être simple lorsqu’on connaît toutes les divergences qui peuvent exister entre les différents pays européens sur de nombreux sujets. Un simple veto permet à un seul Etat membre de bloquer bon nombre de décisions au Conseil, notamment en matière de politique étrangère. Un exemple parfaitement illustré par le long blocage, par la Hongrie de Viktor Orban, de l’aide de l’UE à l’Ukraine, qui aura mis plusieurs semaines à être levé.

Depuis 2019, c’est Charles Michel qui occupe ce poste, désigné par les chefs d’Etat de l’UE et renouvelé tous les deux ans et demi. Mais avec déjà deux mandats, l’ancien Premier ministre belge ne pourra être reconduit, selon les règles européennes. Pour sa succession, peu d’informations ont circulé jusqu’ici. Un nom revient néanmoins plus souvent que les autres : la Première ministre danoise, Mette Frederiksen. Issue du camp socialiste, particulièrement impliquée sur le dossier ukrainien mais également tenante d’une ligne très ferme sur l’immigration dans son pays, celle-ci pourrait faire office d’efficace juste milieu entre les différentes sensibilités politiques des gouvernements européens."



https://www.lexpress.fr/monde/europe/elections-europeennes-cette-autre-bataille-qui-se-joue-en-coulisses-PFIOF5QN5VHZNDOKYOF5NTKNLU/