POLITIQUE - "Premières escarmouches. Public Sénat organisait, ce jeudi 14 mars au Parlement européen, le premier débat entre les candidats français aux élections européennes du mois de juin. Étaient réunies, à Strasbourg, toutes les têtes de liste des principaux partis (ou presque). Car pour le Rassemblement national, c’est l’eurodéputé Thierry Mariani qui représentait Jordan Bardella.
Le président du parti d’extrême droite, largement en tête dans les intentions de vote selon les sondages, a effectivement été le seul à refuser de se prêter à l’exercice. De quoi inspirer à Manon Aubry, la cheffe de file des insoumis, une première pique, dès le début des échanges.
« On n’est pas condamnés à nous voir imposer le duo entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen ou Jordan Bardella qui, manifestement, même au bout de cinq ans n’a pas trouvé le chemin du parlement européen », a-t-elle fustigé, comme vous pouvez le voir ci-dessous, en référence à l’absentéisme de l’eurodéputé RN, brocardé depuis le début de la campagne pour sa transparence à Strasbourg." (…)
"Au tour de Manon Aubry d’entrer dans la danse. Après les écologistes il y a plusieurs mois déjà, les macronistes et le Rassemblement national, les insoumis organisent ce samedi à Villepinte (Seine-Saint-Denis) leur «convention», synonyme de lancement de campagne pour les européennes. Outre les traditionnels discours des cadres et de la cheffe de file, est notamment attendue l’annonce des deux derniers candidats de la liste, présentés comme des «surprises» par la direction de LFI. «Ce qui joue c’est : est-ce qu’on continue cette marche vers le chaos ou est-ce qu’on se donne la force de tout changer ?» résume Manon Aubry auprès de Libé." (…)
"Durant la campagne présidentielle argentine, Javier Milei, le président d’ultradroite élu en décembre, avait promis, entre autres douceurs, de s’en prendre à la culture en général et au cinéma en particulier en supprimant les financements publics. Le projet initial, surnommé «loi omnibus», envoyé au Congrès en février prévoyait déjà la suppression des fonds destinés à l’Institut national du cinéma et des arts audiovisuels (Incaa) et des coupes sombres dans le budget des organismes chargés de la promotion de la création artistique (théâtre, édition, musique…). Devant les récriminations d’une industrie qui génère 700 000 emplois, à la production foisonnante (204 longs métrages en 2022), le gouvernement Milei avait fait mine de reculer en promettant de «protéger les ressources du secteur». En réalité, il n’en a jamais été vraiment question. En nommant Carlos Pirovano, un financier proche du pouvoir à la tête de l’Incaa, le nouveau chef de l’Etat argentin envoyait un message des plus clairs." (…)
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POLITIQUE - "Premières escarmouches. Public Sénat organisait, ce jeudi 14 mars au Parlement européen, le premier débat entre les candidats français aux élections européennes du mois de juin. Étaient réunies, à Strasbourg, toutes les têtes de liste des principaux partis (ou presque). Car pour le Rassemblement national, c’est l’eurodéputé Thierry Mariani qui représentait Jordan Bardella.
Le président du parti d’extrême droite, largement en tête dans les intentions de vote selon les sondages, a effectivement été le seul à refuser de se prêter à l’exercice. De quoi inspirer à Manon Aubry, la cheffe de file des insoumis, une première pique, dès le début des échanges.
« On n’est pas condamnés à nous voir imposer le duo entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen ou Jordan Bardella qui, manifestement, même au bout de cinq ans n’a pas trouvé le chemin du parlement européen », a-t-elle fustigé, comme vous pouvez le voir ci-dessous, en référence à l’absentéisme de l’eurodéputé RN, brocardé depuis le début de la campagne pour sa transparence à Strasbourg."
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https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/elections-europeennes-bardella-absent-du-premier-debat-aubry-n-a-pas-pu-refrener-cette-moquerie_231245.html
DUPONT ET DUPONT EN ÉCHO !
"Au tour de Manon Aubry d’entrer dans la danse. Après les écologistes il y a plusieurs mois déjà, les macronistes et le Rassemblement national, les insoumis organisent ce samedi à Villepinte (Seine-Saint-Denis) leur «convention», synonyme de lancement de campagne pour les européennes. Outre les traditionnels discours des cadres et de la cheffe de file, est notamment attendue l’annonce des deux derniers candidats de la liste, présentés comme des «surprises» par la direction de LFI. «Ce qui joue c’est : est-ce qu’on continue cette marche vers le chaos ou est-ce qu’on se donne la force de tout changer ?» résume Manon Aubry auprès de Libé."
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https://www.liberation.fr/politique/elections/manon-aubry-bardella-et-hayer-sont-les-dupond-et-dupont-du-chaos-20240315_JX3ACJXTQRGUPFPSWRRAZZIDNE/
MILEI ET PIRONAVO LES INCAA.S DE L'OMNIBUS
"Durant la campagne présidentielle argentine, Javier Milei, le président d’ultradroite élu en décembre, avait promis, entre autres douceurs, de s’en prendre à la culture en général et au cinéma en particulier en supprimant les financements publics. Le projet initial, surnommé «loi omnibus», envoyé au Congrès en février prévoyait déjà la suppression des fonds destinés à l’Institut national du cinéma et des arts audiovisuels (Incaa) et des coupes sombres dans le budget des organismes chargés de la promotion de la création artistique (théâtre, édition, musique…). Devant les récriminations d’une industrie qui génère 700 000 emplois, à la production foisonnante (204 longs métrages en 2022), le gouvernement Milei avait fait mine de reculer en promettant de «protéger les ressources du secteur». En réalité, il n’en a jamais été vraiment question. En nommant Carlos Pirovano, un financier proche du pouvoir à la tête de l’Incaa, le nouveau chef de l’Etat argentin envoyait un message des plus clairs."
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https://www.liberation.fr/culture/cinema/en-argentine-le-president-javier-milei-entame-la-demolition-du-cinema-20240315_HPT4XTGBJZDU7KZQZW5Y7TVLVA/
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