mercredi 19 juillet 2023

Ce lundi matin, Eric Dupond-Moretti et Gérald Darmanin ne savent pas quoi faire d’eux-mêmes.

Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Un remaniement ? La belle affaire, tout le monde s'en moque – Libération" :

Fenêtre d'Overton

"Ce lundi matin, Eric Dupond-Moretti et Gérald Darmanin ne savent pas quoi faire d'eux-mêmes. Ils rejoignent Elisabeth Borne pour un point presse sur la sécurité routière et constatent qu'il n'y a que deux pupitres sur l'estrade à Matignon. Un pour la Première ministre, bien installée, et «un pupitre pour deux», glisse-t-elle, hilare, à ses ministres de la Justice et de l'Intérieur. «Ben, on n'est pas premiers ministres !», réplique Dupond-Moretti. Et Darmanin de rire jaune. Devant les caméras, le voilà condamné à faire de la figuration à côté de celle qu'il espérait encore remplacer quelques jours plus tôt. C'est qui, la patronne ?"

https://www.liberation.fr/politique/darmanin-premier-ministre-comment-la-fenetre-sest-refermee-20230718_ZUWSJRIF2NGPXKGKXLI5IVTZTU/

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Consulting versus franquismo en Espagne

"Ils sont sortis d’un des clubs privés les plus huppés de la capitale espagnole, rue Jorge Juan, pour aller siroter un café avant d’entamer un après-midi de travail dans leur entreprise de consulting. Trois hommes d’une quarantaine d’années, chemise bleue, pantalon resserré, cheveux noir tirés en arrière. A la seule mention de «sanchismo», ils ont un haut-le-cœur, suivi d’une moue de dégoût. «C’est le pire qu’on puisse imaginer de notre pays. Tout ce que je déteste», dit l’un. «Le sanchismo, c’est le mensonge, le mensonge et le mensonge», renchérit le deuxième. «C’est toute la faiblesse de l’Espagne, sa médiocrité, sa capacité à se détruire et à se haïr», éructe le troisième. Avant de prendre congé, ils assurent qu’ils iront voter soit pour la droite conservatrice du Parti populaire (PP), soit pour Vox, le parti d’extrême droite, «dans l’espoir que l’Espagne ne sombre pas dans la faillite»."
(…)


https://www.liberation.fr/international/europe/legislatives-en-espagne-a-madrid-les-quartiers-huppes-tentes-par-lextreme-droite-20230719_22FSK3U74RGOJLCJVHGE3X7RBA/

Anonyme a dit…

PRÉFECTORALE ET FAIT DU PRINCE

Malaise et proximité politique

"Autre facteur de grogne : en rompant avec le processus d'une « carrière » jusque-là très normée, les nouveaux préfets risquent d'être davantage choisis en fonction de leur proximité politique, alors qu'autrefois, même si « la part du prince » était une réalité sur ces nominations, il était difficile pour un gouvernement de droite, par exemple, de faire une chasse aux sorcières et de limoger des préfets proches de la gauche.

Le corps veillait à l'équilibre et pouvait souvent faire de la résistance contre les politiques qui ne respectaient pas les carrières des uns et des autres ou pour faire barrage aux grands élus régionaux qui rêvaient de choisir eux-mêmes « leurs préfets ». Signe du changement, les récentes nominations, celles du 13 juillet, ont d'ailleurs fait l'objet d'un interminable va-et-vient de plusieurs mois entre Beauvau et l'Élysée.

Le malaise est d'autant plus important que, ces deux dernières décennies, le corps des préfets a connu une invraisemblable inflation. Entre 1990 et 2023, leur nombre est passé de 180 à… plus de 340 ! Alors qu'en même temps, la décentralisation aidant, le nombre des fonctionnaires dans les préfectures est passé de 50 000 à 25 000.

Avant la fin de l'année, les préfets et sous-préfets devront choisir entre rester dans ce corps en extinction ou rejoindre d'autres administrations. De fortes incitations financières ont été mises en place pour les pousser à sauter le pas – selon nos informations, début juillet, moins de la moitié des préfets ont accepté de renoncer à leur titre. Mais sans faire diminuer la colère dans la préfectorale."


https://www.lepoint.fr/politique/la-liste-des-nouveaux-prefets-suscite-des-rancoeurs-20-07-2023-2528975_20.php

Anonyme a dit…

Comment terminer le RN en 1min31
La Philature



https://youtu.be/d7qmnDTWOx8



Intervention d'Antoine Léaument le 13 juillet 2023 à l'Assemblée nationale.