lundi 19 juin 2023

Patrick Pouyanné tacle Élisabeth Borne après ses mots sur l’AG de TotalÉnergies perturbée

https://www.huffingtonpost.fr/environnement/article/patrick-pouyanne-tacle-elisabeth-borne-apres-ses-mots-sur-l-ag-de-totalenergies-perturbee_219392.html

2 commentaires:

Anonyme a dit…

La Dernière Bataille des Soulèvements ? Nouveau track ARVAL 🔥
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https://youtu.be/sw5HNcTgt58




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Toute la bande son de cette vidéo est fait par 20syl, vraiment allez écouter, c'est un génie :

/ @20syl

Sources et articles à lire :
Le post des @lessoulevementsdelaterre1099 sur le Lyon Turin : https://www.instagram.com/p/CtipCxbA7gF/
La liquidation du Fret SNCF : https://www.sud-rail.fr/actualites/c/...
La dissolution des Soulèvements :
https://www.mediapart.fr/journal/fran...
https://www.mediapart.fr/journal/fran...

Anonyme a dit…

Le spectre d’une procédure bâillon

"La société a aussi attaqué dans une procédure parallèle la CGT commerce et services pour une occupation de la Samaritaine le 22 décembre dernier. Dans les deux cas, elle explique saisir la justice pour éviter que la Samaritaine ne devienne un lieu de rendez-vous de la contestation. Pour s’en prémunir, Maître Louvet a demandé une astreinte de 2000 euros contre tout militant qui tenterait une nouvelle action.

« C’est une procédure bâillon », estime de son côté Jean-Baptiste Eyraud, porte-parole du DAL. Il en veut pour preuve la volonté de DFS de taper les organisations aux porte-monnaie, en exigeant d’elles le remboursement de ses frais d’avocats à hauteur de 10 000 euros. « C’est peut-être une volonté à peine dissimulée de faire taire des associations qui critiquent ouvertement des politiques dont la société DFS est bénéficiaire » a d’ailleurs estimé leur avocat maître Mattéo Bonaglia.

À la barre, ce dernier a expliqué que l’action mise en cause n’avait porté atteinte ni à la liberté du commerce, ni à celle du travail, ni même à la sécurité. Aux descriptions d’une action violente et effrayante par son collègue, il a répondu par le récit d’une intervention brève et bon enfant, menée par des militants sortis tout de suite du bâtiment sans même que la police n’ait été appelée. « La banderole déployée ne disait pas “déchaînons notre violence”, comme l’a dit l’avocat de la société plaignante, mais “le 16 février déchaînons notre colère” en référence à une journée de mobilisation intersyndicale contre la réforme des retraites ».
(…)


https://www.humanite.fr/societe/bernard-arnault/bernard-arnault-attaque-des-associations-de-pauvres-en-justice-800800