dimanche 19 mars 2023

Réforme des retraites : Heurts à Paris pour le troisième soir, manifestations dans plusieurs villes de France

https://www.20minutes.fr/societe/reforme_des_retraites/4028538-20230319-reforme-retraites-heurts-paris-troisieme-soir-manifestations-plusieurs-villes-france

2 commentaires:

Anonyme a dit…

La "motion" ci-dessous vient d'être déposée par le ministre de l'Intérieur!...

« Toucher un parlementaire, c’est toucher à la République. »

"Après le recours au 49.3 consigne a été passée par le ministre de l’Intérieur de renforcer la sécurité des élus. « Toucher un parlementaire, c’est toucher à la République. (...) La police et la gendarmerie seront là pour protéger les élus du peuple », avait déclaré Gérald Darmanin, répondant ainsi à une demande de la présidente du groupe Renaissance Aurore Bergé.

Le président des Républicains refuse de voir des députés de son groupe voter les motions de censures déposées par le Rassemblement national et les centristes de LIOT. « Nous ne nous associerons pas à une motion venant des personnes de l’extrême gauche, les amis de monsieur Mélenchon », a-t-il martelé sur France 3 le 17 mars. Si la motion du RN est vouée à l’échec, le vote d’une trentaine d’élus LR pourrait changer l’issue de celle transpartisane de LIOT et certains d’entre eux réfléchissent à soutenir la procédure. Mais la chute du gouvernement ne ferait qu’ajouter « du chaos au chaos », selon Éric Ciotti."


https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/eric-ciotti-attaque-sa-permanence-a-nice-vandalisee_215425.html

Anonyme a dit…

LA BOURGEOISIE SIFFLE LES MUSICIENS DE L'AUDITORIUM DE LYON OPPOSÉS À LA RÉFORME DES RETRAITES
Cerveaux Non Disponibles




https://youtu.be/yLNm_2L4JGs




Auditorium de Lyon le 17 mars dernier, représentation de Renaud Capucon et de l'Orchestre National de Lyon.

Un musicien tente une prise de parole pour dénoncer la réforme des retraites face à un public qui n'hésite pas à montrer son total mépris en sifflant, huant et insultant.

"On est pas là pour ça", "Ça suffit", "Vous nous faites chier".

Même si tous les amateurs de musique classique ne sont pas des privilégiés aisés, ils en constituent la grande majorité, et cela se voit clairement à la réaction de la salle.

Pour autant, jusqu'au bout, le musicien n'a rien lâché. La culture lutte à sa manière et refuse ce soir là aux bourgeois ce qu'ils attendent : être distraits et amusés, mais pas emmerdés par des problèmes de prolos dont ils n'ont que faire.