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Anonyme
a dit…
Des terrains "gâchés"
"Martelant que la transition énergétique ne doit pas se faire "à n’importe quel prix et dans n’importe quelle condition", tout en indiquant que le projet pour lequel une enquête publique avait été diligentée en 2014, est passé d’une production de 7 MWh à 25 MWh "sans qu’il n’y ait de remise en cause", Sébastien Espagne liste les colères et inquiétudes du Cerba : "Ça pose des questions, notamment celles du risque inondation."
"On est sur une zone de débordement, dans le lit majeur du Gardon. C’était une zone naturelle. Malgré la communication d’Alès Agglo, le site n’était pas une friche industrielle, mais un verger, transformé en 1977 en un projet de ZAC qui n’a jamais vu le jour, qui s’est boisé naturellement et où la nature avait ses droits. On s’est assis sur 32 ha de nature."
Contre les "marchands de soleil"
"Déplorant l’artificialisation des sols au mépris de la biodiversité et au profit de TotalEnergies, le Cerba s’emploie à alerter les élus du territoire, de peur que ce type de projets ne viennent à se multiplier : "On connaît le contexte de crise énergétique dans lequel on est, avec une augmentation du prix de l’électricité et un marché très spéculatif. Total a bien compris qu’il y avait de l’argent à faire sur ce type de production. Aujourd’hui, le terrain de Lavabreille est loué 150 000 € à l’année. Total va y faire un bénéfice estimé à 9 M€ par an." (...)
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Des terrains "gâchés"
"Martelant que la transition énergétique ne doit pas se faire "à n’importe quel prix et dans n’importe quelle condition", tout en indiquant que le projet pour lequel une enquête publique avait été diligentée en 2014, est passé d’une production de 7 MWh à 25 MWh "sans qu’il n’y ait de remise en cause", Sébastien Espagne liste les colères et inquiétudes du Cerba : "Ça pose des questions, notamment celles du risque inondation."
"On est sur une zone de débordement, dans le lit majeur du Gardon. C’était une zone naturelle. Malgré la communication d’Alès Agglo, le site n’était pas une friche industrielle, mais un verger, transformé en 1977 en un projet de ZAC qui n’a jamais vu le jour, qui s’est boisé naturellement et où la nature avait ses droits. On s’est assis sur 32 ha de nature."
Contre les "marchands de soleil"
"Déplorant l’artificialisation des sols au mépris de la biodiversité et au profit de TotalEnergies, le Cerba s’emploie à alerter les élus du territoire, de peur que ce type de projets ne viennent à se multiplier : "On connaît le contexte de crise énergétique dans lequel on est, avec une augmentation du prix de l’électricité et un marché très spéculatif. Total a bien compris qu’il y avait de l’argent à faire sur ce type de production. Aujourd’hui, le terrain de Lavabreille est loué 150 000 € à l’année. Total va y faire un bénéfice estimé à 9 M€ par an."
(...)
https://www.midilibre.fr/2023/02/21/saint-martin-de-valgalgues-a-lavabreille-ils-denoncent-le-projet-de-parc-photovoltaique-11012678.php
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