Il a cité « la loi César » (Caesar Syrian Civilian Protection Act), adoptée par les Etats Unis en juin 2020, dont l’objectif serait « d’affamer et d’humilier le peuple syrien ».
Cette « loi » porte des sanctions contre la Syrie et le régime de Bachar Al Assad. Toutes les personnes, entités ou entreprises qui apportent une aide financière à Damas tombent sous le coup de cette loi, adoptée à l’époque de Donald Trump. La Banque centrale de Syrie est considérée comme « un établissement de blanchiment d’argent ».
Les sanctions touchent aussi toute personne pouvant contribuer à « améliorer et augmenter la production du pétrole, du gaz et produits d’hydrocarbures » en Syrie. L’objectif stratégique est d’asphyxier l’économie syrienne, déjà à terre après presque dix ans de guerre civile, et d’empêcher les autorités syriennes de lancer « les opérations de reconstruction des villes ».
La reconstruction est un immense marché qui a toujours attiré les entreprises occidentales notamment en Irak, au Liban et en Libye. La région du kurdistan syrien n’est pas touchée par les sanctions de « la loi César ». « Cela prouve qu’il existe une volonté de diviser la Syrie », a souligné un universitaire syrien." (...)
1 commentaire:
C'est depuis...
« La loi César »
Il a cité « la loi César » (Caesar Syrian Civilian Protection Act), adoptée par les Etats Unis en juin 2020, dont l’objectif serait « d’affamer et d’humilier le peuple syrien ».
Cette « loi » porte des sanctions contre la Syrie et le régime de Bachar Al Assad. Toutes les personnes, entités ou entreprises qui apportent une aide financière à Damas tombent sous le coup de cette loi, adoptée à l’époque de Donald Trump. La Banque centrale de Syrie est considérée comme « un établissement de blanchiment d’argent ».
Les sanctions touchent aussi toute personne pouvant contribuer à « améliorer et augmenter la production du pétrole, du gaz et produits d’hydrocarbures » en Syrie. L’objectif stratégique est d’asphyxier l’économie syrienne, déjà à terre après presque dix ans de guerre civile, et d’empêcher les autorités syriennes de lancer « les opérations de reconstruction des villes ».
La reconstruction est un immense marché qui a toujours attiré les entreprises occidentales notamment en Irak, au Liban et en Libye. La région du kurdistan syrien n’est pas touchée par les sanctions de « la loi César ». « Cela prouve qu’il existe une volonté de diviser la Syrie », a souligné un universitaire syrien."
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https://www.24hdz.com/syrie-forces-americaines-pillage-ble/
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