mardi 16 août 2022

un peu de Poësie



Envoyé par Ton van

Objet: un peu de Poësie

Envoyé à partir de Courrier pour Windows

Les services bancaires (et autres) deviennent tristes à pleurer.

Et si on transposait l'attitude des banques à d'autres "services".

Aujourd'hui, le directeur de ma banque est venu acheter à ma boucherie.

Premièrement, je l'ai fait s'assoir sur une chaise une trentaine de minutes.

Quand j'en eu envie, je lui ai demandé ce qu'il voulait, il a répondu qu'il voulait des hamburgers.

Je lui ai répondu que maintenant, nous vendons uniquement des hamburgers le vendredi.

Il a commandé des saucisses et je lui ai dit que nous les vendons de 8h30 à 10 h00 le mardi et le jeudi.

Face à cela, il a commandé un poulet coupé en quatre.

Je lui ai donné le poulet, les couteaux et les ciseaux et je lui ai dit qu'il devait le couper tout seul.

Comme je l'espérais, il m'a répondu qu'il ne savait pas le faire et que c'était mon travail.

Ma réponse : parce que c' était la première fois, je l'aiderais, mais à partir de maintenant, il devrait le faire seul,

car les instructions sur la façon de faire sont disponibles sur le site web et sur l'App mobile.

Du coup, il m'a demandé de me parler seul à seul, et je lui ai répondu que s'il ne demandait pas de rendez-vous, il serait complètement impossible de me parler.

Finalement, il a attrapé le poulet et le saucisson, mais je lui ai emballé et, au-delà du coût des deux,

j' ai ajouté la commission de maintenance pour la coupe du poulet et ensuite j' ai attiré son attention qu'il possédait le compte * ENTRECOST MEGA GOLD PLUS * qui l'engage à acheter deux entrecôtes master gold tous les 15 jours.

Pouvez-vous imaginer qu'à la boucherie, on traite les clients comme ça ?

Eh bien, c'est exactement comme ça que les banques nous traitent, en plus de leur confier notre argent,

quand elles se plantent, nous devons les aider à se récupérer avec l'argent de tous !

Ils devraient assurer le service et avoir un peu plus de respect.

On paye aussi pour ça.

Laissez l'histoire circuler un peu pour voir s'il arrive à vos interlocuteurs et s'ils gagnent un peu de honte.

Votre boucher de quartier toujours avec vous !

Le temps d'attente téléphonique pour les banques, les assurances, les

mutuelles, les hôpitaux, compagnies électriques, administrations,

inspection automobile, ... est devenu inacceptable.

Souvent, ou vous demande de rappeler plus tard, ce "service" étant surchargé.

Souvent après un long temps d'attente, on est déconnecté.

A quand un numéro gratuit obligatoire ( les cartes de gsm prépayées

sont rapidement à zéro)?

A quand un délai de réponse obligatoire (avec donc embauche de personnel) .

 

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Le suspect nie « être l’animateur »

"Depuis juin 2021, un homme installé en région parisienne, est mis en examen, soupçonné d’appartenir à une organisation criminelle basée en Israël à l’origine de plus de 7.000 fausses demandes d’indemnisation au chômage partiel pour un préjudice total pour l’Etat avoisinant les 11 millions d’euros.

Les enquêteurs avaient mis au jour « des comptes ouverts en France et des comptes rebonds ouverts ensuite qui permettent de faire transiter rapidement l’argent » pour le réinsérer dans l’économie légale. Le suspect français, âgé de 31 ans, « nie être l’animateur de cette escroquerie », a précisé à l’AFP son avocat, Me Philippe Ohayon."
(...)


https://www.20minutes.fr/societe/3337567-20220815-israel-suspects-fraude-chomage-partiel-france-arretes

Anonyme a dit…

Depuis Domrémy-la-Pucelle, des Immaculées travailleuses des Vosges à Marseille !


Des travailleuses missionnaires de l’immaculée à Menton, Lourdes ou Toulon

"Lors de l’audience, le 5 juillet, le ministère public avait requis une amende de 120 000 euros ainsi que la confiscation de la somme déjà saisie. Selon les termes de la prévention, il était reproché à l’association de s’être, entre janvier 2013 et décembre 2016, « soustraite intentionnellement aux déclarations relatives aux salaires ou aux cotisations sociales (…) d’une moyenne de cinquante travailleuses missionnaires de l’immaculée, réparties (outre Marseille et Lisieux) sur les sites de La Grâce-Dieu, Menton, Ars-sur-Formans, Lourdes, Toulon et Besançon pour exercer notamment une activité de restauration et d’accueil ».

Les restaurants étaient gérés par les membres de la FMDD. Ils étaient depuis des années dans le collimateur de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes). L’association Aide aux victimes des dérives de mouvements religieux et à leurs familles (Avref) leur avait aussi consacré un « livre noir » en 2014."
(...)


https://www.leparisien.fr/faits-divers/elle-exploitait-des-jeunes-filles-venues-dafrique-ou-dasie-une-congregation-catholique-condamnee-pour-travail-dissimule-16-08-2022-RGLYTKLTSVAD7DEQOL7ON366QI.php

Anonyme a dit…

SOUS LES DORURES DE GIVERNY, ISABELLE NE COMPTE PLUS LES MOUTONS MAIS LES JULES !


"S’ils forment – pour le meilleur et pour le pire - un couple aux yeux de tous depuis 1976, Isabelle et Patrick Balkany n’ont pas toujours été indissociables l’un de l’autre. C’est du moins ce que souligne Le Parisien, qui consacre ce mardi 16 août un article aux époux Balkany. Le quotidien retrace la rencontre, puis le mariage d’Isabelle et de Patrick. Avant d’épouser celui qui deviendra l’une des figures les plus controversées de la droite française, Isabelle Smadja, de son nom de jeune fille, a grandi dans le luxe d’une famille de riches industriels. René, son père, était juif d’origine tunisienne. Ce dernier, qui a fait fortune dans l’import-export de matières premières, aurait voulu que sa cadette accepte la demande du fils d’une famille de banquiers fortunés : « Il était beau comme un dieu mais pas assez anticonformiste pour moi », a glissé Isabelle Balkany à nos confrères. Car, elle l’admet sans détours, Patrick Balkany n'était pas sa première idylle : « J’ai eu beaucoup, beaucoup de jules avant Patrick…»
(...)


https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/isabelle-balkany-seductrice-jai-eu-beaucoup-beaucoup-de-jules-avant-patrick_500114

Anonyme a dit…

Enfer poétique...

L'ENFER DE KAMEL DAOUDI, PERSÉCUTÉ PAR LA JUSTICE DEPUIS 21 ANS
Blast, le souffle de l'info



https://youtu.be/BZi5q63abIQ



“Les sentiers battus n'offrent guère de richesse ; les autres en sont pleins.” : Kamel Daoudi cite volontiers Jean Giono et « La chasse au bonheur. » pour tenter de dire son état. Il a appelé le blog qu’il tient depuis une dizaine d’années « les sentiers battants ». En opposition aux sentiers de vie balisés. Le paradoxe, c’est que sa vie l’est complètement... Balisée. Et ce depuis vingt et un an et son arrestation à son retour de Kaboul en septembre 2001 peu après le 11.

Kamel a eu la malchance d’être au mauvais endroit au mauvais moment et de devenir un sujet très récalcitrant aux yeux de la justice, des premiers juges antiterroristes qui l’ont interrogés, des gardiens de prison qui l’ont surveillé et parfois frappé, des magistrats qui ne l’ont jamais lâchés, des gendarmes qui l’ont fait pointer jusqu’à quatre fois par jour. Et des militants identitaires, fascistes, nationalistes qui ne l’ont jamais quitté des yeux, manifestant jusque devant la porte de sa résidence surveillé. Car Kamel Daoudi est aujourd’hui un des plus vieux prisonniers politiques de France, même si sa prison est à ciel ouvert.

C’est sur ses sentiers ardents qu’il écrit, survit, se bat pour lui et la famille qu’il a fondée entre les différentes villes qu’on l’oblige à fréquenter. De cette matière est né un petit livre « Je suis libre dans le périmètre qu’on m’assigne » (éditions du bout de la ville) qui raconte par flashs et courtes nouvelles une folie kafkaïenne. Kamel a été décrété terroriste. Mais rien ne le prouve, jamais nulle part.

Depuis sa sortie de prison en 2008, il est assigné à résidence en dépit des textes de lois censés limiter cet emprisonnement. Forcé de déménager du jour au lendemain au gré des décisions politiques, séparé de sa femme et de ses quatre enfants, contraint de pointer chaque jour à la gendarmerie, il se débat dans un labyrinthe administratif et mental.

Ses lettres ouvertes chroniquent avec ironie et humour le sort ubuesque qui lui est fait à travers l'assignation à résidence, une forme d'enfermement dont tout porte à croire qu'elle va se généraliser dans les prochaines années.

Ne bronzez pas idiot, écoutez ce qu’à raconter Kamel. Cette dinguerie. Il le fait avec intelligence, politesse, distance et courage.

Journaliste : Denis Robert
Montage : Lucie Dulois
Images : Arthur Frainet
Postproduction: Arthur Frainet, Antoine Esmaeili, Clément Maury
Son : Baptiste Veilhan
Graphisme : Adrien Colrat
Diffusion : Maxime Hector
Production : Thomas Bornot
Directeur du développement : Mathias Enthoven
Rédaction en chef : Soumaya Benaissa