Envoyé par JL
VOILÀ COMMENT ÇA SE PASSE :
Un député, part faire sa campagne dans un village de la France profonde :
Il demande aux villageois de lui exposer deux de leurs principaux problèmes...
- Notre premier problème, c'est le manque de médecin disent les villageois.
- L'homme politique prend son Iphone dernier cri, compose un numéro, celui d'un ministre sans doute, murmure qq phrases inintelligibles, raccroche et leur déclare :- Voilà, le problème vient d'être résolu ! Quoi d'autre ?
Les villageois :
- Notre second problème, c'est que nous n'avons aucun réseau pour les téléphones mobiles dans le village.
4 commentaires:
Bien sûr dans nos campagnes smartphones, web, Internet ... on connait pas ! Peuchère ! La fibre ? textile surement. Vous vous sentez pas un peu ridicules avec vos clichés sur les pauvres territoires ruraux abandonnés ? La pauvreté n'est pas une affaire de territoire mais d'individu !
si tu habitais dans un de ces territoires ,ton opinion serait différente ...
transpose ton raisonnement à ce que vivent certains Ukrainiens selon le territoire où ils habitent ou habitaient ...
tu peux te gosser 20h45 mais la réalité du desert médical et de la déficience des réseaux est bien là . Et l'abandon des territoires ruraux est un constat .
Après les déserts médicaux, et la déficience numérique voilà l'accaparement des terres...
COMMENT LES GRANDES ENTREPRISES SPOLIENT LES PETITS AGRICULTEURS
Le Média
https://youtu.be/mS2aOtazZ30
Les grandes entreprises sont-elles en train de monopoliser les terres agricoles françaises ? Non contents de monopoliser quasiment tous les secteurs de la société, les entreprises du CAC 40 et les géants de l’agro-alimentaire veulent désormais s’accaparer pour eux seuls la terre qui est censée nous nourrir. Ce « hold-up » organisé, généralisé, à propos duquel le gouvernement ne dit mot, prend du terrain. Personne n’en parle et pourtant le phénomène existe. Les grandes entreprises s’accaparent des terres agricoles, les concentrent. De leurs côtés, les paysans sont non seulement sont « expropriés », mais sont aussi prolétarisés, et surtout précarisés. De petits propriétaires terriens, ils deviennent de simples salariés ou deviennent carrément des sous-traitants.
Au-delà du désastre social, au sein d’une profession déjà fortement mise à mal par des décennies d’industrialisation à marche forcée, c’est aussi un désastre écologique. A l’heure où l’urgence climatique devrait pousser vers un retour à une agriculture paysanne et aux circuits courts, cette même agriculture continue de s’industrialiser, au détriment de l’environnement et de la qualité des produits, et au profit des géants de l’industrie agro-alimentaire.
C’est la raison de cet ouvrage, Hold-up sur la terre, paru aux éditions du Seuil, qui est le fruit d’une longue enquête de terrain menée par Lucile Leclair. Elle est venue nous en parler sur le plateau du Média.
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