mardi 15 mars 2022

Oh lui il soutient Poutine la la la … et nian !

Oh lui il soutient Poutine la la la … et nian !

Bravo
ça c'est un argument électoral massue !


Le programme de Mme « Hidalgotte » est « ne pas soutenir Poutine »

Si c'est ça le parti socialiste … Quelle déchéance ! , quel manque de tact !
Content d' en être sorti


Mais voyez vous, qui imaginait il y a moins d' un mois le délire sanglant du numéro un de la Russie
Même pas Macrouné en face à face devant sa méga table




1 commentaire:

Anonyme a dit…

Les fonctionnaires des électeurs comme les autres ?

"Comme le révèle notre étude, cette situation résulte principalement du fait que le vote des fonctionnaires ne diffère que marginalement de celui du reste des Français. Dans la fonction publique également, Emmanuel Macron arrive en tête des intentions de votes (cf. Tab 2, alors même que l’étude a été réalisée avant la forte poussée en sa faveur enregistrée ces derniers jours dans la totalité des sondages). C’est d’ailleurs ce résultat qui explique sans doute principalement le recul de la gauche parmi les fonctionnaires. Comme dans le reste de l’électorat, Emmanuel Macron capte une part significative de l’électorat qui jusqu’en 2012 votait pour la social-démocratie. Il faut, cependant, souligner qu’il réalise, à la date de notre étude, parmi les fonctionnaires un score inférieur de 3 points à sa moyenne nationale et, plus significatif sans doute, qui serait de 4,5 points inférieurs à celui qu’il avait obtenu en 2017 : 27%[3]. Ce léger recul pourrait s’expliquer par le fait que les fonctionnaires considèrent très majoritairement que leurs conditions de travail se dégradent alors qu’il est le président en exercice. Dans notre étude, ils sont ainsi 69% à déclarer « avoir le sentiment que leurs conditions de travail se dégradent » contre seulement 4% à estimer qu’elles « s’améliorent ». Les principales revendications portent sur le niveau des salaires (36%), les moyens financiers (21%) et le manque de personnel (16%), soit des revendications qui manifestent un sentiment de paupérisation des services publics et de leurs agents.

L’examen des autres candidatures tend à confirmer que les fonctionnaires sont assez largement des électeurs comme les autres. Ils déclarent un peu moins d’intentions de votes en faveur de Valérie Précresse (moins 1,5 point) et de Marine Le Pen (moins 2,5 points), mais exactement la même proportion en faveur d’Eric Zemmour (16%) que dans l’électorat global. Il est ainsi remarquable de constater que les deux candidatures identitaires réunissent nettement plus du quart des intentions de vote des fonctionnaires : 29,5% contre 32% dans l’ensemble de l’électorat. On mesure mieux la progression du vote en faveur des candidatures identitaires lorsqu’on compare ces résultats au constat établi, il y a 20 ans, par Nonna Mayer à propos du vote Le Pen à la présidentielle de 2002 : « S’il attire des électeurs dans toutes les catégories de la population, Le Pen réussit toujours mieux chez les moins diplômés, plus réceptifs au côté simple et carré de son discours. Son score double quand on passe des bacheliers aux non-bacheliers tandis que chez les enseignants, il frôle zéro. Il s’élève en raison inverse du revenu et du nombre d’éléments de patrimoine mobilier ou immobiliers possédés, ainsi que chez les chômeurs et les salariés sous CDD (20 et 22 %), tandis que chez ceux qui bénéficient d’un emploi garanti, comme les fonctionnaires, il tombe à 13 %. »[4]

En résumé, les fonctionnaires se distinguent toujours par une surreprésentation de la gauche en leur sein, mais d’une gauche dont le volume s’est fortement réduit depuis 2012. Comme le reste de l’électorat, et dans des proportions qui ne les distinguent pas tant que cela, les deux tiers de fonctionnaires qui ne votent pas à gauche se répartissent principalement entre les candidatures identitaires (29,5%), Emmanuel Macron (22,5%) et Valérie Pécresse (11%), dont le score est, ici comme dans le reste de l’électorat, en très net recul par rapport à la proportion de voix qu’obtenait Nicolas Sarkozy en 2012 (24% des suffrages des fonctionnaires)."
(...)



https://cluster17.com/les-fonctionnaires-sont-ils-de-gauche/