mardi 26 janvier 2021

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3 commentaires:

Anonyme a dit…

Le reconfinement serait il aussi appliqué aux chasseurs à courre ?



"Dans le reportage, on voit le militant tenté de disperser les chiens alors que plusieurs cerfs sont à proximité. Le but, pour ceux qui pratiquent la chasse à courre, est que les chiens poursuivent les cerfs, et essayent d'en isoler un ou plusieurs jusqu'à ce qu'il(s) s'épuise(nt). Cette chasse est pratiquée depuis le XVè siècle et était réservée à la noblesse. Appelée “vénerie” aujourd'hui, elle est toujours pratiquée dans plusieurs endroits en France, normalement dans des forêts privées. Il faut un permis de chasse pour en faire. Dans les images filmées par “Quotidien”, le militant va ensuite s'expliquer avec un chasseur qui le suivait sans relâche depuis plusieurs minutes. Alors qu'il estime que les “animaux ont leur chance” lors de cette chasse, Stanislas Broniszewsk pense que même si la pratique de la chasse à courre est légale, elle est “immorale”. [...]"



https://www.gqmagazine.fr/pop-culture/article/les-telespectateurs-de-quotidien-totalement-furieux-apres-ce-reportage-muscle-sur-la-chasse-a-courre-en-foret-de-compiegne

Anonyme a dit…

Turn-over, consulting et plaques tournantes : les partouzeurs du conseil et les ratés de la vaccination


"Consultor a souhaité objectiver ce deux poids deux mesures dans dix cabinets. Il s’agit de ceux qui comptaient dix associés à Paris au moins au 1er janvier 2019 : Bain, le Boston Consulting Group, EY-Parthenon, Kea & Partners, Kearney, McKinsey, Oliver Wyman, PMP, Roland Berger et Vertone."
(...)

L’énigmatique fusée McKinsey

"Ce qui dans la période actuelle nous a intrigués et nous a conduits à interroger le cabinet pour comprendre cette évolution. Surtout que dans le même temps, son principal concurrent, le Boston Consulting Group, n’a enregistré « que » 24 mouvements (16 élections et 8 départs). McKinsey effectue ainsi un très notable rattrapage.

Les très nombreux.ses associé.e.s du cabinet interrogé.e.s ont tous et toutes peu ou prou la même réponse. « Nous connaissons une forte croissance, il n’y a eu aucune modification de nos règles d’élection », nous dit l’un, qui n’a pas souhaité s’exprimer publiquement, tout comme l’ensemble de ses confrères et consœurs. « Prenez les faits publics et vous verrez », nous éconduit une autre. « Aucun changement dans les règles des élections », redit un troisième.

Seul Pål Erik Sjåtil, l’ancien managing partner Europe, se montre plus loquace. Il était présent au bureau de Paris en 2019 et 2020 avant de retourner en Norvège pour des raisons familiales du fait du covid. Il a depuis quitté ses fonctions chez McKinsey pour prendre la tête d’une société d’investissement à Londres.

« Le bureau parisien, lorsque j’y étais encore, a fonctionné très fort. Ce n’est pas quelque chose que l’on prévoit. C’est le hasard d’un groupe d’associé.e.s très fort dont la gouvernance du cabinet a validé la promotion. Parce qu’il y a eu une forte croissance dans les secteurs aussi divers que les biens de consommation, les services financiers, l’industrie, le private equity », dit-il.

Ces chiffres n’en restent pas moins stratosphériques, surtout que ces 30 arrivées en 24 mois représentent 35 % des élections de notre panel (85 élections au total)."
(...)


https://www.consultor.fr/devenir-consultant/classements/6343-partners-que-de-turnover.html

Anonyme a dit…

"Jean-François Delfraissy dit le contraire de ce qu'il dit la veille"

"On voit bien la différence entre les responsables politiques et scientifiques, observe-t-on au ministère de la Santé. Le gouvernement prend en compte ce qui ne rentre pas dans le strict champ sanitaire, la santé mentale des Français et la situation sociale", des enjeux qui ne sont pas forcément analysés par les épidémiologistes. Or, alors que les Français restent largement partagés quant à l'instauration d'un nouveau confinement, les "changements d'avis" de Jean-François Delfraissy sont source d'"angoisse", s'est agacé Jérôme Béglé, directeur adjoint de la rédaction du Point, sur le plateau de L'heure des pros. Un avis partagé par Pascal Praud qui estime que le professeur dit "le contraire de ce qu'il dit la veille". Et de conclure, tranchant : "Que les conseilleurs conseillent, mais ne viennent pas faire pression [sur les membres du gouvernement, NDLR]."



https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/emmanuel-macron-agace-le-pr-delfraissy-dans-le-collimateur-de-lelysee_462233


Et pourquoi pas nommer Pascal Praud à la présidence du conseil scientifique ?
Nan, je rigole !