dimanche 3 janvier 2021

Comment les forces de l’ordre ont saboté la manifestation du 12 décembre 2020 - Page 1 | Mediapart

https://www.mediapart.fr/journal/france/030121/comment-les-forces-de-l-ordre-ont-sabote-la-manifestation-du-12-decembre-2020?onglet=full



3 commentaires:

Anonyme a dit…

Darmanin et Lallement, le duo qui s'étouffe dans le mensonge...
"L'éleveuse de chats" se réjouit de cette portée de males macroniens et se tient en embuscade !

julian louis a dit…

à par tirer à balles réelles on peut se demander ce que fera de plus Marine ...Mais qui croire ? Darmanin ou Médiapart ...Raoult ou Véran ?
Ce qui est sûr c'est que les 10 points de PIB perdus en 2020 vont se répercuter sur l'emploi et à part les très riches, on va tous morfler ...
Bonne année quand même , après la pluie le beau temps ...

Anonyme a dit…

LES FORCES DU DÉSORDRE : CÉDRIC CHOUVIAT ET LA CLÉ EN CROIX


#CédricChouviat #ViolencesPolicières

CEDRIC CHOUVIAT, UN AN APRÈS : NI OUBLI NI PARDON
Le Média



https://youtu.be/jHrDjSBLxLE



Il y a un an, le 3 janvier 2019, un livreur du nom de Cédric Chouviat se faisait interpeller en scooter dans les beaux quartiers de Paris. Après avoir subi un plaquage ventral et une clé d’étranglement par des agents de police, Cédric Chouviat rentrait dans le coma, pour mourir quelques jours après.

C’était le début d’un drame familial et personnel, celui de ses proches, mais également d’un nouveau chapitre du débat sur les violences policières en France et l’importance de la liberté de les filmer. Car jusqu’à ce que les vidéos de l’interpellation violente de Cédric Chouviat n'aient pas été diffusées, rien ne venait contredire la version officielle sur ce qui s’était passé ce 3 janvier là, comme nous a raconté le journaliste David Dufresne.

Un après, activistes, journalistes, avocats se sont réunis à Paris pour commémorer la mort de Cédric. Mais au délà de la mémoire, il y a aussi la demande de justice. Car bien que cela puisse paraître incroyable, les mis en cause dans ce drame et accusés d’homicide involontaire, sont toujours en fonction. Comme si de rien n’était. Pour son père, comme pour ses proches, c’est là un dysfonctionnement profond de l’Etat et de la justice, un déni d’une violence que la famille espère briser.