LOI SÉCURITÉ GLOBALE - Des voitures qui brûlent, des façades vandalisées, des enseignes prises pour cible... La marche pour les libertés de ce samedi 28 novembre n’a pas échappé à ces images qui attirent (ou plutôt détournent) l’attention au lendemain d’une manifestation d’ampleur contre la loi sécurité globale. Dès samedi soir, plusieurs participants déploraient que ces violences commises par une minorité d’individus viennent troubler la fête.
4 commentaires:
On s’interroge
Les black bloc sont absents dans certaines manifestations (de droite) rares
Mais présents dans toutes les manifs organisées par le bas peuple
Gilets jaunes , loi travail, sécurité , retraite, article 24 etc
Un bon moyen pour nos dirigeants de monter les francais les uns contre les autres
Par exemple les commerçants accusent les gilets jaunes de tout leur déboire…GRACE AU BLACK BLOC
Pourquoi ne pas prendre les conséquences dues aux causes d’ origine ? Nos lois injustes
Trop compliqué
Les aveux ne s'obtiennent plus seulement lors des gardes à vues mais sur les plateaux télé...
Si tu vas à RIO, n'oublie pas ton grand chapeau Gérald !
Numéro ROI (sic)
"En sus de ces deux contre-vérités, Darmanin a aussi commis une erreur qui en dit long. Les forces de l’ordre, à de très rares exceptions près, doivent porter sur leur uniforme un numéro d’identification, appelé RIO (Référentiel des Identités et de l’Organisation). Les policiers et gendarmes *oublient* souvent d’arborer ce RIO, 7 chiffres propres à chaque agent, ce qui est dommage et, en théorie, sanctionnable. Mais les sanctions sont rares. Et en même temps, comment l’inverse serait-il possible alors que le ministre de l’Intérieur ne connaît pas, lui-même, le nom exact de ce numéro d’identification ? Par deux fois hier, Darmanin a parlé du «numéro ROI» et non du «RIO». C’est peut-être un détail pour vous mais qui pour les victimes de violences policières, ça peut dire beaucoup."
https://www.liberation.fr/politiques/2020/12/01/le-mytho-de-l-interieur_1807270
Linda sans sauce...
Hier, une syndicaliste de police a voulu coincer BFM Tv en confrontant la chaine à ses propres archives.
.../...
"Selon certains manifestants". Il suffisait d’aller jusqu’à la fin de la phrase pour entendre la chaine d’info plus nuancée que ce que prétendait l’invitée dont la tentative est foirée. Mais ce faisant, elle crée un moment sur lequel j’aimerais m’arrêter.
Traditionnellement, l’invité est un objet dont la télévision dispose. Il s’insère volontairement dans un dispositif dont il subit tout : le rythme, le ton, les questions, les illustrations. Et même lorsqu’il a parlé, il n’est pas maître de ce qu’un éventuel montage va garder. D’ailleurs tout politique qui se respecte s’est, au moins une fois, retranché derrière le fameux : "Mes propos ont été sortis de leur contexte", qui signifie "j’ai prononcé des mots avant, des mots après, mais on les a effacés et cela déforme ma pensée".
Que s’est-il passé hier matin sur BFM TV ? Une invitée s’est emparée de ce qui a été précédemment déclaré, se l’est approprié, l’a rediffusé quand bon lui a semblé et l’a tronqué pour étayer ce qu’elle voulait démontrer. Bref, elle a fait à la télé ce que la télé fait à des milliers de gens célèbres ou anonymes. Elle l’a fait avec maladresse et malhonnêteté, du coup, c’est sans intérêt. Dommage, parce que ça ressemblait à une intrigante séquence de télé inversée. Le moment carnavalesque du petit café. "
https://www.franceinter.fr/emissions/l-edito-m/l-edito-m-01-decembre-2020
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