On se gargarise de fake news
Le moindre péquin se veut le garant de la vérité et tout au plus de la justesse
En se référant aux infos du WEB
D' ou justement viennent ces Fakes news
Est ce qu'une fake contre une fake égal zéro
Ou égal à deux fakes
Un manque de précision est il une fake ?
Et cela peut il détruire tout un raisonnement ?
Par contre messieurs les détendeurs de la vérité vraie
Les infos de nos médias achetés par le pouvoir et ceux qui pilotent ce pouvoir , ne vous dérangent pas !
Lereboussierfakeur
Envoyé de mon iPad
6 commentaires:
Loi “Sécurité globale” – police sans contrôle, population sous contrôle
L’interdiction de diffuser les actions de la police centralise toutes les craintes, mais légaliser les drones et les technologies de surveillance porte tout autant atteinte aux libertés et à la démocratie. Deux ans jour pour jour après le début des gilets jaunes, le 17 novembre, ce texte sera examiné dans une Assemblée Nationale acquise à LREM et ses projets les plus autoritaires. Qu’en est t’il de cette “loi sécurité globale” ?
Drones, reconnaissance faciale et identification permanente des individus
"C’est un sujet peu abordé et qui pourtant nous concerne tous. Le texte prévoit dans ces interstices de légaliser la reconnaissance faciale dans l’espace public et l’exploitation en temps réel des informations sur les personnes. Le flux de vidéo serait traité en direct par le commandement de la police, comme le mentionne l’article 22. Le texte ne fait pas mention du terme “reconnaissance faciale”, mais il faut noter que tous les amendements visant à éclaircir la pratique ont été rejetés. C’est l’exemple de l’amendement n°CL340 qui prévoyait explicitement l’interdiction de la reconnaissance faciale. Rejeté ! L’esprit de cette loi est de mettre la totalité de l’espace public (des villes surtout) sous contrôle permanent. Sans angle mort, avec toute la technologie des algorithmes et leurs usages liberticides dans la collecte de données et ce de manière quotidienne.
La maitrise du récit officiel
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La manifestation de la vérité, thème si cher à la justice prend du plomb dans l’aile
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Floutage de gueule
"Cette loi pose aussi un problème technique majeur. Implicitement, elle signerait la fin des vidéos en direct montrant des policiers. Si dans leur grande mansuétude de playmobils faussement naïfs les députés LREM ont suggéré le floutage des visages de policiers, rappelons qu’il est à l’heure actuelle impossible de flouter des visages en temps réel. Et que de manière générale, flouter un visage en vidéo est une technique compliquée qui n’est pas à la portée de tous et qui restreindrait de fait beaucoup d’images. Si toutefois on se tenait au respect de cette loi abjecte…
Dernier point, non des moindres, il faut noter que les policiers ne sont pas inquiétés par la diffusion de leur visage qu’ils ont déjà pris l’habitude de masquer depuis longtemps (ainsi que ne pas porter leur matricule), et bien qu’on ait vu des actes barbares commis par leurs soins, cela n’a à ce jour pas fait l’objet de représailles populaires. L’argument de la protection des policiers n’est basé sur rien et constitue surtout une esbroufe faisant passer les oppresseurs pour les oppressés.
Il faudrait se pencher sur d’autres aspects de la loi, comme l’extension du port d’arme dans les lieux publics, même hors service, ou l’augmentation du rôle des sociétés privées dans le rôle de police.
Ce qui est frappant dans ce texte qui passera le 17 novembre à l’Assemblée Nationale, 2 ans jour pour jour après le début des gilets jaunes, c’est son aspect martial. Prenons-nous bien conscience que dans une même loi sont mis en vis à vis une réponse d’Etat face à la contestation sociale et une contre le terrorisme ? Cette loi entend gérer globalement ces problèmes de la même manière.
Des rassemblements auront lieu le 17 novembre pour s’opposer à cette loi :
– A Paris, devant l’Assemblée Nationale à 18H
– A Marseille, devant l’Église des Chartreux à 18H
– A Lyon ,devant l’Hotel de Préfecture à 18H
– A Chalon sur Saône, Place de Beaune à 18H"
https://cerveauxnondisponibles.net/2020/11/13/loi-securite-globale-police-sans-controle-population-sous-controle/
"Fanfan" et "Doumé" chez les Pieds Nickelés !
Le général Lavergne mis en cause par Mediapart pour des liens passés avec le milieu corse
Le général Lionel Lavergne, ancien patron de la sécurité rapprochée du président de la République, avait-il des accointances connues avec le milieu corse avant d’être nommé à ce poste ultra sensible? C’est en tout cas la thèse défendue par Mediapart dans une longue enquête publiée ce jeudi 12 novembre.
"Les journalistes Brendan Kemett et Matthieu Suc, deux fin connaisseurs du grand banditisme, signent cet article. Selon eux, c’est en surveillant en 2014 Dominique Luciani, un homme qu’ils suspectent d’être un tueur à gages pour le milieu corse, que les policiers ont la surprise de l’entendre évoquer “un ami gendarme”.
Le suspect appelle “Lionel”
"L’homme sur écoute précise qu’il “va avoir un super boulot, ça va être bon pour nous”. Il laisse ensuite entendre à son interlocuteur qu’il a, selon Mediapart prise sur le militaire pour des affaires de vie privée. Quelques jours plus tard, le suspect appelle un certain “Lionel”. La ligne de ce dernier est reliée à un site du ministère de la Défense. Surtout, les policiers font écouter l’enregistrement à un de leur collègue qui connaît le gendarme sans lui dire de qui il s’agit. Selon Mediapart, le policier identifie aussitôt Lionel Lavergne.
Ce dernier arrive le 14 décembre 2014 au groupe de sécurité de la présidence de la République dirigé par la commissaire Sophie Hatt dont il devient l’adjoint. La règle qui prévalait alors était qu’un gendarme et un policier occupent les postes de chef et d’adjoint. L’adjoint succédant au chef, une alternance était ainsi de mise entre les deux institutions à ce poste prestigieux et stratégique. Mais Sophie Hatt s’éternisa à son poste. "
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https://lessor.org/a-la-une/le-general-lavergne-mis-en-cause-par-mediapart-pour-des-liens-avec-le-milieu-corse/
"D’après Mediapart, Lionel Lavergne serait apparu dans une enquête judiciaire concernant un truand corse. Une information qui est tombée dans l’oubli à l’Elysée…
Tout commence officiellement le 24 septembre 2014. Les enquêteurs de la Brigade nationale de lutte contre la criminalité corse (BNLCOC) et de la Brigade de recherches et d’intervention (BRI) de Paris se sont penchés sur le mystérieux profil d'un dénommé Dominique Luciani, alias Doumé. D’après les informations du site, cet homme aurait alors été soupçonné de réaliser « des contrats (des assassinats ndlr) » pour des mafieux corses. Il aurait aussi servi de logisticien en Ile-de-France à plusieurs organisations criminelles, relate Mediapart."
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François Hollande dans l’ignorance
"A l’époque de l’enquête, un rapport - pour signaler la présence de Lionel Lavergne dans une enquête sur le grand banditisme corse - aurait été transmis à la direction centrale de la police judiciaire. Le rédacteur de ce rapport, Éric Hermenier, à l’époque patron de la BNLCOC, n’a pas voulu faire de commentaires à Mediapart. Ayant à l'époque pris connaissance de ce dossier, Lionel Lavergne s’en serait même pris à Christophe Molmy, le patron de la BRI lui aussi resté muet face à Mediapart. D’après les informations du journal, personne ne serait, malgré tout, au courant de ces liens possibles entre le grand banditisme corse et Lionel Lavergne ; ni la police judiciaire française, ni la police judiciaire parisienne ni la gendarmerie nationale… Denis Favier, l’ancien directeur général de la gendarmerie nationale, a toutefois assuré avoir « entendu parler » de l’affaire « après sa nomination (de Lionel Lavergne au GSPR ndlr) mais je n’ai pas été saisi officiellement ». Il aurait ajouté : « On ne m’a rien montré de probant. »
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https://www.valeursactuelles.com/societe/le-gendarme-de-lelysee-sous-hollande-et-macron-etait-lie-au-grand-banditisme-corse-125672
Déméter nous y voilà !
Au Carnet, des caméras cachées et illégales pour surveiller des écologistes
Des caméras très sophistiquées et camouflées ont été retrouvées par des militants au Carnet, où des écologistes luttent contre le bétonnage d’un site naturel. Un dispositif illégal, dont les images accusent la gendarmerie locale.
"Nantes (Loire-Atlantique), correspondance
Les opposants au projet de zone industrielle au Carnet, en Loire-Atlantique, méritent-ils d’être surveillés comme des terroristes ? Deux groupes de caméras, camouflées dans une fausse bûche d’arbre et de fausses pierres, ont été retrouvés par hasard par des militants, fin août. Elles semblent avoir été installées à la veille d’un « weekend de résistance » prévu à proximité du Carnet, les 29 et 30 août. Ces quatre caméras filmaient en continu et étaient reliées, via des câbles enterrés, à des grosses batteries et modems, également dissimulés, permettant d’envoyer directement les images à un poste à distance.
Le Carnet est un espace naturel, sur la rive sud de l’estuaire de la Loire, dont l’entrée principale se trouve sur une route départementale. Lundi 31 août, des personnes opposées à la volonté du Grand port maritime de Nantes-Saint-Nazaire de créer ici un parc « écotechnologique », sur 110 hectares, ont commencé à installer des barricades sur la route, pour empêcher tout début de travaux. C’est une militante qui, ce jour-là, en ramassant des matériaux pour créer une guirlande végétale, a trouvé d’abord un premier duo de caméras, puis, en tirant sur les fils, ce vaste attirail d’espionnage."
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Quatre gendarmes sur place au moment des faits
"Plus grave : les vidéos attestent de la présence de quatre gendarmes sur place au moment des faits. On les voit échanger avec des personnes à proximité du portail, deux minutes avant l’épandage. Un gendarme, l’air satisfait, prend même, tout sourire, une photo du résultat de cette action malveillante, dont le but était probablement de gêner les opposants au projet industriel au Carnet. Était-ce une demande du Grand port ? De la gendarmerie ? Ou l’initiative personnelle des propriétaires des tracteurs ? Et pourquoi, dans ce cas, les forces de l’ordre n’ont-elles pas empêché cette action illégale ?
La cheffe d’escadron de la compagnie de gendarmerie de Pornic, contactée par Reporterre, assure que les gendarmes n’étaient pas présents au moment du dépôt, et qu’il ne s’agit pas de boue de station d’épuration, mais de fumier. La préfecture n’a pas répondu à nos questions.
Une enquête permettra sûrement d’éclaircir tout cela, puisque des opposants au projet au Carnet pourraient déposer une plainte. Des recours en justice pourraient également être entrepris contre l’espionnage vidéo. Ce type de surveillance illégale avait déjà été repéré à Bure, en 2018. S’agit-il d’une méthode exceptionnelle, ou les caméras sont-elles d’habitude mieux dissimulées ? Rappelons que, comme l’avait révélé Reporterre, le gouvernement a saisi en 2019 le Bureau de lutte antiterroriste (BLAT) de la gendarmerie nationale à l’encontre d’activistes du climat."
https://reporterre.net/Au-Carnet-des-cameras-cachees-et-illegales-pour-surveiller-des-ecologistes
Le retour (nement) du "Crétois" : BFMTV et CNEWS en plein paradoxe !
https://www.telerama.fr/ecrans/financement-libyen-sarkozy-innocent-par-les-experts-de-bfmtv-et-de-cnews-6741891.php
Et si on démonté lesdémonteurs
Ainsi soit-il ! Larcher, l'homélie et l'oubli
https://www.rtl.fr/actu/politique/presidentielle-2022-il-n-y-a-pas-d-alternative-reelle-a-macron-selon-larcher-7800923030
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