lundi 17 août 2020

"Ayatollahs de l'écologie" : Eric Dupond-Moretti s'explique après la polémique


https://www.planet.fr/actualites-ayatollahs-de-lecologie-eric-dupond-moretti-sexplique-apres-la-polemique.2044150.1464.html?xtor=ES-10-%5BPlanet_Alerte_Infos%5D-20200817-%5BtestA%5D&tgu=3A2KZZ


4 commentaires:

Anonyme a dit…

Ramener la chasse dans le giron de l'écologie c'est à peu près aussi maladroit que de ramener une péripatéticienne pour un séjour dans un couvent de bonnes soeurs...
Il faut vite avertir Isabelle Boulay que son kum risque de la chasser comme une poule d'eau. À défaut, comme une bécasse !

Anonyme a dit…

#Biocoop #Grève #Bio

DES SALARIÉS DÉNONCENT LES MÉTHODES ET LES MENSONGES DE BIOCOOP
Le Média


https://youtu.be/sEFZ20IlZFY



Samuel est salarié chez Biocoop à Paris, et il est aussi délégué du personnel. Il nous a contacté il y a quelques semaines pour solliciter le Média afin que nous puissions suivre leur lutte, et dénoncer les mensonges de leur employeur.

Car le fait est que derrière de bien beaux discours sur ses conditions sociales, sa transformation en coopérative etc, Biocop n'est pas tellement à la hauteur du message et des valeurs revendiqués. Travail le dimanche, impossibilité de partir en rupture conventionnelle, rémunérations sans cesse en baisse malgré des montées en compétences et l'ancienneté, patrons désintéressés par l'humain et obsédés par la rentabilité; bref, Biocop donc, malgré ses renforts de publicités et de communication pour se faire passer pour une entreprise vertueuse, semble plus ressembler à n'importe quelle entreprise capitaliste qui exploite et use ses salariés pour faire toujours plus de profit qu'à une entreprise de l'économie sociale et solidaire.

C'est pour toutes ces raisons que les salariés de Biocop ont décidé de rentrer en lutte et de mettre en lumière les pratiques de leur employeur, qui n'est d'ailleurs pas le seul à être concerné dans les milieux de l'ESS, où il est devenu courant d'abuser les consommateurs qui croient à leurs beaux discours et qui ne seraient peut être plus de si bons clients en sachant comment certaines entreprises se comportent, poussant ainsi avec les salariés pour leur faire respecter les valeurs revendiquées, ce qui a déjà commencé suite aux journées de grève des salariés de Biocop, qui sont déjà soutenus par de nombreux clients.

Anonyme a dit…

"78 départements sont concernés par des restrictions d'eau à différents degrés. C'est particulièrement vrai dans l'est du pays, où certains éleveurs ont choisi de s'adapter, en s'inspirant notamment des cultures africaines."
(...)


https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/agriculture/agriculture-l-arme-anti-secheresse_4078581.html

Anonyme a dit…

Entre posture et imposture...

QU’ATTENDRE DE LA NOMINATION D’ERIC DUPOND-MORETTI AU MINISTÈRE DE LA JUSTICE ?

Entretien avec l’avocate Marie Dosé


"Tous les observateurs s’y accordent, la nomination d’Éric Dupond-Moretti en tant que garde des Sceaux était avant tout un « coup de com’ » ; et au vu des torrents de commentaires suscités, le moins que l’on puisse dire c’est qu’il a fonctionné.
Cela dit, à quoi peut-on s’attendre pratiquement de la part de cette nouvelle recrue du gouvernement ? C’est la question que nous avons posée à l’avocate Marie Dosé."
.../...

Pourtant, comme vous, Eric Dupond-Moretti a tout au long de sa carrière d’avocat dénoncé le populisme pénal, la restriction des droits et des libertés au nom de la lutte contre le terrorisme, et défendu les droits des personnes mises en cause. Pouvez-vous en attendre quelque chose, maintenant qu’il est ministre de la Justice ?

"A vrai dire, je préfère déjà ne plus en attendre grand-chose : le simple fait d’avoir accepté une telle nomination induit trop de renoncements pour tenter de démêler ce qui relève de la loyauté envers soi-même ou envers le gouvernement auquel on appartient. Quelques semaines après sa nomination, mon ancien confrère défendait une proposition de loi instaurant le placement sous surveillance électronique des justiciables condamnés pour des infractions à caractère terroriste après leur condamnation [[NDLR : prévoyant le port d’un bracelet électronique par des personnes ayant pourtant purgé leur peine, et ce jusqu’à dix ans après la sortie de prison], en assurant que ladite proposition était équilibrée et respectait les libertés fondamentales. Le même homme sans cravate et en robe noire avait crié au scandale des années plus tôt concernant la rétention de sûreté applicable aux condamnés ayant purgé leur peine. Et le pire est que ce qu’il a dénoncé vertement hier comme avocat pénaliste a été validé par le Conseil constitutionnel, alors que ce qu’il défend aujourd’hui comme garde des Sceaux vient d’être censuré. Tout ceci, au fond, est assez pathétique. Mon ancien confrère donne certes quelques gages oratoires de son attachement viscéral à la présomption d’innocence et à la lutte contre la surpopulation pénale mais pour aussitôt se retrancher derrière le peu de temps qui lui est imparti… A t-il vraiment pris le risque d’accepter une telle fonction sans gage ni garantie ? La justice a besoin d’un garde des Sceaux ambitieux et responsable qui redonne de la noblesse à ce ministère trop souvent considéré comme un sous-secrétariat du Ministère de l’Intérieur et régulièrement sacrifié à l’aune d’un populisme pénal qui n’en finit plus de l’affaiblir. Est-ce vraiment là l’ambition du président de la République, puisque de son ambition dépend celle du garde des Sceaux ?"
.../...

"Il est encore trop tôt pour mesurer l’impact qu’auront certaines des mesures prises pour lutter contre la pandémie sur nos libertés fondamentales, mais il sera de toute façon sans commune mesure avec la pérennisation de tant de dispositions liées à l’Etat d’urgence dans notre droit commun."


https://lundi.am/Qu-attendre-de-la-nomination-d-Eric-Dupond-Moretti-au-ministere-de-la-Justice