Gérald Darmanin et Roselyne Bachelot se rendent sur place
Note du réboussier:
Mais qu’est ce qu’ils vont foutre là-bas ??
Le cout du voyage , les perturbations, les services d’ordre Tout ça pour de la com inutile !!!
Cet argent dépensé pourrait peut être être utilisé à autre chose
2 commentaires:
L’État policier de Microsoft : Surveillance de masse, reconnaissance faciale et un cloud nommé Azure
A l’heure où on parle aux États-Unis de démantèlement de la police, surtout depuis la mort de George Floyd, les pouvoirs de surveillance et de répression sont en train de se métamorphoser. La police est un rôle qui pourrait se passer d’humains. Elle est dans nos smartphones ou dans les capteurs des smartcities et par dessus tout dans le consentement tacite que l’on tisse avec les technologies numériques élaborées à la Silicon Valley.
Voici une traduction de l’article de Michael Kwet originellement parue sous le titre The Microsoft Police State: Mass Surveillance, Facial Recognition, and the Azure Cloud dans la revue The Intercept.
"Les protestations nationales contre les pratiques policières racistes ont amené un nouvel examen des grandes entreprises technologiques comme Facebook, qui est boycotté par les annonceurs pour les discours haineux dirigés contre les personnes de couleur, et Amazon, qui a été appelé à aider à la surveillance policière. Mais Microsoft, qui a largement échappé aux critiques, est à l’origine de services destinés aux forces de l’ordre, favorisant un écosystème de sociétés qui fournissent à la police des logiciels utilisant le cloud de Microsoft et d’autres plateformes. L’histoire complète de ces liens met en évidence la façon dont le secteur technologique est de plus en plus empêtré dans des relations intimes et continues avec les services de police."
.../...
Microsoft : Du renseignement policier au “Cloud Azure”
"Dans le sillage du 11 septembre, Microsoft a apporté des contributions majeures aux centres de renseignements centralisés pour les organismes chargés de l’application de la loi. Vers 2009, il a commencé à travailler sur une plateforme de surveillance pour la police de New York, appelée “Domain Awareness System” ou DAS, qui a été dévoilée au public en 2012. Le système a été construit sous la direction de Microsoft et des agents de la police de New York.
Bien que certains détails concernant le DAS aient été divulgués au public, beaucoup manquent encore. Le compte-rendu le plus complet à ce jour a été publié dans un document de 2017 par des officiers de la police de New York.
Le DAS intègre des sources d’information disparates pour remplir trois fonctions essentielles : l’alerte en temps réel, les enquêtes et l’analyse policière.
Par le biais du DAS, la police de New York surveille les mouvements personnels de toute la ville. À ses débuts, le système absorbait des informations provenant de caméras de télévision en circuit fermé, de capteurs environnementaux (pour détecter les radiations et les produits chimiques dangereux) et de lecteurs automatiques de plaques d’immatriculation, ou ALPR. En 2010, il a commencé à ajouter les enregistrements géocodés de la police de New York des plaintes, des arrestations, des appels au 911 et des mandats “pour donner un contexte aux données des capteurs”. Par la suite, il a ajouté l’analyse vidéo, la reconnaissance automatique des formes, la police prédictive et une application mobile pour les policiers.
En 2016, le système avait ingéré 2 milliards d’images de plaques d’immatriculation provenant de caméras ALPR (3 millions de lectures par jour, archivées pendant cinq ans), 15 millions de plaintes, plus de 33 milliards d’enregistrements publics, plus de 9 000 flux de caméras de la police de New York et de caméras privées, des vidéos provenant de plus de 20 000 caméras corporelles, et plus encore. Pour donner un sens à tout cela, des algorithmes analytiques sélectionnent les données pertinentes, y compris pour la police prédictive."
.../...
https://cerveauxnondisponibles.net/2020/07/17/letat-policier-de-microsoft-surveillance-de-masse-reconnaissance-faciale-et-un-cloud-nomme-azure/
C'est à peu près chaque année le même scénario...
Le TVC sert-il de mauvais prétexte ?
"Au moment où les largages des Canadair semblent porter leurs fruits, les questions se posent déjà sur l'origine de l'incendie.
"Il existe plusieurs dizaines de kilomètres de voies ferrées et c'est toujours à cet endroit-là que ça brûle, pestait Stéphane Schneider, patron du Train à vapeur des Cévennes (TVC), dont l'exploitation estivale a, tout juste, repris, après la crise du coronavirus, depuis le 13 juillet. On subit ce genre de situation. Nous n'avions pas besoin de cela..."
Dans le village de Générargues, habitants et élus ont livré le même genre de remarques sur le lieu et l'origine du feu."
(...)
https://www.midilibre.fr/2020/07/19/cevennes-un-depart-de-feu-aux-abords-de-la-bambouseraie-de-generargues-8985915.php
Enregistrer un commentaire