dimanche 21 juin 2020

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4 commentaires:

Anonyme a dit…

Philippe a “faussé” l’élection

"Un argument paradoxal quand on soutient une tête de liste qui est aussi Premier ministre et qui promet de le rester même en cas de réélection le 28 juin. “C’est pas la visite des dirigeants de gauche qui nationalise le scrutin, c’est la présence du Premier ministre”, sourit le candidat communiste Jean-Paul Lecoq.

Jean-Luc Mélenchon lui emboîte le pas. À ses yeux, Édouard Philippe aurait “faussé” l’élection en décidant de privilégier Matignon à son fauteuil de maire. Voter contre lui, c’est donc exprimer le refus de la politique de l’exécutif. “Aidez-nous, dites-lui que vous n’acceptez pas sa réforme des retraites, que vous n’acceptez pas cette distribution obscène d’argent à laquelle ils sont en train de se livrer pour les grandes entreprises, sans aucune contrepartie pour les salariés”, plaide Jean-Luc Mélenchon. À la guerre comme à la guerre."



https://www.huffingtonpost.fr/entry/equipe-edouard-philippe-reproche-a-jean-luc-melenchon-de-nationaliser-la-municipale_fr_5eeccc3cc5b634145cc13305

Anonyme a dit…

Philippe a “faussé” l’élection

"Un argument paradoxal quand on soutient une tête de liste qui est aussi Premier ministre et qui promet de le rester même en cas de réélection le 28 juin. “C’est pas la visite des dirigeants de gauche qui nationalise le scrutin, c’est la présence du Premier ministre”, sourit le candidat communiste Jean-Paul Lecoq.

Jean-Luc Mélenchon lui emboîte le pas. À ses yeux, Édouard Philippe aurait “faussé” l’élection en décidant de privilégier Matignon à son fauteuil de maire. Voter contre lui, c’est donc exprimer le refus de la politique de l’exécutif. “Aidez-nous, dites-lui que vous n’acceptez pas sa réforme des retraites, que vous n’acceptez pas cette distribution obscène d’argent à laquelle ils sont en train de se livrer pour les grandes entreprises, sans aucune contrepartie pour les salariés”, plaide Jean-Luc Mélenchon. À la guerre comme à la guerre."



https://www.huffingtonpost.fr/entry/equipe-edouard-philippe-reproche-a-jean-luc-melenchon-de-nationaliser-la-municipale_fr_5eeccc3cc5b634145cc13305

Anonyme a dit…

https://www.purebreak.com/news/donald-trump-trolle-par-des-tiktokeurs-et-fans-de-k-pop-son-meeting-fait-un-flop-incroyable/197740

Anonyme a dit…

AHOU, AHOU, AHOU : LE RETOUR
La Révolte des Gilets Jaunes [Bonnes feuilles]


"La Révolte des Gilets Jaunes, paru chez Niet Editions vient à point nous rappeler quelques-uns des moments décisifs que nous avons vécus et qui ont profondément ébranlé la domination capitaliste, avant que le Grand Renfermement de la crise sanitaire coupe court (pour combien de temps ?) aux révoltes populaires en cours partout dans le monde.

Il a été écrit par le collectif Ahou, ahou, ahou, qui se présente ainsi : « Le collectif Ahou ahou ahou, auteur de ce livre, est composé de quatre individus d’âge, de classe, de genre homogènes, géographiquement dispersés sur le territoire  : l’un est de la région parisienne, un autre a vécu les événements surtout dans une grande ville du Sud-Est, le troisième s’y est trouvé mêlé dans l’arrière-pays toulousain  ; quant au dernier, il n’a eu de cesse de passer d’une région à l’autre, quoique principalement centré lui aussi sur le Sud de la France. Le résultat, c’est que nos expériences, nos récits, et même nos analyses sont marquées au sceau de ce qu’on appelle notre vécu, qui diffère de par le degré de nos implications, nos implantations plus ou moins fortes dans un collectif local, nos perceptions urbaines ou rurales. »

Fondé sur la fusion entre deux approches, celle du vécu et celle de la documentation (notamment à travers la presse régionale), le bouquin apparaît comme un kaléidoscope, entre moments historiques (la grande peur de la bourgeoisie de l’Ouest parisien) et anecdotes délicieuses (la cellule d’aide psychologique aux opticiens de Saint Etienne, à la suite du pillage de leurs lunettes de soleil), mais cette profusion est ordonnée suivant un axe chronologique au long duquel les caractéristiques de chaque étape du mouvement sont analysées. Pas à pas, à chaque moment, la réflexion progresse en même temps que surgissent d’exquis souvenirs et que se font entendre des voix innombrables et libres, profondément nouvelles. L’incroyable richesse, l’inventivité constante, les faiblesses aussi, d’un mouvement donné dix fois pour mort apparaissent pleinement. De ce livre puissant et joyeux, on choisit de reproduire une partie des conclusions car elles apportent une réflexion à nos yeux essentielles, en termes de lutte des classes. « C’est ici qu’est la peur, c’est ici qu’il faut sauter » : le défi qui se pose à tout mouvement potentiellement révolutionnaire est exposé par le collectif Ahou ahou ahou avec toute la vigueur qu’il mérite.

S.Q.

<h2][bonnes feuilles]"
.../...



https://lundi.am/Ahou-ahou-ahou-le-retour