C'est bien à la Justice de faire preuve de moins de laxisme et de clémence envers les auteurs de crimes et de délits, et nous foutre en tôle toute la vermine qui nous pourrie la vie de tous les jours ...
VIOLENCES, MENSONGES ET MAINTIEN DE L’ORDRE Flic ou voyou ? Une petite sociologie de la police
Ce texte est avant tout une réflexion sur les violences commises par ce que nous nommerions génériquement les forces de l’ordre en certaines occasions : manifestations et interpellations. Cependant, au-delà de ces quelques réflexions, se posent les questions de la formation de ces mêmes forces et de la finalité visée par cette formation et leurs interventions. .../...
STRATÉGIE
"Il est devenu fréquent, au sein des réseaux médiatiques dominants, d’évoquer les difficultés connues par les forces de l’ordre dans la gestion du maintien de l’ordre lors des manifestations, contre la loi dite travail, contre celles visant la réforme des retraites ou celles, plus globales, dites des « Gilets Jaunes ». Il en est de même aujourd’hui lors des mobilisations autour du débat sur les actes de racisme au sein de l’institution policière lors des interventions musclées auxquelles les fonctionnaires de police se livrent. Au renfort de ces présentations bienveillantes, les interventions récurrentes des responsables politiques de tous bords, des responsables des principaux syndicats de police, de quelques « intellectuels » médiatiques, tous armés d’une « pensée » monolithique apprise et répétée, comme n’importe quel « élément de langage » et qui se déploie sur les thèmes de la « police républicaine » et de l’existence de quelques « brebis galeuses » au motif que « le racisme ne serait pas davantage développé dans la police que dans tout autre secteur d’activité de la société ». .../...
FLIC OU VOYOU
"Si les individus ne peuvent être considérés, dans leur totalité, comme des racistes ou des machistes, nous devons tout de même considérer que pour obéir aux ordres aveuglément, il faut avoir été formé à cela, « conditionné », jusqu’à en perdre potentiellement sa véritable capacité de jugement individuel, la responsabilité devenant le fait de l’institution. La perversion est ici totale car il ne s’agit pas de déconditionner des « étudiants » mais bien de conditionner des individus en charge de la « violence légitime » pour qu’ils développent un anti-intellectualisme nauséabond en guise de culture commune. Lorsque les agents doivent loyauté à leur chef et à leur clan et que sont à ce point méprisés la pensée et les individualités, comment imaginer la liberté et la justice ?
C’est la question que pose, in fine, et à son corps défendant, l’allocution aux Français d’Emmanuel Macron du 14 juin 2020. Il déclare que « La République n’effacera aucune trace de son Histoire. La République ne déboulonnera pas de statue. Nous devons plutôt lucidement regarder ensemble toute notre Histoire, toutes nos mémoires, notre rapport à l’Afrique en particulier, pour bâtir un présent et un avenir possible, d’une rive à l’autre de la Méditerranée avec une volonté de vérité et en aucun cas revisiter ou nier ce que nous sommes. Nous ne bâtirons pas davantage notre avenir dans le désordre. Sans ordre républicain, il n’y a ni sécurité, ni liberté. Cet ordre, ce sont les policiers et les gendarmes sur notre sol qui l’assurent. Ils sont exposés à des risques quotidiens en notre nom, c’est pourquoi ils méritent le soutien de la puissance publique et la reconnaissance de la Nation ».
Nous voyons dans ce discours les raisons mêmes de l’existence et de la persistance des actes racistes des forces de l’ordre. Tout d’abord cette déclaration produit mensonges et contradictions car la République n’a cessé d’effacer certaines traces de son histoire et continue de le faire, les exemples qui suivent peuvent en témoigner. Macron nous invite ensuite à ne pas revisiter l’histoire et donc à ne jamais remettre en cause la version officielle de la mythologie républicaine. Dans la même allocution il ira jusqu’à définir comme étant des « séparatistes » ceux qui dénoncent le racisme de la police. [...]" .../...
"Si sa nomination était bien entérinée, elle aura notamment pour mission de défendre les droits et libertés dans le cadre des relations avec les administrations, lutter contre les discriminations ou encore veiller au respect de la déontologie par les personnes exerçant des activités de sécurité."
8 commentaires:
C'est bien à la Justice de faire preuve de moins de laxisme et de clémence envers les auteurs de crimes et de délits, et nous foutre en tôle toute la vermine qui nous pourrie la vie de tous les jours ...
22:41 tes fantasmes sont à la hauteur de la situation : désespérants !
VIOLENCES, MENSONGES ET MAINTIEN DE L’ORDRE
Flic ou voyou ? Une petite sociologie de la police
Ce texte est avant tout une réflexion sur les violences commises par ce que nous nommerions génériquement les forces de l’ordre en certaines occasions : manifestations et interpellations. Cependant, au-delà de ces quelques réflexions, se posent les questions de la formation de ces mêmes forces et de la finalité visée par cette formation et leurs interventions.
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STRATÉGIE
"Il est devenu fréquent, au sein des réseaux médiatiques dominants, d’évoquer les difficultés connues par les forces de l’ordre dans la gestion du maintien de l’ordre lors des manifestations, contre la loi dite travail, contre celles visant la réforme des retraites ou celles, plus globales, dites des « Gilets Jaunes ». Il en est de même aujourd’hui lors des mobilisations autour du débat sur les actes de racisme au sein de l’institution policière lors des interventions musclées auxquelles les fonctionnaires de police se livrent. Au renfort de ces présentations bienveillantes, les interventions récurrentes des responsables politiques de tous bords, des responsables des principaux syndicats de police, de quelques « intellectuels » médiatiques, tous armés d’une « pensée » monolithique apprise et répétée, comme n’importe quel « élément de langage » et qui se déploie sur les thèmes de la « police républicaine » et de l’existence de quelques « brebis galeuses » au motif que « le racisme ne serait pas davantage développé dans la police que dans tout autre secteur d’activité de la société ».
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FLIC OU VOYOU
"Si les individus ne peuvent être considérés, dans leur totalité, comme des racistes ou des machistes, nous devons tout de même considérer que pour obéir aux ordres aveuglément, il faut avoir été formé à cela, « conditionné », jusqu’à en perdre potentiellement sa véritable capacité de jugement individuel, la responsabilité devenant le fait de l’institution. La perversion est ici totale car il ne s’agit pas de déconditionner des « étudiants » mais bien de conditionner des individus en charge de la « violence légitime » pour qu’ils développent un anti-intellectualisme nauséabond en guise de culture commune. Lorsque les agents doivent loyauté à leur chef et à leur clan et que sont à ce point méprisés la pensée et les individualités, comment imaginer la liberté et la justice ?
C’est la question que pose, in fine, et à son corps défendant, l’allocution aux Français d’Emmanuel Macron du 14 juin 2020. Il déclare que « La République n’effacera aucune trace de son Histoire. La République ne déboulonnera pas de statue. Nous devons plutôt lucidement regarder ensemble toute notre Histoire, toutes nos mémoires, notre rapport à l’Afrique en particulier, pour bâtir un présent et un avenir possible, d’une rive à l’autre de la Méditerranée avec une volonté de vérité et en aucun cas revisiter ou nier ce que nous sommes. Nous ne bâtirons pas davantage notre avenir dans le désordre. Sans ordre républicain, il n’y a ni sécurité, ni liberté. Cet ordre, ce sont les policiers et les gendarmes sur notre sol qui l’assurent. Ils sont exposés à des risques quotidiens en notre nom, c’est pourquoi ils méritent le soutien de la puissance publique et la reconnaissance de la Nation ».
Nous voyons dans ce discours les raisons mêmes de l’existence et de la persistance des actes racistes des forces de l’ordre. Tout d’abord cette déclaration produit mensonges et contradictions car la République n’a cessé d’effacer certaines traces de son histoire et continue de le faire, les exemples qui suivent peuvent en témoigner. Macron nous invite ensuite à ne pas revisiter l’histoire et donc à ne jamais remettre en cause la version officielle de la mythologie républicaine. Dans la même allocution il ira jusqu’à définir comme étant des « séparatistes » ceux qui dénoncent le racisme de la police. [...]"
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https://lundi.am/Violences-mensonges-et-maintien-de-l-ordre
"Si sa nomination était bien entérinée, elle aura notamment pour mission de défendre les droits et libertés dans le cadre des relations avec les administrations, lutter contre les discriminations ou encore veiller au respect de la déontologie par les personnes exerçant des activités de sécurité."
https://www.francetvinfo.fr/politique/emmanuel-macron/l-elysee-compte-nommer-la-journaliste-claire-hedon-comme-defenseure-des-droits_4029053.html
Que de blablas pour uniquement fantasmer !!.
22h16 avec le tien compris, c'est vrai que le fantasme est au top...
T'es une sacrée taupe ou tu as de la merde dans les yeux ?
La merde, tu ne l'as peut être pas dans les yeux, mais surement sous tes semelles !! Sans t'en apercevoir ..
22:26 c'est sûr que toi tu viens sur ce blog les pompes bien crottées !
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