jeudi 25 juin 2020

Coronavirus : Devant la commission d'enquête, Didier Raoult étrille le conseil scientifique et la stratégie française de dépistage

https://www.20minutes.fr/politique/2806927-20200624-coronavirus-devant-commission-enquete-didier-raoult-etrille-conseil-scientifique-strategie-francaise-depistage

2 commentaires:

Anonyme a dit…

TRANSMISSION D’UN VIRUS
Quelques conséquences du Covid19 et du confinement généralisé


On ne confine pas 4 milliards d’êtres humains pour télétravailler ensuite tout l’été en faisant comme si tout allait bien. Un jour ou l’autre, avant d’inventer des mondes d’après dans tous les sens, il faudra tirer les conséquences du confinement généralisé et de la « crise sanitaire », qui n’est d’ailleurs pas terminée. Qu’il s’agisse de notre rapport à la maladie et la mort, à la science et au progrès, au temps, à la justice et la coopération, ce texte revient calmement sur bien des aspects du monde qui se trouveront longuement affectés par ce que nous avons vécu durant les derniers mois.

"Les crises sont parfois le passage, la transition entre deux états, deux époques. Et même lorsqu’elles ne le sont pas elles révèlent, décantent le contexte qui les voient naître. Malgré la myopie qui nous saisit à l’heure de nous intéresser au présent, il faut penser celles qui adviennent. En juin 2020 – date de rédaction de ces lignes – nous ne savons pas si l’épidémie mondiale de Covid-19 sera, avec le recul de l’histoire, une crise majeure. Mais, dans le feu du présent, nous pouvons en faire l’hypothèse. Essayons donc, sans prétention mais avec application, de penser ce que nous vivons. Peut-être en subsistera-t-il deux ou trois idées valables."
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RISQUES

"Lorsque tombent les certitudes d’un mauvais discours scientifique, c’est-à-dire lorsque nous voyons la science telle qu’elle est réellement, dans le vide laissé par les discours scientistes ou anti-scientifiques, les risques reprennent leur importance ; et nous qui oublions parfois que vivre est risqué, tremblons. Mais, nous y revenons : ce n’est jamais qu’une question de temps. Nous nous sommes bien habitués aux milliers de morts sur la route, chaque année ; nous savons bien que nos comportements alimentaires, un jour, peuvent boucher nos artères ; mais nous avons eu le temps d’apprivoiser ces risques. Alors c’est la soudaineté, le temps qui nous manque pour nous y faire qui y fait beaucoup, à l’effroi. Nous devons nous habituer à ce nouveau risque. Le taux de mortalité de ce virus semble d’un ordre de grandeur auquel nous pourrions nous habituer, et si aucun vaccin n’est trouvé – ce qui est une possibilité – il faudra bien. Et force est de constater – dans la rue, aujourd’hui, tous les jours – que la société semble déjà bien plus à l’aise avec ce danger viral qu’elle ne l’était fin mars. Ajoutons tout de même que ces considérations reposent partiellement sur la fiction que nous pourrions nous soustraire à la force anxiogène, ou au contraire apaisante, des médias et discours politiques."
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https://lundi.am/Du-virus-en-capital

Anonyme a dit…

https://www.marianne.net/economie/suppressions-de-postes-chez-sanofi-c-est-une-catastrophe-pour-la-sante-publique