lundi 4 mai 2020

A vouloir notre sécurité à tout prix

A vouloir notre sécurité à tout prix


En premier lieu pour économiser les coûts induits par les accidents ou maladies
Mais sans doute aussi pour notre bien ?!?!?

Nos libertés individuelles s' amenuisent petit à petit
On nous confine , on nous discipline , on nous flicaufie, on nous bébétise
On nous écervelle , on nous masquifie , on nous coronavirusse , on nous moutonne
Mais au fait ne nous prennent ils pas pour des cons ?
Ne pouvons nous pas développer nous mêmes nos défenses naturelles contre nos prédateurs

4 commentaires:

Anonyme a dit…

#Covid19 #Déconfinement #11mai

DÉCONFINEMENT DU 11 MAI : LE GRAND N'IMPORTE QUOI
Le Média


https://youtu.be/9wnX-KrHwmI



"C’est vrai qu’à une semaine du déconfinement, les travailleuses et les travailleurs ont des raisons d’être énervés. On a l’impression que rien n’est prêt pour le 11 mai, que tout le monde sait qu’on va dans le mur, et qu’on y va quand même parce que le chef a parlé, et qu’il ne faut pas le contrarier."

Troisième épisode de notre module d’actu “L’info confinée”. Nous sommes le 4 mai 2020, 49ème jour du confinement en France, et septième jour avant le début du déconfinement façon Macron-Philippe.

Au sommaire :

- Le drôle de 1er mai que nous avons vécu, et l’étrange message aux travailleurs d’Emmanuel Macron, à qui la date du 1er mai n’a pas toujours porté “chance”.

- Ces travailleurs (enseignants et personnels des sociétés de transport public) à qui une énorme charge mentale est imposée avec un déconfinement dont le maître-mot semble être : refiler à d’autres la patate chaude.

- Les mises en garde des biologistes sur les tests qui dont le rythme n’atteindra pas les promesses gouvernementales d’ici le 11 mai.

- Les révélations du professeur Philippe Froguel, en service au CHU de Lille et à l’Imperial College de Londres, sur les mensonges au sommet au sujet des fameux tests.

- Les dernières accusations des Etats-Unis contre la Chine, au sujet du coronavirus dont l’origine serait un laboratoire de Wuhan, et qui serait issu de manipulations humaines. Des éléments de langage qui nous rappellent furieusement les justifications de l’invasion de l’Irak… Quand Mike Pompeo, le chef de la diplomatie de Donald Trump, dit une chose et son contraire en moins d’une minute.

Anonyme a dit…

« Planet of the Humans », la diatribe de Michael Moore contre les énergies « vertes »


Centrales à biomasse, panneaux solaires, voitures électriques... Dans « Planet of humans », dont il est producteur, le cinéaste engagé Michael Moore déboulonne le mythe des énergies vertes. Disponible gratuitement en ligne, le documentaire montre que « la seule énergie propre, c’est de consommer moins d’énergie ».


"Après plusieurs films sur la fin du rêve américain, Michael Moore déboulonne cette fois le rêve du développement durable. En l’honneur du Jour de la Terre, le 22 avril dernier, il a mis en ligne un nouveau film Planet of the humans — il en est le producteur exécutif et Jeff Gibbs, le réalisateur [1]. Michael Moore y accuse le capitalisme vert et désigne les « traîtres » qui nous guident sur de fausses pistes : des stars de l’écologie étasunienne comme Van Jones, conseiller environnemental de Barack Obama, Bill McKibben, fondateur de 350.org, Elon Musk, constructeur automobile de voitures électriques, Robert F. Kennedy Jr, avocat en droit de l’environnement, Michael Brune, directeur du Sierra Club, influente organisation environnementale, Michael Bloomberg, ancien maire de New York et activiste du climat qui finance la campagne contre le charbon du Sierra Club, et l’ancien vice-président Al Gore, qui a convaincu l’homme d’affaires Richard Branson d’investir trois milliards de dollars dans l’énergie « verte »."
.../...

« La seule énergie propre, c’est de consommer moins d’énergie »

"Les remèdes aux dégâts provoqués par l’industrie ne peuvent pas être industriels. On ne peut pas résoudre un problème avec les schémas de pensée qui l’ont créé, disait Einstein. Il faudra donc changer notre échelle de valeurs. L’un des activistes interrogés lutte dans le Vermont, aux États-Unis, contre 21 éoliennes et la destruction d’une forêt pour fournir de l’énergie à un futur parc aquatique, un projet inutile. Il dit aussi que la société propriétaire est Enbridge, celle-là même qui investit dans les sables bitumineux et construit l’oléoduc Keystone XL, qui transportera du pétrole de l’Alberta canadien au golfe du Mexique ! « Ils sont tous de mèche… La seule énergie propre, c’est de consommer moins d’énergie. »

Reste à espérer que le film qui, sans en parler directement, dément le Green New Deal du Parti démocrate, ne se révèle pas un atout pour Trump en novembre.

Planet of the humans a en tout cas été critiqué par une partie du mouvement écologiste. L’équipe du film a répondu aux critiques en vidéo.

« Mettre en doute les énergies “vertes” ne veut pas dire qu’on défend les autres, extractives ou nucléaire », explique-t-elle. « Il faut qu’on puisse discuter librement des solutions entre personnes qui croient au changement climatique. Les énergies vertes ne répondent pas à l’urgence des extinctions animales dues principalement à la déforestation et à la réduction des espaces naturels. »

Planet of the humans, 1 h 40, sous-titré en français, à voir gratuitement sur YouTube jusqu’au 21 mai."



https://reporterre.net/Planet-of-the-Humans-la-diatribe-de-Michael-Moore-contre-les-energies-vertes

Anonyme a dit…

"La dette, c’est mal" : il est temps d'en finir avec l'obsession de la dette publique

"Les experts le martèlent : les Français vivent au dessus de leurs moyens et ils ne pourront pas rembourser une dette trop élevée. En fait, la question divise dans l’univers académique et même parmi les Français depuis la crise sanitaire. Seuls les experts médiatiques semblent faire du "trop de dette" une obsession."
(...)

Technique et émotion

"De manière globale, les arguments mobilisés par le parti de l’austérité, cette élite que Todd a qualifiée d’"artistocratie stato-financière" – qui sait si bien mutualiser ses pertes et responsabilités, mais privatiser ses gains –, sont de deux ordres : technique, d’une part, et émotionnel, de l’autre. La technicité et l’extrême complexité vise à rallier l’opinion en lui signifiant son incompétence à juger une matière si ardue. Elle permet de disqualifier la critique citoyenne ou l’opposition politique en prétendant que les choix seraient « trop compliqués » pour être laissés aux profanes, et trop « scientifiques » pour faire l’objet de débats idéologiques forcément infondés. D’autre part, le registre émotionnel est mobilisé à travers des métaphores qui visent à induire une compréhension partielle et biaisée par l’opinion des enjeux : ainsi, le recours au registre de la vertu et de la responsabilité individuel est abondant – comme s’il était responsable de priver les hôpitaux des personnels nécessaires pour soigner correctement ceux qui en ont besoin ; comme s’il était vertueux de couper les dépenses, même symboliques, relevant de la précaution comme les masques qui ont tant fait défaut en ce début d’année 2020…"
(...)


https://www.marianne.net/debattons/tribunes/la-dette-c-est-mal-il-est-temps-d-en-finir-avec-l-obsession-de-la-dette-publique

Anonyme a dit…

#Nazisme #Management #LaGrandeH

NAZISME ET MANAGEMENT : DES LOGIQUES COMMUNES?
Le Média


https://youtu.be/CjmH2fCVUyM



Historien du nazisme et de sa vision du monde, Johann Chapoutot a récemment fait paraître un essai dont la réception n’a pas été unanime : Libre d’obéir : le management, du nazisme a aujourd’hui. Il revient avec Julien Théry sur la démarche du livre et profite de l'occasion pour répondre aux objections qui lui ont été opposées.

C’est la lecture de l’abondante littérature nazie sur la Menschenführung, la conduite des hommes, qui a attiré l’attention de Johann Chapoutot sur les similitudes frappantes entre les discours de l’époque sur la nécessité de « faire mieux avec moins » et ceux qui prolifèrent aujourd’hui aussi bien dans la sphère entrepreneuriale que dans celle du gouvernement néolibéral.

Avec l’expansion du Reich au fil des conquêtes hitlériennes et le développement de l’effort de guerre, la nécessité d’administrer le plus efficacement possible avec des moyens réduits devint une obsession pour les cadres nazis. Et si le nazisme fut tout entier « un grand moment managérial », c’est parce que son idéologie poussa à l’extrême l’utilitarisme qui dominait en Occident depuis les débuts de la Révolution industrielle. Le darwinisme social cultivé en Europe depuis le XIXe siècle, tout particulièrement en Angleterre et en France, fut porté à son paroxysme par l’anthropologie nazie. Pour cette dernière, seule l’utilité d’une vie humaine pouvait justifier son existence – son utilité pour la prospérité et la promotion de la race germanique, appelée à dominer les autres sur tous les plans.