Bonjour chères toutes,chers tous !La visite de Macron en soutien aux entrepreneurs de l'agroalimentaire dans le Finistère suscite au minimum des interrogations,au mieux de l'indignation.Ces usines mortifères produisent des aliments dont 50 % (heureusement)finissent dans les poubelles et (malheureusement ) dans les distributions des organismes humanitaires .Il faut faire entendre une autre voie pour alimenter correctement toute la population et surtout la plus démunie.C'est nécessaire de résister à cette classe dirigeante ,méprisante ,hautaine,qui se nourrit bien,bon,et en bio et qui soutient une agriculture productuviste,allièe aux firmes de BigPharma .Notre premier médicament c'est notre alimentation !A toutes et tous,en vous espérant en bonne santé ,toutes mes salutations fraternelles.Voir l'appel à « Jardiner,c'est résister » sur le lien ci-dessousDaniel NOEL-FOURNIERAGRA BIO PRESSE109,Rue Jean MoulinF-33220 PINEUILH
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11 commentaires:
#Coronavirus #Déconfinement #Surveillance
APPLIS COVID-19 : VERS UNE SURVEILLANCE DE MASSE
Le Média
https://youtu.be/sqWuGl9Ap-E
La pandémie de coronavirus que nous vivons est-elle une aubaine pour les tenants de la société de surveillance ? Les États, classés comme démocratiques ou dictatoriaux, en profiteront-ils pour accroître leur emprise sur les citoyens, comme cela a déjà été le cas avec la “guerre mondiale contre le terrorisme” ? De fait, alors que plusieurs pays, dont la France, construisent leurs stratégies de déconfinement, on parle un peu partout des applications mobiles de traçage du virus. A priori, elles devraient permettre de mieux détecter les personnes infectées, de mieux les isoler et de mieux les traiter. Mais ces applications inquiètent. Pour mieux cerner cette problématique, nous avons fait appel à trois grands témoins.
Rachel Knaebel, journaliste qui a travaillé sur le sujet pour le site indépendant Bastamag. Elle a brossé un tableau des différentes initiatives internationales en cours, et nous révèle les différentes approches “philosophiques” qui les sous-tendent, ou en tout cas les discours publics des gouvernements, des entreprises ou des organisations qui les portent.
Benjamin Sonntag, entrepreneur et cofondateur de La Quadrature du net, association de défense des libertés numériques. Il se pose en adversaire de ce qu’il appelle le “solutionnisme technologique”.
Et enfin Gaëtan Leurent, chercheur à l’Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique… Gaëtan Leurent est aussi membre d’un collectif de spécialistes en cryptographie qui a créé un site Internet, risques-traçage.fr, pour alerter sur les dangers auxquels nous exposent l’adoption de technologies de ce type.
ENTRETIEN
Montpelliérains confinés en luttes ! #3 | Stéphane Ortega : « La question du renforcement de notre pouvoir »
"Le monde d’après ? De nombreux médias se sont lancés dans de grandes spéculations sur ce que pourrait/devrait être le monde après la pandémie de covid-19–19. De son côté, Le Poing n’oublie pas qu’il est concrètement un média qui se consacre principalement aux luttes. Comment notre présent confiné résonne-t-il avec l’avant des grands mouvements écoulés (gilets jaunes, féminisme, climat, réforme des retraites) ? Comment permet-il de se projeter dans un après toujours en luttes ? Là sont à puiser des puissances nouvelles.
Le Poing s’est retourné vers plusieurs personnes très impliquées dans les luttes de cette période récente, sur Montpellier et environs ; des personnes qui nourrissent la réflexion sans être des professionnels de la pensée, ni des privilégié·e·s de l’accès à la parole publique. Certain·e·s sont membres d’organisations constituées (entités politiques, syndicats, mouvements activistes); mais iels s’expriment ici sans en être des porte-paroles attitré·e·s.
Ces entretiens, réalisés sur la base d’un questionnaire écrit, seront publiés au fil des jours qui viennent. Toutes les réactions seront les bienvenues.
Après Franck Bernard, le collapso-écolo radical, et Valérie Cabanne, gilet jaune du rond-point Chez Paulette, le troisième interlocuteur de cette série d’entretiens est Stéphane Ortéga. Ancien syndicaliste, ancré dans le mouvement libertaire, Stéphane Ortega a créé et anime le site Rapports de force, qui, depuis Montpellier, se consacre au suivi des luttes sociales, sur un plan national."
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Dans ta manière de l’analyser, de t’y adapter, d’échanger, est-ce que tu perçois notre situation actuelle dans la pandémie comme plutôt en continuation de ces mouvements, ou en rupture ? Dans la première option, qu’est-ce qui permettrait de penser un continuum ?
Je me garderais bien de qualifier la période, surtout en étant confiné et ne voyant que des micro-bouts de la réalité. À l’échelle de ce que je peux observer, il me semble que dans la population militante, une partie des gens sont « anesthésiés » (sans aucun sens péjoratif) par la situation de mise sous cloche. Du côté des luttes, j’ai du mal à y voir un continuum. Il me semble que les rares restantes dans le monde du travail sont sur des dynamiques quelques peu différentes du mouvement des retraites. Par contre, les gens qui étaient en colère avant cette crise sont pour une partie d’entre eux très en colère aujourd’hui. Mais les questions sur la suite, même en terme de forme et d’objet de luttes, me semble ouvertes. Je pense que personne n’est en mesure de savoir ce qui peut se cristalliser, ni comment."
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https://lepoing.net/montpellierains-confines-en-luttes-3-stephane-ortega-la-question-du-renforcement-de-notre-pouvoir9/
« Allô les révoltés, préparons le jour d'après ! »
QG TV
https://youtu.be/0u4JjhAuNkA
Un montage d’Adrien AdcaZz pour QG au sujet de la gestion de la crise sanitaire Covid par le gouvernement et des lendemains de révolte qui s’annoncent.
N.B : Et une bonne flagellation au Morandini au sortir de la pandémie, il le mérite !
Insoumis·es solidaires
Le confinement que nous vivons depuis la mi-mars est une période déconcertante, qui perturbe toutes les habitudes humaines. Pourtant, depuis qu’il a commencé, on voit fleurir de partout de très nombreuses actions de solidarité. À l’échelle de l’immeuble, du quartier, du village, il y a de multiples façon d’aider ses voisin·es dans cette période particulièrement difficile pour certain·es.
Les insoumis·es y prennent part partout en France. Ils et elles sont loin d’être les seul·es : des collectifs, des associations et des initiatives spontanées font la richesse de cet élan solidaire.
Sur cette page, vous retrouverez de multiples initiatives, insoumises ou non, sur tout le territoire. N’hésitez pas à découvrir ces expériences et à les répliquer chez vous. Très important également : contribuez au partage d’expériences en racontant et montrant comment vous aussi, vous agissez en insoumis·es solidaires.
https://lafranceinsoumise.fr/insoumis-solidaires/
ANALYSE
Entre moratoire et grève des loyers, quelle réponse face à la crise du logement ?
"À l’international, les grèves de loyer se multiplient. Qu’en est-il en France ? La situation quant au mal-logement, sans même parler des effets sociaux de la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement, ne cesse de se dégrader : insalubrité, ghettoïsation, listes d’attente interminable pour les affectations ou les mutations… La crise du logement touchait avant le confinement déjà un français sur cinq soit près de 15 millions de personnes, d’après la Fondation Abbé Pierre ! Le confinement lié à la pandémie de covid-19 n’arrange rien à l’affaire : des millions de personne se retrouvent dans une situation de précarité inédite. Face à cet état de fait, des mobilisations émergent : l’association Droit Au Logement (DAL) lance une campagne, entre autres pour un moratoire sur les loyers. Dans tout le pays, des collectifs tentent de propager la grève des loyers. Le Poing est allé à la rencontre de certains des acteurs de ce mouvement naissant, pour mieux comprendre les différentes options stratégiques, leurs réalisations concrètes, leurs écueils et leurs perspectives."
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« Si la société avait été mieux gérée avant, on en serait pas là »
"Le premier constat en France, c’est celui d’une crise sociale de grande ampleur qui vient se superposer à la lente mais sûre dégradation des conditions de vie des personnes les plus pauvres en France ces dernières décennies, le résultat tendant à virer à la catastrophe sociale. « Pour nous, la priorité en terme d’action, ce sont les maraudes, c’est là où on trouve beaucoup de personnes en difficulté », nous confie Sébastien, l’un des animateurs de la toute nouvelle section montpelliéraine du collectif DAL, inquiet mais nullement résigné. « Le public s’est élargi : au-delà des sans-abri qui y viennent en temps normal, on a de nombreux travailleurs pauvres, qui n’arrivent plus à joindre les deux bouts à cause d’une réduction de revenus ou de l’augmentation des prix. » Un ressenti que nous confirme Hamza, infatigable bénévole de l’Association Humanitaire de Montpellier, de toutes les maraudes : « Je le vois en discutant avec les gens qui viennent, on a des jeunes couples qui s’étaient trouvé un boulot dans des restos juste avant la fermeture au début du confinement, qui n’ont pas de chômage, et qui sont trop jeunes pour toucher le RSA. Ou des gens qui ont été mis au chômage technique, mais qui ne le touche pas encore parce que les délais administratifs sont trop longs.»
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"En France, selon le document de la Fondation Abbé Pierre, près de 4 millions de personnes souffrent du mal-logement, dans sa définition la plus scabreuse. Plus de 2 millions d’entre eux vivent sans eau courante, douche, WC intérieurs, coin cuisine, ou moyen de chauffage, ou avec une façade très dégradée. En Occitanie en 2019, 182 000 personnes seraient concernées par le mal-logement ! Alors que la région compte à ce jour 22 525 logements inoccupés depuis plus de deux ans, soit 10% des appartements vacants en France. (200 000 sur l’ensemble de l’Hexagone)."
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https://lepoing.net/entre-moratoire-et-greve-des-loyers-quelle-reponse-face-a-la-crise-du-logement/
https://www.marianne.net/debattons/les-mediologues/cette-pandemie-marque-t-elle-la-fin-du-cycle-neoliberal
Enquête sur les impacts du confinement sur la mobilité et les modes de vie des Français
Le confinement des Français imposé à partir du 17 mars 2020 pour lutter contre la propagation rapide du Covid-19 est passé par une restriction de leurs libertés inédite en temps de paix, et au premier chef, celle de se déplacer. Au Forum Vies Mobiles nous avons souhaité en évaluer les impacts sociaux, présents et futurs, sur les modes de vie des Français. Il en ressort de fortes disparités dans les pratiques, selon les âges notamment, mais aussi une découverte de modes de vie différents, qui n’est pas sans faire naître certaines aspirations à une modération des déplacements après le confinement.
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QUELS IMPACTS POUR LE FUTUR ?
L’ANALYSE DU FORUM VIES MOBILES
"Avec près de 3 Français sur 4 strictement confinés chez eux pendant près de deux mois, la crise du Covid-19 sera une étape marquante dans la vie des Français.
L’enquête révèle que, après 3 semaines, le confinement est plus ou moins difficile à supporter en fonction de sa situation familiale, de son âge ou encore de son cadre de vie.
Vivre loin des grandes villes
Sans surprise, ce sont les habitants des grandes agglomérations et en particulier les habitants de la métropole parisienne qui souffrent le plus de la situation. Ils sont plus nombreux à vivre seuls (28 % contre 11 % en moyenne en France) et dans de petits appartements (28 % vivent dans un deux pièces ou un studio contre 5 % en moyenne en France) et beaucoup plus nombreux à avoir aimé pouvoir s’installer ailleurs que chez eux pendant le confinement (39 % contre 12 % en moyenne en France). Ils sont également plus nombreux à être dérangés par la restriction du périmètre de déplacement à respecter (53 % contre 43 % pour les agglomérations de moins de 20 000 habitants), ils apprécient plus que les autres la diminution de la pollution (53 % contre 46 % en moyenne en France) et sont plus nombreux à vouloir déménager (38 % contre 11 % en moyenne en France) après cette expérience. Conformément aux tendances démographiques 1 et aux études menées précédemment sur le sujet 2, la crise épidémique confirme ainsi le caractère problématique des cadres de vie densément peuplés et de l’agglomération parisienne en particulier, et le manque de résilience des modes de vie qu’on peut y déployer."
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Les jeunes les plus désireux de moins se déplacer
"Autre fait marquant : la réaction des populations les plus jeunes. On attend souvent des jeunes qu’ils soient plus mobiles, plus flexibles, plus urbains et qu’ils aient des rythmes de vie plus intenses. On suppose non seulement que c’est nécessaire et dans leur intérêt, mais aussi qu’ils sont volontaires pour répondre à cette norme de la vie occidentale. L’enquête montre, au contraire, que ce sont les jeunes qui sont les plus désireux de moins se déplacer, de ralentir, d’occuper leur temps différemment, de se rapprocher des leurs et de vivre dans un cadre de vie en contact avec la nature."
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https://fr.forumviesmobiles.org/projet/2020/04/23/enquete-sur-impacts-confinement-sur-mobilite-et-modes-vie-des-francais-13285
Montpelliérains, confinés, en luttes #4 | Julie : « Tu n’as pas peur, tu ne seras jamais seule »
"Le monde d’après ? De nombreux médias se sont lancés dans de grandes spéculations sur ce que pourrait/devrait être le monde d’après la pandémie du covid-19. De son côté, Le Poing n’oublie pas qu’il est concrètement un média qui se consacre principalement aux luttes. Comment notre présent confiné résonne-t-il avec l’avant des grands mouvements écoulés – gilets jaunes, féminisme, climat, réforme des retraites ? Comment permet-il de se projeter dans un après toujours en luttes ? Là sont à puiser des puissances nouvelles."
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Te sens-tu plutôt isolée dans les circonstances actuelles ? Ou bien les attentions, les échanges, les solidarités fonctionnent-ils de manière toujours stimulante autour de toi ? Si oui, quelles sont-elles ?
"Je ne me sens pas isolée. J’étais une privilégiée avant le confinement, je le suis toujours durant le confinement. On manque bien sûr de se voir en vrai, de rigoler, inventer, s’engueuler mais tout le monde est en contact. Chacun·e y va de sa création pour s’exprimer, la partage, s’inscrit à une distribution alimentaire, une maraude, partage un bout de conversation volé au confinement avec la voisine qui adore les pancartes accrochées au balcon, au SDF de l’angle de la rue que la co-proprieté cherche à expulser de son bout de carton. D’une manière plus large, lire un reportage comme celui du média La mule du pape et voir à quel point, une fois encore, l’associatif assure les fonctions d’un État aux abonnés absents, ne peut qu’être stimulant pour continuer à nous structurer. Parce que ce que nous faisons est juste."
https://lepoing.net/montpellierains-confines-en-luttes-4-julie-tu-nas-pas-peur-tu-ne-seras-jamais-seule/
“Nos priorités se réorganisent, nous devenons, oui, dangereux !”
"Le nouveau monde va s’ordonner, par bribes, balbutiements, nous allons tomber et nous relever, mais nous n’enterrerons pas nos espoirs au grand jour !
Nous traversons une sorte de terreur collective, le virus, la maladie, nos emplois, mais ce tragique nous propulse dans une autre dimension, celle de l’utopie.
Nos gouvernants ont du souci à se faire, nous ne partons plus, nous ne consommons plus, et nous réalisons cette nouvelle possibilité sociale, existentielle, cette réflexion profonde du fond de nos entrailles, cet instinct de survie et cette féroce envie de vivre autrement.
Nous apprenons le temps de la réflexion, nos priorités se réorganisent, nous devenons, oui, dangereux !
On ne peut plus nous diviser, nous sommes entrelacés par une douleur commune, et tout notre « moi » se sent profondément lié au destin national et au cataclysme planétaire.
« Gouverner c’est prévoir ; et ne rien prévoir, c’est courir à sa perte », disait Émile de Girardin en 1852 dans La Politique universelle…
Depuis plus de quarante années et l’avènement des politiques ultra-libérales de Reagan et Thatcher, la plupart des pays du monde se sont engouffrés à leur suite et sont depuis trop longtemps dirigés par des administrateurs ou comptables qui ne lisent et décryptent les prévisions que lorsqu’elles sont d’ordre économique, pour ne rien perdre de la course effrénée que se livrent chacun des pays des six continents.
Et ils nous y ont entraînés, car nous aussi, au titre des citoyens que nous sommes, avons notre part de responsabilité.
Fallait-il leur expliquer, fallait-il se répéter à nous-mêmes, comme un mantra, comme on le fait avec un enfant de 3 ans, que le feu ça brûle, et que si on joue trop avec le briquet, on peut mettre le feu à la maison ?"
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https://www.telerama.fr/idees/repensons-de-fond-en-comble-notre-maniere-de-produire-et-de-consommer,-par-emmanuelle-beart,n6630607.php
À VOIR - Une exploration des médecines traditionnelles en Amazonie péruvienne
"El Gran Dragón, de Gildas Nivet et Tristan Guerlotté, est un documentaire qui nous emmène au cœur des médecines traditionnelles en Amazonie péruvienne. Un voyage d’exploration au sein d’un univers spirituel et d’une biodiversité exceptionnelle.
Présentation du film par ses réalisateurs :
El Gran Dragón est un voyage immersif au cœur de la luxuriante forêt amazonienne à la rencontre de ceux qui transmettent et font perdurer les médecines traditionnelles. À travers de multiples rencontres, ce film documentaire soulève la question de la perte des savoirs ancestraux et aborde les fondements de la médecine occidentale.
Cette perdition a lieu depuis de longues années, notamment à cause de l’influence des sociétés occidentales et du manque de considération grandissant pour l’environnement.
Des milliers de kilomètres parcourus, des dizaines de protagonistes rencontrés à travers le pays ont permis à l’équipe d’accomplir ce voyage d’exploration au sein d’un univers spirituel et d’une biodiversité exceptionnelle.
Grenouilles Productions et Bobine Films vous emmènent en voyage ! Animés par l’envie de vous soutenir dans cette période de confinement, El Gran Dragón est désormais en accès libre pendant cinq semaines !"
LE FILM EN ACCÈS LIBRE
https://reporterre.net/A-VOIR-Une-exploration-des-medecines-traditionnelles-en-Amazonie-peruvienne
Deux-Sèvres : 6.500 plants à écouler d'urgence !
Depuis vingt-cinq ans, Serge et Brigitte Lambert produisent des plants de tomates anciennes qu’ils vendent sur les marchés et les foires. Chaque année, ils font ainsi pousser quelque 10.000 plantes. Mais cette année le Covid-19 a tout bouleversé : « Bien avant le 17 mars, dès qu’ils ont compris que la situation allait se compliquer, mes parents ont décidé de produire beaucoup moins de plants », explique Christelle, la fille du couple.
Et ils ont eu raison de lever le pied car le confinement s’est ajouté à leur déveine : les foires de la région où ils vendent leurs plants ont été annulées les unes après les autres et, prudents, ils ont préféré renoncer au marché de Niort dont ils sont pourtant des habitués. C’est ainsi qu’ils se sont retrouvés avec quelque 6.500 plants de tomates sur les bras.
Donc, si vous cherchez des plants de tomates anciennes et non hybrides (on peut garder les graines puisqu’elles sont fertiles), cliquez sur le Potager d’à Côté. Vous y attendent, entre autres, 1.500 plants de cœur de bœuf, 1.500 de grosses tomates, 1.500 de tomates rouges, 300 de tomates noires, 150 de tomates vertes, 650 de tomates cerise…
https://www.lanouvellerepublique.fr/deux-sevres/commune/la-foye-monjault/6-500-plants-a-ecouler-d-urgence
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