jeudi 12 mars 2020

Coronavirus : l'Elysée envisage maintenant le report des municipales

https://www.lejdd.fr/Politique/coronavirus-lelysee-envisage-maintenant-le-report-des-municipales-3954939

INFO DÉJÀ SUPPUTÉE PAR LE REBOUSSIER samedi 29 fevrier 2020
https://reboussier.blogspot.com/2020/02/les-avantages-du-coronatruc.html


14 commentaires:

Anonyme a dit…

Après avoir utilisé le 49-3, il pouvait difficilement s'opposer au 15-3...

Anonyme a dit…

Carramba ! Encore raté ! Pas de report, supputations contrariées ?

Anonyme a dit…

Supputé, supputé ? Certes mais ... c'est raté !Va falloir trouver autre chose ? Les mécontents seront toujours pessimistes, les satisfaits seront toujours béats ! Les égoïstes frustrés et les je-m'en-foutistes égaux à eux-mêmes ! Et la connerie, virus ou pas, sera toujours là !

Anonyme a dit…
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Anonyme a dit…
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Anonyme a dit…

EN DIRECT : Conférence de presse de Jean-Luc Mélenchon


https://youtu.be/Rp0zpboFA3I


Jeudi 12 mars, à 20h30, suivez en direct la conférence de presse de Jean-Luc Mélenchon.

Anonyme a dit…

DISCOURS PRÉSIDENTIEL
Coronavirus. Macron s’érige en Jupiter mais laisse beaucoup d’inconnues

"Macron s’est exprimé en direct, à 20 heures, sur les grands médias. Des déclarations pour annoncer des mesures radicales et montrer qu’il prend la crise sanitaire au sérieux, mais qui ressemblent surtout à de belles promesses électorales à quelques jours des municipales sans aucune garantie."
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Refusons l’union sacrée

"En mal de popularité, Macron cherche à se refaire une santé… sur le dos de la crise sanitaire. En appelant à « faire bloc », à l’union sacrée face à la pandémie, il cherche à enterrer l’énorme contestation qu’il a dû affronter ces dernières années – depuis la bataille du rail à celle des retraites, en passant par la mobilisation des Gilets jaunes.

Mais Macron et le système qu’il défend sont à l’origine de l’impossible gestion de ce qu’il définit lui-même comme étant « la plus grave crise sanitaire depuis un siècle ». Il s’agit pour le gouvernement de rallier derrière lui l’ensemble des forces politiques de l’hémicycle pour éviter d’affronter cette crise d’envergure de façon isolée, et de ne pas supporter seul l’échec de sa gestion. En somme, une alliance du gouvernement et des partis politiques qui se sont alternés au pouvoir ou dans les institutions, pour voter les coupes budgétaires dans les services publics, la santé, la recherche.

Et avec un discours présidentiel jonché de contradictions, l’union sacrée pourrait venir aggraver le phénomène de tiraillement du gouvernement entre repentance vis-à-vis du néolibéralisme et allusions protectionnistes.

Il s’agit, pour les travailleurs, les jeunes et les plus âgés, les plus précaires – qui sont exposés aux conséquences les plus dramatiques du virus – de refuser de tomber dans le piège de l’unité nationale qui voudrait faire croire que les contradictions sociales s’effacent en période d’épidémie. Comme c’est déjà le cas en Italie, mais aussi en France, à PSA ou dans le secteur des transports en commun où les salariés sont envoyés au travail au risque d’être contaminé, il n’y a aucune illusion à avoir dans le gouvernement pour garantir la sécurité des travailleurs, qui ne peuvent compter que sur leur propre mobilisation. Le coronavirus et son impact sanitaire et économique désastreux sont une conséquence des politiques néolibérales de casse de l’hôpital public et de la recherche, menées par Macron et ses prédécesseurs, et nous n’avons aucun intérêt à faire front avec des pompiers-pyromanes."


https://www.revolutionpermanente.fr/Coronavirus-Macron-s-erige-en-Jupiter-mais-laisse-beaucoup-d-inconnues

Anonyme a dit…

CORONAVIRUS ET AUSTÉRITÉ

La pandémie de Covid-19 va-t-elle mettre fin à trois décennies d’austérité imposée à l’hôpital ?
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On le sait depuis la crise de la dette : l’austérité nuit aux soins

« Si les Italiens n’ont pas la capacité à soigner, c’est parce que ça fait dix ans qu’ils pratiquent une austérité sur les services publics et sur l’hôpital. Et nous en France, on en est pas loin », alerte l’économiste Thomas Porcher il y a quelques jours sur Regards, avant que la pandémie ne soit officiellement reconnue [11]. Au début des années 2010, des pays du Sud de l’Europe, comme l’Espagne, la Grèce et le Portugal, font face à une crise de leur dette publique et aux mesures de réduction des dépenses imposées par l’Union européenne. Leurs systèmes de santé, et donc la santé des citoyens, en pâtissent. En Espagne, le gouvernement adopte en 2012 un plan de réduction des dépenses de santé de sept milliards d’euros sur deux ans (Bastamag vous en parlait en 2015 ici). Le pays ferme ou privatise des dizaines d’hôpitaux et centres de santé. Près de 20 000 postes de soignants sont supprimés.

Au Portugal, l’accord conclu en 2011 entre Lisbonne et la troïka (Commission européenne, Fonds monétaire international, Banque centrale européenne) prévoit une coupe de plus de 600 millions d’euros dans la santé. En Grèce, des milliers de lits d’hôpital sont aussi supprimés. Des expérimentations d’hôpitaux autogérés apparaissent même pour pallier la pénurie et garantir l’accès aux soins pour tous.

« Ce que révèle d’ores et déjà cette pandémie, c’est que la santé gratuite, sans condition de revenus, de parcours ou de profession, notre État-providence ne sont pas des coûts ou des charges, mais des biens précieux, des atouts indispensables quand le destin frappe », semble comprendre Emmanuel Macron. Même les tenants allemands du budget à déficit zéro, dont la chancelière Angela Merkel, estiment que cette « règle d’or » ne vaut plus dans la situation actuelle. Le Covid-19 va-t-il obliger les gouvernements à admettre leurs dramatiques erreurs ?"

Rachel Knaebel et Ivan du Roy


https://www.bastamag.net/Coronavirus-Covid19-austerite-hopital-reduction-depenses-publiques-historique-lois-soins-sante

Anonyme a dit…

21h08 faudrait pas prendre le blog du Réboussier pour un divan de psychanalyse...

Anonyme a dit…

Bien sûr 10:34 mais face à tant de bêtises énoncées et mauvaise foi exposées pour tout et n'importe quoi, on peut parfois avoir envie de réagir, non ? La pandémie d'aujourd'hui s'éteindra bien un jour avec ou sans Macron ou Mélenchon et autres. La connerie persistera, c'est sûr ! Est-elle contagieuse ?

Anonyme a dit…

https://www.lemonde.fr/big-browser/article/2020/03/13/l-art-discret-de-la-velotypie-mis-en-lumiere-par-le-sous-titrage-hasardeux-du-discours-de-macron_6033017_4832693.html

Anonyme a dit…

"Les marchés financiers l’attendaient comme le messie pour contrer les effets négatifs du coronavirus sur l’économie européenne. Mais la présidente de la BCE Christine Lagarde a totalement failli. En décidant ce jeudi 12 mars - contrairement à ses homologues anglais et américains - de ne pas abaisser le taux directeur de la BCE, tout en limitant ses soutiens aux banques pour qu’elles prêtent aux PME, ainsi qu'à un programme de 120 milliards d'euros de rachats d'actifs supplémentaires, elle n’a pas convaincu les investisseurs internationaux."
(...)

https://www.marianne.net/economie/deuxieme-krach-boursier-de-la-semaine-la-grande-crise-se-rapproche

Anonyme a dit…
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Anonyme a dit…

Pour les actes, il prévoit à nouveau des grands monologues encadrés par une escouade de sirènes bleues, de livrer les retraites aux marchés financiers, de rendre l'accessibilité à l'assurance chômage encore plus longue, de réduire à nouveau les APL, de faire de l'Assemblée nationale un parlement croupion ?
Et pourquoi pas demain revêtir un gilet jaune pour faire les déclarations officielles ?

En attendant les lendemains qui chantent, jeudi nous avons eu droit à ça...

« Il nous faudra demain tirer les leçons du moment que nous traversons, interroger le modèle de développement dans lequel s’est engagé notre monde depuis des décennies et qui dévoile ses failles au grand jour, interroger les faiblesses de nos démocraties», a estimé le locataire de l’Elysée, qui s’est fait le chantre de l’Etat-providence, de la gratuité des soins, et de la nécessité de ne plus « déléguer à d’autres notre alimentation, notre protection, notre capacité à soigner, notre cadre de vie ».


https://www.lemonde.fr/politique/article/2020/03/14/emmanuel-macron-amorce-un-virage-a-gauche-pour-reprendre-le-controle-de-son-quinquennat_6033040_823448.html