samedi 28 mars 2020

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Pour privatiser Luxfer, il peut emprunter le stylo Montblanc de son ministre de la Santé...


https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/cette-boulette-dolivier-veran-passee-inapercue_445673

Anonyme a dit…

ON VOUS L'AVAIT DIT. ÇA ARRIVE! LES FONDS DE PENSION FONT BOIRE LA TASSE ... AUX RETRAITÉS

"En Europe et aux États-Unis, les difficultés rencontrées par les fonds de pension, avec la crise engendrée par l’épidémie de coronavirus, donnent des sueurs froides aux salariés. En France, les opposants à la réforme Macron sur les retraites font valoir la solidité du régime par répartition."
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https://www.humanite.fr/vous-lavait-dit-ca-arrive-les-fonds-de-pension-font-boire-la-tasse-aux-retraites-686869

Anonyme a dit…

Coronavirus - En 2017, Mélenchon prédisait un «krach sanitaire»
L'insoumission


https://youtu.be/aZ8rVzxFoLA


Extraits du meeting de Jean-Luc Mélenchon à Châteauroux le 2 avril 2017. Voici la retranscription de ces extraits :

« Nous sommes menacés d'un véritable krach sanitaire. Un krach, c'est un effondrement. Il résulterait de 3 facteurs : le premier, ce sont des défis sanitaires totalement nouveaux ; le second, c'est un appareil de soins, un ensemble de moyens de soins, qui est en voie de dislocation ; et le troisième, le lus grave, le plus important, le plus décisif, c'est ce qu'il y a dans la tête des décideurs.Une vision absolument absurde, mercantile, entrepreneuriale comme ils disent pour se gargariser avec des mots dont ils ne savent plus très bien ce qu'ils veulent dire, mais qui font si bien au goûter de la marquise. Cette vision de la santé nous rend incapable de répondre à ce que nous voyons se lever devant nous. D'abord, le déchainement de nouvelles épidémies.

Comment a-t-on pu en arriver là ? Regardez l'hôpital public qui était réputé, parce qu'il faut bien prendre le problème par un bout, être un modèle dans notre pays parmi les autres nations, et ça l'était. Comment en est-on arrivé au point où des gens qui travaillent sont devenus l'unique et dernière ligne qui permet à l'hôpital de fonctionner. Car sans leur dévouement, parfois jusqu'à la mort, il n'y aurait plus d'hôpital public.

Non, tout ça n'est pas normal. C'est pourquoi je vous parle d'un krach sanitaire en vue. Pendant qu'eux vous disent qu'ils vont encore enlever de l'argent public, encore diminuer les budgets publics, moi, je vous dis que nous allons améliorer la vie parce qu'on le peut. Le progrès est le seul horizon qui vaille. C'est ça qui peut nous rassembler. En ceci consiste la vertu : faire ce qui est bon pour tous.

La ligne politique de «L'Avenir en commun», c'est de relocaliser tout ce qu'on peut, et de commencer par relocaliser ce dont l'État peut avoir la maîtrise. Car c'est l'État qui est notre force, l'État stratège, l'État organisateur, l'État appartenant à son peuple pour accomplir les destins que celui-ci lui a donné l'ordre d'accomplir. Ne doutez pas une seconde de ça, s'il faut gouverner nous saurons le faire et le jour numéro 1 sera le jour numéro 1, pas le jour numéro 2. Dès le premier jour, il y aura l'équipe qu'il faut. Ah, bien sûr, ce ne sont pas les visages que vous avez l'habitude de voir. C'est vrai que beaucoup d'entre eux sont très jeunes. »

Cette question est une question de vertu mais du type de société dans lequel nous voulons vivre. Je vous demande une nouvelle fois d'y réfléchir. Nous ne sommes pas seulement ceux qui cherchent à régler tel ou tel problème, nous portons la vision d'un monde en nous.

Anonyme a dit…

«Pas de commission Benalla bis»

"Les postes, très stratégiques, de rapporteurs devraient être confiés à un député de la majorité et à un membre de l’opposition : principal groupe d’opposition, LR devrait donc être représenté dans ce tandem. Les présidents des huit groupes pourront faire partie de la mission, dans ses deux phases, composée de 31 autres membres (dont un député non-inscrit). Selon nos informations, le groupe LREM a désigné parmi les 16 postes qui lui reviennent, son patron Gilles Le Gendre donc, les six présidents de commission, ainsi que Jean-René Cazeneuve (à la tête de la délégation aux collectivités territoriales), Fiona Lazaar (pour la délégation aux droits des femmes), le rapporteur général du budget Laurent Saint-Martin, Alexandre Holroyd, Anne Genetet, Mickaël Nogal et Michèle Peyron.

Patron des députés LR, Damien Abad avait demandé mardi à Richard Ferrand à ce qu’il y ait «un partage des responsabilités quand la mission se transformera en commission d’enquête». «Si tout est entre les mains de la majorité ce ne serait pas acceptable. On veut bien jouer le jeu du collectif, mais pas d’entourloupe», prévient Abad, qui avait annoncé l’intention de la droite de réclamer une commission d’enquête à l’automne. En vue de cette deuxième étape, cruciale, Philippe Vigier, président du groupe Libertés et Territoires, avertit : «Je demanderai à Richard Ferrand que, le moment venu, on interroge toutes les personnes qu’il faudra. On ne va pas faire une commission Benalla bis.» Le temps de l’union nationale aura alors largement laissé place à celui des comptes."


https://www.liberation.fr/france/2020/03/27/crise-sanitaire-comment-la-mission-parlementaire-va-controler-le-gouvernement_1783358

Anonyme a dit…

STOP.STOP.STOP.STOP.STOP.STOP.STOP.STOP.STOP.

Devant le manque criant de financement pour la santé publique, La Peste, texte qui nous invite à être « solidaires », nous montre les faiblesses du système immunitaire d’une société devenue pathologiquement individualiste en s’asservissant aux lois du marché.

"Il y a dans les hommes plus de choses à admirer qu’à mépriser."
(...)


http://www.lavie.fr/debats/idees/epidemie-ce-qu-albert-camus-nous-dit-de-la-crise-actuelle-27-03-2020-105019_679.php

Anonyme a dit…

Coralie Dubost : cette maladresse de la compagne d’Olivier Véran face à des Gilets jaunes

En décembre 2018, Coralie Dubost n'avait pas réussi à apaiser des militantes des Gilets jaunes de sa circonscription de l'Hérault. Une journaliste du Monde avait assisté à la scène et raconté les coulisses de ce moment tendu.
(...)

"Autour de la table, le degré de confiance est proche de zéro", témoigne la journaliste. Avant de conclure sévèrement, dans son livre : Coralie Dubost est "à l’image de ses collègues députés castés par la commission d’investiture d'En Marche : son parcours est une success story qui contraste avec celui de ses femmes au destin cabossée. Les macronistes ont cru réparer la démocratie en investissant de nouveaux profils. Ils ont surtout donné l’impression que le système est fait pour ceux qui réussissent"."


https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/coralie-dubost-cette-bevue-commise-par-la-compagne-dolivier-veran-face-a-des-gilets-jaunes_445722