vendredi 22 février 2019

Thomas Legrand (France Inter) se lâche sur les gilets jaunes - Acrimed | Action Critique Médias

https://www.acrimed.org/Thomas-Legrand-France-Inter-se-lache-sur-les

3 commentaires:

Anonyme a dit…

(...) «Les insoumis tentent de faire entrer les propositions du peuple à l’Assemblée nationale ? Pour la radio d’État France Inter, il fallait réagir. Dans son journal de 8h, le plus écouté, elle fait une présentation malhonnête de notre proposition, reprenant tous les clichés et les mensonges du pouvoir contre l’insurrection citoyenne. Dans son reportage, elle ne donne la parole à aucun insoumis, malgré le travail effectué par le rapporteur de la proposition de loi, Bastien Lachaud, depuis deux mois. Non, c’est Étienne Chouard, un homme qui n’a aucun rapport avec la France insoumise, qui est interrogé. Nous aurions « exhumé sa proposition ». Comble de l’immonde, ces
«journalistes» porte-paroles du pouvoir n’oublient pas de rappeler les contacts entre Étienne Chouard et le fasciste antisémite Alain Soral. Instrumentaliser ainsi la lutte contre poison antisémite pour l’utiliser contre la France insoumise ou les «gilets jaunes» est totalement irresponsable. L’idée de référendum d’initiative citoyenne s’inscrit dans la tradition des lumières et de l’égalité absolue des êtres humains.» (...)

https://melenchon.fr/2019/02/21/france-inter-propagande-macroniste-contre-le-ric-a-lantenne/

Anonyme a dit…

#RDLS 86 : CLIMAT, ANTISÉMITISME, MALBOUFFE, RIC, RUSSIE, TAFTA.
Jean-Luc Mélenchon.

https://youtu.be/-82wJ0tbDnY

SOMMAIRE
- Les jeunes se mobilisent pour le climat
- L'instrumentalisation politique de la lutte contre l'antisémitisme
- Niche parlementaire de la France Insoumise : la malbouffe et le RIC
- Les missiles de Poutine
- Le TAFTA est de retour.

Anonyme a dit…

«Le problème de l’élite, qu’elle soit économique, intellectuelle, culturelle ou autre porte un nom : Démocratie. La démocratie est la loi du nombre et ils sont la minorité. Dans ces conditions, leur principale préoccupation consiste à trouver des moyens pour se maintenir au pouvoir en s’affranchissant du risque démocratique. Nul besoin d’innover, il n’existe que trois solutions : la division, la perfidie et la répression.

De la division

«La division permet de fragmenter la société afin que le volume du groupe le plus menaçant reste en deçà de la masse critique nécessaire pour renverser le pouvoir réel. Si elles fonctionnent toujours, les ficelles de la division sont désormais bien identifiées : opposer ceux qui se lèvent tôt à ceux qui se lèvent tard, ceux qui vivent au crochet de la société aux autres, ceux qui roulent au diesel et fument des clopes aux citadins qui prennent les transports en commun, les gilets jaunes aux écharpes rouges, les gauchos aux fachos, les populistes aux bobos, les socialos aux libéraux, les profiteurs aux donateurs, etc... prétendre à l’exhaustivité en la matière serait présomptueux puisqu’il se crée de nouvelles divisions chaque semaine, en fonction des besoins. A peine les gilets jaunes sont-ils devenus menaçants que des écharpes rouges sont apparues. Et comme cela n’a pas suffi, toutes les divisions possibles au sein du mouvement ont été testées. Parallèlement, l’extension de la contestation a été contenue par sa diabolisation. Le mouvement a donc dû faire face à une double attaque : une attaque interne destinée à l’éclater et une attaque extérieure destinée à l’isoler.»
.../...

https://mobile.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-probleme-de-l-elite-se-nomme-212920