La vie politique s'enlise et, à la fin, ce sont les pauvres qui trinquent ![]()
La «valeur travail», un horizon à dépasser à gauche
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La vie politique s'enlise et, à la fin, ce sont les pauvres qui trinquent
Par Noam Leandri, économiste
Alors que près de dix millions de Français vivent sous le seuil de pauvreté, les politiques de solidarité sont reléguées au rang de sujets secondaires. ► Lire la suite
Clément Viktorovitch, il boxe avec les mots
Par Lucas Bretonnier
Le politologue, spécialiste de rhétorique, poursuit son travail d'auscultation des discours dans un livre, une pièce de théâtre et sur Twitch où ses cibles préférées sont la macronie, Bruno Retailleau ou CNews. ► Lire la suite
Le chaos que nous vivons est le résultat de notre attention perdue
Par Christian Salmon
Notre débat public illustre jusqu'à la caricature la crise du régime de vérité qui traverse nos démocraties : nous vivons une bascule anthropologique amorcée il y a vingt ans aux Etats-Unis. ► Lire la suite
Rachat de SFR : derrière les manœuvres financières, l'ombre d'une casse sociale
Par Hamdam Mostafavi
Tandis que les trois opérateurs principaux, Free, Bouygues et Orange, tentent de se tailler la part du lion avec une offre de rachat, les milliers d'employés de l'entreprise, eux, plongent dans l'incertitude. ► Lire l'édito
Eric Sadin : «Face à l'ouragan des IA génératives, il nous reste deux ou trois ans pour agir»
Par Matthieu Écoiffier
Dans un essai percutant et documenté, le philosophe décrit le tournant anthropologique des technologies auxquelles nous déléguons nos facultés intellectuelles et créatives, leurs conséquences sur le travail et les façons de les réguler. ► Lire la suite
L'aide à mourir existe déjà : soutien aux soignants qui la défendent en actes
Par un collectif de 30 soignants
Jugé pour avoir aidé des patients à se procurer un barbiturique, le docteur Senet encourt jusqu'à douze mois de prison. Il a agi comme les soignants qui, avant la loi sur l'IVG, sont aussi passés par des voies radicales. ► Lire la suite
La newsletter Opinions de Libération
Par Libération
Conception graphique: Nicolas Valoteau
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
jeudi 16 octobre 2025
Fwd: La vie politique s’enlise et, à la fin, ce sont les pauvres qui trinquent
Fwd: [LE REBOUSSIER] Nouveau commentaire sur Le Parti socialiste sous la pression du reste de la gauche après sa décision de ne pas censurer le gouvernement Lecornu.
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> A rebours des positions de leurs groupes, sept parlementaires socialistes et une élue Les Républicains ont apporté leurs voix à la motion de censure déposée par les insoumis, rejetée à 18 voix près. Au PS, on compte quatre députés ultra-marins : Christian Baptiste, Béatrice Bellay, Philippe Naillet et Jiovanny William, qui avaient justifié la veille leur geste par le «désamour [du gouvernement] à l'égard des territoires d'Outre-mer». Le sujet de fâcherie principal résidait dans le budget, où les territoires ultra-marins étaient «appelés à payer solidairement et disproportionnellement la note de la mauvaise gestion des finances à l'échelle nationale». Ils étaient encore cinq jusqu'à mercredi soir, mais les discussions avec Sébastien Lecornu ont fini par dissuader Elie Califer de se joindre à eux. Contacté par Libération, il s'est dit temporairement rassuré par les «gages» donnés par le chef du gouvernement."
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> https://www.liberation.fr/politique/sept-ps-et-une-lr-qui-sont-les-deputes-qui-ont-vote-la-censure-du-gouvernement-lecornu-contre-la-consigne-de-leur-groupe-20251016_T2CGJWXN5VCOFE42CQPULGZZAE/
AVEC SALAMÉ ET BUGIER AUX COMMANDES, C'EST LE TITANIC DE FRANCE TÉLÉ...!
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Fwd: La guerre entre Israël et le Hamas est-elle vraiment finie ?" :
AVEC SALAMÉ ET BUGIER AUX COMMANDES, C'EST LE TITANIC DE FRANCE TÉLÉ...!
« Le navire amiral du 20h est en train de couler »
« Le navire amiral du 20h est en train de couler », s'alarme le syndicat, pointant du doigt « la faillite d'un système forgé pendant plusieurs dizaines d'années au sein de l'antenne de France 2 ». « Ploutocratie, méritocratie, endogamie, réseau, élitisme, c'est ce cocktail toxique qui explose aujourd'hui », lance-t-il.
« Malgré toute la cohorte de chefs et directeurs qui relisent la moindre virgule, (...) pas de rectification en direct », s'agace la CGT, précisant que « c'est encore plus grave quand une directrice et un rédacteur en chef présents en régie sont informés de l'extérieur de l'erreur, mais décident de ne pas faire de rectificatif en direct à la fin du JT ».
Le syndicat pointe plus globalement « les dérives éditoriales qui s'accentuent depuis la rentrée [et qui] sont le signe d'un système arrivé à bout de souffle. Ce ne sont plus les journaux de la rédaction, mais du petit groupe de décideurs éditoriaux. »
« La conséquence est visible à l'antenne : aucune diversité, récurrence de sujets sur des thématiques autour du fait divers, de la consommation et du people, unicité des approches et de la pensée. Et on ne parle pas du ton des commentaires dans les sujets... », déplore encore la CGT."
(…)
https://www.huffingtonpost.fr/medias/article/le-20h-est-en-train-de-couler-a-france-televisions-les-remous-depassent-le-cas-de-lea-salame_256045.html
mercredi 15 octobre 2025
Fwd: ÉCRIRE UNE NOUVELLE PAGE POUR ALÈS, C'EST AVEC LES ALÉSIENS... CHAQUE SEMAINE UN, DEUX QUARTIERS
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Fwd: La guerre entre Israël et le Hamas est-elle vraiment finie ?
La guerre entre Israël et le Hamas est-elle vraiment finie ?Le président de Madagascar dissout l'Assemblée nationale, motions de censure de LFI et du RN, deux Français condamnés par la justice iranienne, la recherche de plus en plus menacée en France.
La guerre entre Israël et le Hamas est-elle vraiment finie ?La situation actuelle demeure extrêmement fragile car le plan proposé par la Maison Blanche ne compte pas moins de 20 points et au lendemain de la libération des otages, seuls deux points peuvent être considérés comme remplis : le recul partiel de l'armée israélienne dans la bande de Gaza et le retour de prisonniers palestiniens détenus par l'Etat hébreu. La libération des otages israéliens détenus par le Hamas et d'autres groupes islamistes dans la bande de Gaza n'est d'ailleurs pas achevée. Si les 20 otages encore vivants ont bien été libérés, toutes les dépouilles n'ont pas encore été officiellement récupérés par l'armée israélienne. Un autre point essentiel de l'accord porté par la Maison Blanche est le retour de l'aide humanitaire dans la bande de Gaza. Si l'agence de l'ONU en charge de l'aide humanitaire a fait état d'une hausse des volumes autorisés par Israël, l'aide qui entre actuellement est loin de répondre aux besoins. Et le plus dur est encore à venir car les négociations autour des prochaines étapes s'annoncent particulièrement complexes et pourraient échouer à tout moment. A commencer par le désarmement du Hamas qui a déjà refusé en août de rendre les armes tant qu'un Etat palestinien n'aura pas été établi et que l'occupation israélienne se poursuivra. De son côté, Israël refuse toujours la création d'un Etat palestinien et les points de vue semblent irréconciliables. L'une des questions les plus complexes est celle de la forme que prendra la future gouvernance de la bande de Gaza. La Maison Blanche propose la mise en place d'une "gouvernance temporaire de transition, avec un comité palestinien technocratique et apolitique" chapeauté par un "conseil de la paix" dirigé par Donald Trump et l'ex-Premier ministre britannique Tony Blair. Mais cette partie de l'accord n'a pas encore été approuvée par les deux camps. Le plan de développement économique de Gaza promis par Donald Trump, qui a déjà fait polémique avec son idée de transformer la côte gazaouie en site touristique de luxe, devrait également faire débat. Et reste enfin la reconstruction de l'enclave palestinienne, où près de 80% des bâtiments ont été détruits. Notre publication est financée uniquement par ses lecteurs. Pour recevoir les prochains contenus du Monde Moderne, devenez abonné, gratuit ou payant. Le président de Madagascar dissout l'Assemblée nationaleLe président malgache Andry Rajoelina a dissous par décret l'Assemblée nationale, avant un vote le visant pour abandon de poste. La veille, depuis un lieu inconnu, il avait écarté toute démission et appelé à respecter la Constitution. Il s'agissait de sa première prise de parole après le ralliement des militaires à la contestation qui agite le pays. D'après la Constitution, les élections législatives doivent se tenir soixante jours au moins et quatre-vingt-dix jours au plus après le prononcé de la dissolution. "Ce choix s'impose pour rétablir l'ordre au sein de notre nation et renforcer la démocratie", a justifié Andry Rajoelina, dans un message publié sur les réseaux sociaux. Elu en 2018, puis réélu en 2023 pour un mandat de cinq ans lors d'un scrutin boycotté par l'opposition, Andry Rajoelina était sous la menace d'un vote pour "empêchement temporaire", qui nécessitait la majorité des deux tiers de l'Assemblée nationale. Des députés de l'opposition assuraient avoir collecté suffisamment de signatures pour procéder au vote lors d'une session extraordinaire. Ils dénonçaient une vacance du pouvoir, le chef de l'Etat ayant quitté le pays à bord d'un avion militaire français. Motions de censure déposées par LFI et le RNLes motions de censure déposées par La France insoumise et le Rassemblement national seront débattues jeudi à partir de 9 heures à l'Assemblée nationale, sous réserve de l'agenda du Premier ministre. Ces motions n'ont guère de chance d'être adoptées car les socialistes ont fait savoir qu'ils ne les voteraient pas. Les députés PS pourraient déposer leur propre motion après la déclaration de politique générale de Sébastien Lecornu. L'examen des trois motions pourrait dans ce cas être regroupé, par exemple jeudi soir. Deux Français condamnés pour espionnage par la justice iranienneLa justice iranienne a condamné deux ressortissants français à de longues peines de prison pour "espionnage" au profit de la France et d'Israël. Cette décision intervient un mois après l'annonce surprise par le chef de la diplomatie iranienne, Abbas Araghchi, que la France et l'Iran travaillaient à un échange de prisonniers. Le premier prévenu a été condamné à six ans de prison pour espionnage au profit des services de renseignement français, à cinq ans de prison pour association en vue de commettre un crime contre la sécurité nationale, et à vingt ans d'exil pour coopération en matière de renseignement avec Israël. Conformément à la règle de cumul des peines en vigueur en Iran, seul le verdict le plus lourd sera appliqué. Le second prévenu a été condamné à dix ans de prison pour espionnage au profit des services de renseignement français, à cinq ans de prison pour association en vue de commettre un crime contre la sécurité nationale et à 17 ans de prison pour assistance à la coopération en matière de renseignement avec Israël. Le verdict peut faire l'objet d'un appel devant la Cour suprême dans les vingt jours. Cécile Kohler et Jacques Paris sont également accusés d'espionnage pour le compte d'Israël. Leurs familles ont décrit leur situation comme de plus en plus désespérée. La liberté des chercheurs de plus en plus menacée en FranceLa liberté académique des chercheurs est de plus en plus menacée en France, selon un rapport, intitulé "Défendre et promouvoir la liberté académique", rédigé pour France Universités par Stéphanie Balme, directrice du Centre de recherches internationales à Sciences Po. Lancée début 2024, à l'initiative des représentants des universités françaises, l'étude se concentre sur la liberté académique et se base sur un corpus de tribunes, de débats et de textes de lois récents. En l'espace de quelques mois durant cette année 2025, "la situation de la liberté académique s'est nettement détériorée, au point qu'il est raisonnable d'anticiper une aggravation de cette tendance dans les années à venir". Le rapport pointe comme première menace une augmentation des procédures-bâillons. Par exemple, quand des entreprises ou des groupes privés contestent le contenu d'une recherche académique, empêchant le ou la chercheuse en question de publier son travail, en exerçant des pressions ou par des actes d'intimidation. Ces menaces peuvent aussi se traduire par la baisse de financements de recherches ou de bourses doctorales de la part d'acteurs privés, et même de collectivités locales, au prétexte de contenus jugés sensibles ou polémiques. Le rapport fait également état d'ingérences étrangères, qui visent à influer sur les contenus et les partenariats de recherche, ainsi que sur les prises de position d'universitaires français. Stéphanie Balme cite des annulations de conférences à l'initiative de directions d'établissements, d'associations étudiantes ou d'acteurs extérieurs, sur fond de polémiques ou d'invocation de risques de trouble à l'ordre public. L'universitaire formule 65 recommandations, comme inscrire la liberté académique dans la Constitution, développer la protection juridique des chercheurs, mieux garantir le secret des sources et la protection des données, sensibiliser le grand public et organiser des États généraux de la liberté académique. La survie du macronisme par le reniement |
Fwd: Un groupe néonazi attaque Le Poing !
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L'extrême-droite attaque Le Poing, soutenez la presse indépendante !
Les néonazis du Bloc montpelliérain n'assument pas d'être… des néonazis. L'un de ses militants attaque Le Poing en justice pour diffamation, furieux qu'un militant syndical l'ait désigné comme son agresseur. Le Poing en a vu d'autres, mais cette fois encore, nous avons besoin de votre soutien.
Depuis plus de dix ans, Le Poing documente sans relâche les méfaits de l'extrême droite de rue à Montpellier, qui oscille entre dissimuler son racisme ou assumer sa bêtise. Le Bloc montpelliérain opte clairement pour la seconde option : saluts hitlériens, stickers de tanks nazis proclamant que « Montpellier, c'est l'Allemagne », opération commando dans un bar communiste à Alès, etc.
En janvier 2024, ses membres s'invitent à un rassemblement d'agriculteurs à Montpellier pour intimider journalistes et militants sur le thème « Ici, c'est les Blancs », avant d'être expulsés par les organisateurs. Quelques mois plus tard, en juin 2024, ils tabassent un militant syndical. Bilan : une dent cassée et 42 jours d'ITT. Le Poing révèle immédiatement les prénoms et l'initiale des noms figurant dans la plainte de la victime. L'un d'eux écope de dix mois de prison avec sursis (l'appel est en cours), tandis qu'un autre, Dorian M., non poursuivi, nous attaque pour diffamation. Le procès aura lieu le 21 octobre 2025 à 13h30, à la 17e chambre du tribunal de Paris. Nous maintenons toutes nos informations, reprises par Mediapart.
Cette plainte s'inscrit dans la longue série de procédures-bâillons qui visent à intimider les médias indépendants. Le Poing enquête sur les violences d'État, les dérives sectaires, les agressions d'extrême droite, les luttes sociales, les combines politiques, etc. Malgré les menaces, malgré les pressions, aucun tribunal ne nous a jamais condamnés, car notre travail, en libre accès, est sérieux. Cette attaque ne vise pas à établir la vérité, mais à bâillonner un média indépendant qui ne baisse pas les yeux. Face à l'extrême droite, votre soutien est vital : partagez nos articles, faites un don !
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Montpellier : des néonazis agressent un militant syndical au festival des fanfares
Le samedi 1er juin 2024, vers 22h30, au festival des fanfares, des néonazis du groupuscule "Bloc montpelliérain" ont attaqué un militant syndical à coup de poing. Il a déposé plainte.
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Dix ans d'extrême droite à Montpellier : heurs et malheurs des fachos locaux
Depuis plus de dix ans, Le Poing chronique les agissements (et les pantalonnades) de l'extrême droite locale. Petit retour sur une décennie chargée.
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Mobilisation des agriculteurs à Montpellier : l'extrême-droite de rue en roue libre
Le 26 janvier 2024, à Montpellier, alors que les agriculteurs manifestaient sur la Place de la préfecture, des militants nationalistes ont mené une série d'intimidations contre des journalistes et des militants perçus comme "de gauche".
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La South Face, une milice fasciste responsable de nombreuses agressions à Montpelliers
Nous révélons l'existence d'un groupe semi-clandestin, caché derrière un label, dont l'objet est de mener des actions violentes contre des groupes politiques de gauche ou antifascistes.
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