Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
mardi 11 juin 2024
Emmanuel Glucksmann
Raphael Macron
Boff !
J' ai bien peur qu' un Emmanuel Macron cache un Raphael Glucksmann
Comme un Hollande a caché un Macron qui s'était autoproclamé rassembleur
De gauche ?!?! Et plus si affinités
Glucksmann serait-il le nouveau Macron ?
Qui avec un discours judéo-gauchiste serait l' élu qui continuerait inexorablement et sous tutelle, la politique économico-financière de son prédécesseur MACROUNÉ
Se faisant passé pour un défenseur des classes populaires
en proposant un ancien leader CFDT (qui n' a que mollement défendu les classes laborieuses ) comme premier ministre
N' a fait aucun éclat !!
L' intéressé lui même ne s'est pas manifesté !
ça sent l' arnaque …
D' ailleurs ce Glucksmann n' adhère pas encore au FRONT POPULAIRE !
J' espère de tout coeur que mon intuition délire et divague !
Lereboussierquideconnedeplusenplusmaisquinépaleseul
Des mois d'arbitrages tendus jetés à la poubelle
"Des mois d'arbitrages tendus jetés à la poubelle. Tous les dossiers législatifs en cours visant à mettre en œuvre les promesses faites par le gouvernement aux agriculteurs après leurs manifestations de colère de début d'année sont gelés. C'est l'une des conséquences de la décision du président de la République de dissoudre l'Assemblée nationale en raison des résultats des élections européennes.
Dès la publication du décret de dissolution et jusqu'aux nouvelles élections, tous travaux cessent en effet à l'Assemblée nationale. Le Sénat, bien que toujours en place, a décidé de suspendre ses travaux en séance publique. Seules les « affaires courantes » gérées par le ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, sans besoin de l'intervention du Parlement, pourront être poursuivies pendant les quatre prochaines semaines, dans l'attente de l'élection des nouveaux députés, explique le ministère.
Plusieurs années de travail
Premier gâchis, le « projet de loi d'orientation pour la souveraineté en matière agricole et le renouvellement des générations en agriculture ». Adopté en première lecture par l'Assemblée nationale le 28 mai, le texte devait être discuté par la Commission affaires économique du Sénat le 12 juin, puis en séance publique à partir du 24 juin. Le gouvernement espérait terminer le processus législatif devant la Commission mixte paritaire début juillet.
Bien que considéré insuffisant par l'ensemble des oppositions, ce texte était le résultat de plusieurs années de concertations entre les syndicats agricoles majoritaires et le gouvernement. « L'équilibre trouvé est le bon », avait encore défendu le tout nouveau président de Jeunes Agriculteurs, Pierrick Horel, lors de leur congrès annuel le 6 juin, en espérant que le Sénat « ne remette pas tout à plat ».
De nouveaux sujets clivants sur la table?
Désormais, il faudra recommencer tout presqu'à zéro. Même si le nouveau gouvernement décidait de reproposer le texte à l'ordre du jour du Sénat, celui-ci devrait en effet être de nouveau examiné et approuvé par les deux chambres, dans un contexte de nouveaux équilibres parlementaires.
Les Jeunes Agriculteurs, tout en considérant « dommage de sacrifier le travail réalisé », mettent en outre en garde: si le nouveau ministre de l'Agriculture ne devait pas « être dans la même ligne que l'actuel, Marc Fesneau », le syndicat serait prêt à « rouvrir le dossier du A au Z », explique son vice-président Julien Rouger. Il ne se contenterait alors plus d'un texte axé sur les sujets les plus consensuels dans le monde agricole: la souveraineté alimentaire, la simplification et l'installation-transmission. Il exigerait que soient mis en même temps sur la table aussi des sujets « très clivants », tels que la réforme du foncier, sur lequel les Jeunes Agriculteurs viennent de formuler des propositions dans leur Rapport d'orientation 2024.
Plus de nouvelle loi Egalim avant les négociations commerciales?
La question du revenu, au centre des revendications agricoles, prend aussi un coup dans l'aile. Le gouvernement voulait l'adresser dans un autre texte législatif, dont il avait confié la préparation à deux députés de la majorité, Anne-Laure Babault et Alexis Izard. Leur mission était d'auditionner l'ensemble des acteurs de la chaîne alimentaire, afin d'identifier les failles des diverses lois déjà adoptées depuis 2018 afin d'améliorer la répartition de la valeur ajoutée entre l'amont et l'aval, dites « Egalim ». Ils devaient présenter un rapport à la mi-juin, puis une proposition de loi début juillet. L'objectif, explicite, était qu'elle soit ensuite adoptée avant le début des prochaines négociations commerciales entre les industriels de l'agroalimentaire et les distributeurs, qui démarrent habituellement en novembre."
https://www.latribune.fr/economie/france/crise-agricole-les-dossiers-brulants-mis-aux-oubliettes-suite-a-la-dissolution-de-l-assemblee-999557.html
Post de François Ruffin sur X
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lundi 10 juin 2024
Déclaration de Paul Planque
DECLARATION DE PAUL PLANQUE
A Alès, comme sur l'ensemble du pays la marée noire a déferlé.
Lors de ces Elections Européennes, avec 44,21 % des voix l'Extrême-Droite est majoritaire dans notre ville.
Personnellement, je ne me résous pas à considérer que cela soit une fatalité. En effet, si les idées nauséabondes, des BARDELLA, MARECHAL ou PHILIPPOT ont prévalu c'est aussi et surtout le résultat de décennies de politiques qui n'ont pas apporté les réponses attendues par celles et ceux qui souffrent le plus de cette économie mondialisée au service exclusif de la finance, incarnée par les différents pactes européens.
Le rejet de l'Autre est le pain duquel se nourrissent ces faussaires de la question sociale.
Au moment où l'incendiaire Macron a décidé de jouer le kamikaze, il est grand temps que les forces de progrès se ressaisissent. La situation exige de nous sérieux et responsabilité.
La période qui s'ouvre devant nous doit être appréhendée avec l'esprit d'ouverture et de rassemblement qui permettront de déjouer le piège tendu ; il est grand temps d'oublier nos égos partisans.
Alors qu'à Alès le « bloc de Gauche » représente 33,51% des votes exprimés (Source : Ministère de l'Intérieur), il apparaît le mieux à même de contrer les ambitions de l'Extrême-Droite sur notre ville.
Au moment où le clan présidentiel et la Droite républicaine plafonnent à 18,17%, seule la Gauche unie au sein d'un véritable « Front populaire » peut mobiliser les 52,31% d'Alésiennes et d'Alésiens qui, n'y croyant plus, se sont abstenu(e)s dimanche.
Pour ce qui me concerne, et parce que « Quand les blés sont sous la grêle, Fou qui fait le délicat, Fou qui songe à ses querelles », j'appelle celles et ceux, ayant le coeur à Gauche,mais aussi celles et ceux qui se disent « ni de Gauche ni de Droite », à réenchanter notre avenir et celui de nos enfants, à soutenir et faire campagne pour les seul(e)s candidat(e)s encapacité d'endiguer la marée noire.
Au niveau national mais singulièrement sur la 4ème et 5éme circonscriptions du Gard, dans la perspective des prochaines élections législatives, j'appelle l'ensemble des forces de Gauche à se rassembler derrière une candidature unique.
Personnellement, dès aujourd'hui, je me mets au service de Michel SALA, Député LFI/NUPES de la 5ème circonscriptiondu Gard, pour confirmer et amplifier, en juin 2024, le choix d'il y a deux ans.
Afin que revienne « un goût de la vie », j'invite le « Front populaire » à se constituer pour l'emporter.
Alès, le 10/06/2024
Information importante - Mobilisation générale pour l'Union populaire
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Le résultat des élections européennes est une déroute totale pour le président de la République. Sa politique a été rejetée par le peuple français et il a échoué à empêcher la progression de l'extrême droite.
Dans ce contexte, notre liste conduite par Manon Aubry est en forte progression par rapport à la précédente élection européenne de 2019, à près de 10 % et augmentant son nombre d'élu·es de 6 à au moins 9 élu·es.
Nous remercions tou·tes nos électrices et nos électeurs, en particulier la jeunesse et les habitant·es des quartiers populaires et des départements et territoires ultramarins qui ont réalisé cette avancée. Cette nouvelle France a commencé son irruption sur la scène politique. Elle ne doit plus la quitter. Nos résultats impressionnants dans les grandes villes et dans les banlieues populaires démontrent comment elle tient les choix du futur.
La mobilisation de tou·tes les insoumis·es a été décisive. Nous remercions toutes celles et tous ceux qui ont participé à cette campagne.
Nous devons nous tenir prêt·es pour celle qui arrive. Nous mettons dès aujourd'hui toutes nos forces dans ce combat pour battre l'extrême droite et les macronistes. Pour l'emporter, appliquer notre programme et ainsi tout changer pour notre pays. Seul le bloc populaire peut empêcher la victoire de l'extrême droite.
Des discussions nationales sont en cours. Pour construire maintenant l'Union. Urgente, forte, claire. Sur les bases du programme partagé de la NUPES. Nous vous demandons donc de ne pas engager de discussions à l'échelle locale.
Des gens rejoignent la France insoumise et ses groupes d'action : depuis hier soir 20h, c'est déjà 6708 nouvelles personnes qui ont rejoint la France insoumise et 3 683 qui ont rejoint un groupes d'action !
Voici ce que vous pouvez d'ores et déjà faire :
► Rejoindre les groupes d'action si ce n'est pas déjà fait
► Réunir votre groupe d'action pour intégrer les gens qui l'ont rejoint et les mobiliser pour la campagne à venir
► Imprimer, afficher et coller l'affichette de remerciements des électeur·rices (un tract est à venir)
► Rejoindre les rassemblements qui vont avoir lieu partout dans le pays
► Participer à la campagne pour voter en commençant à faire connaître la date et partager l'outil de procuration (bientôt en ligne)
► Faire un don à la France insoumise
Amitiés,
Manuel Bompard
Pour la Coordination des Espaces de la France insoumise
L’oligarchie place l’extrême droite au seuil du pouvoir. La gauche et les écologistes doivent être à la hauteur de ce danger, et s’unir sans barguigner.
L'oligarchie place l'extrême droite au seuil du pouvoir. La gauche et les écologistes doivent être à la hauteur de ce danger, et s'unir sans barguigner.
"S'unir, se regrouper, s'allier, faire front, faire face, se rassembler, arrêter de barguigner, de tergiverser, de palabrer, de s'invectiver, de se quereller : cette injonction que des millions de personnes disent depuis des semestres à des partis divisés et fragmentés, il faut aujourd'hui même, face au danger, que Les Écologistes, que la France insoumise, que le Parti socialiste, que le Parti communiste, que d'autres, l'entendent et agissent.
Car le panorama politique n'a jamais été aussi clair : après des années de politique ultralibérale et de matraquage orchestré par des médias aux mains des milliardaires, l'oligarchie a placé l'extrême droite au seuil du pouvoir. Tout, y compris le fascisme — un fascisme accommodé à la sauce du XXIᵉ siècle et de l'intelligence artificielle —, plutôt que le partage des richesses. Et par un fantastique renversement opéré par une bourgeoisie recroquevillée sur son égoïsme, les descendants de Pétain et des collaborateurs de Hitler, les successeurs des colons et de l'Algérie française, les promoteurs de la xénophobie institutionnalisée sont présentés comme dignes d'assurer le pouvoir.
Est-il besoin d'évoquer ce que signifierait en France l'arrivée du Rassemblement national à la tête de l'État ? Du macronisme taille XXL ! Encore plus de chasse aux étrangers, de répression des écologistes et des mouvements sociaux, une liberté totale à une police raciste et brutale, le déni climatique, et la confortation d'un ordre social aux mains des milliardaires.
Que la gauche et les écologistes s'unissent, c'est tout. Qu'elles partent à la bataille ensemble, pour préserver la liberté, et projeter enfin la vision forte d'une société juste et populaire, d'un avenir qui ne serait pas voué au désastre écologique, mais s'éclaire au contraire de nouveaux modes de vie inspirés par la sobriété et la coopération. Une gauche unie sur des mots d'ordre clairs : taxer les riches, poser la justice comme condition de la paix sociale, et replacer la santé, l'éducation, les transports au cœur de la politique.
Soyons réalistes : il est peu probable qu'une gauche unie obtienne le 7 juillet la majorité. Il serait donc vain, pire, criminel, de s'écharper maintenant sur qui serait le ou la Première ministre. Mais il est vital à l'heure du danger de recréer une dynamique conquérante et joyeuse, pour au minimum constituer un bloc puissant à l'Assemblée nationale et rouvrir les portes d'un avenir désirable."
https://reporterre.net/Une-seule-solution-l-union
dimanche 9 juin 2024
FRENFRENFREN
Le RN
Mais oui bien sur !
Le programme égrené par ce parti
Est une liste interminable (dans interminable il y a minable)
De tout ce qui ne va pas chez nous
Les solutions ne sont pas évoquées , ils n’en ont pas !
Ils ont oublié La Covid
Peut être que … si ils avaient été contre « la Covid »
moi qui en suis malade
J’ aurai voté pour eux
Quel dommage !
Lereboussiercovidé