samedi 11 janvier 2025

Bonne année 2025 ! - Les actualités de la France insoumise

 
 
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3 commentaires:

Anonyme a dit…

https://www.humanite.fr/social-et-economie/insee/91-ou-112-millions-de-pauvres-les-comptes-et-mecomptes-de-la-pauvrete

Anonyme a dit…

Prudhomme Christophe

"Après Toulouse, c'est Montpellier qui craque. Deux des plus grands CHU de France ne peuvent plus assurer leur mission de service public. Un changement politique est urgent !"
(…)


https://x.com/PrudhommeChri10/status/1877688958991163506

Anonyme a dit…

Censure : la vérité est dans le calendrier

"Les interventions du président de la commission des Finances de l’Assemblée nationale, Eric Coquerel, sont une aide précieuse à la compréhension des événements. Sans lui on se perd dans le jeu de rôle médiatico politique où les gentils font assaut entre eux de « moi je suis responsable donc je discute ». Certes ceux qui suivent de près voient bien la comédie et le vide. Mais aussi l’impréparation de certains protagonistes qui disent souvent des, des…, des… approximations, parfois surprenantes ou contradictoires entre elles. Mais pour combien d’entre eux, la lumière médiatique étant prise, c’est un résultat suffisant.

Rappelons d’abord qu’Eric Coquerel est élu président de la commission des Finances parce qu’il est membre de l’opposition. Son rôle n’est donc pas de boucler le budget pour le compte du gouvernement. Son rôle est de garantir que les missions de contrôle parlementaire de l’exécutif ne soient pas complaisantes. Mais aussi de permettre à la Commission de pouvoir faire des propositions dans le débat de toute l’Assemblée. Donc ce jour-là, Eric Coquerel se fait défier par un animateur de télé avec la phrase qui tue : nous (LFI) serions « la gauche du tout ou rien, c’est-à-dire du rien pour finir ». Évidemment, c’est encore une de ces formules dont raffolent nos partenaires pour se mettre à distance des insoumis. Ce genre de formule creuse est censée mettre en lumière le « grain à moudre » que seraient en train de traiter les « gens responsables qui discutent ». Et Coquerel de répondre : le budget de Bayrou sera obligatoirement pire que celui de Barnier. Du coup, à côté de la prétendue gauche « du tout ou rien », il y a pire. C’est la gauche « du rien et rien ». Car la prétendue négociation n’existe pas. Et elle ne peut pas exister. Pour des raisons politiques mais aussi à cause de la procédure parlementaire engagée qui la rend impossible. "
(…)

Ne perdons pas de vue l’essentiel : ceux qui refusent la censure valident le coup de force de Macron en juillet dernier refusant le résultat des élections. Est donc en jeu quelque chose d’important : la forme républicaine de l’Etat. Et, à un autre niveau, il s’agit de la définition du fonctionnement d’une cohabitation quand le Président n’a plus la majorité parlementaire. Dire comme le fait François Hollande qu’un Président « doit toujours pouvoir aller au bout de son mandat en toute hypothèse » est inacceptable. Hollande croit formuler un propos d’apaisement et de « stabilité » ? C’est tout le contraire. Cela signifie que le Président recevrait un nouveau pouvoir considérable: le droit d’ignorer le résultat des législatives qu’il convoque par dissolution !

Mais l’effondrement du sentiment démocratique et l’égarement de la vigilance républicaine dans l’obsession islamophobe fait ce résultat : personne ne demande à un ancien président de la République si c’est bien cela qu’il propose. Personne ne demande à cinq présidents de groupes parlementaires (2 PS, 1 EELV et 2 PCF) comment leurs « négociations » trouvent une place dans le calendrier constitutionnel de vote d’un budget de l’Etat. En revanche les éditos sur la « confusion au NFP » et bien sûr « Mélenchon furieux » « les insoumis menacent » etc., ça y va allègrement ! "
(…)


https://melenchon.fr/2025/01/12/censure-la-verite-est-dans-le-calendrier/