jeudi 7 novembre 2024

Des arbres et des arbustes pour limiter les colères du Gardon à Saint-Christol-lès-Alès - France Bleu

https://www.francebleu.fr/infos/environnement/des-arbres-et-des-arbustes-pour-limiter-les-coleres-du-gardon-a-saint-christol-les-ales-2636196



5 commentaires:

Anonyme a dit…

https://www.objectifgard.com/actualites/saint-felix-de-pallieres-bruno-weitz-a-demissionne-michel-sala-devrait-poursuivre-la-fonction-de-maire-137374.php

Anonyme a dit…

https://www.midilibre.fr/2024/11/13/la-battue-dans-une-foret-des-cevennes-tourne-mal-un-sanglier-charge-le-chasseur-et-le-blesse-grievement-12321123.php

Anonyme a dit…

Un frein aux projets ambitieux

"À ces prélèvements récurrents s’est ajouté un autre mécanisme pour piller les ressources financières des agences : le « plafond mordant ». En clair, l’État a fixé un seuil de recettes au-delà duquel il prélève le surplus. Un dispositif qui « empêche [les agences] de mettre des sous de côté pour mener à bien des projets ambitieux », alertait Jacques Pulou en 2017. Vertement critiqué, l’exécutif s’était engagé, l’an dernier, à relever ce plafond. Une promesse visiblement tombée aux oubliettes.

Pour l’État, pas de quoi en faire un pataquès : les caisses des agences sont pleines. Elles disposeraient d’une trésorerie de « 460 à 550 millions » fin 2024, selon l’exécutif, qui estime que 200 millions seraient suffisants. Un avis contesté par Régis Taisne, de la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR) : « Si l’État prélève 130 millions, le risque, c’est que l’agence ne puisse pas verser l’aide au moment où la collectivité en aura besoin, a-t-il expliqué au journal Ouest-France. Elle sera contrainte d’emprunter ou retarder le paiement des entreprises. »

« L’écologie encore victime de la raréfaction des financements publics »

Les projets des agences sont-ils menacés par cette nouvelle saignée budgétaire ? Interrogé par Reporterre, le président du comité de bassin Loire-Bretagne se veut rassurant : « Ce nouveau prélèvement ne va pas remettre en cause la dynamique autour du plan eau, indique Thierry Burlot. L’état des finances publiques est tel qu’aujourd’hui, chacun doit faire un effort. » Même si ce plan n’est pas la panacée, c’est la seule feuille de route existant à ce jour pour tenter de réduire nos consommations d’eau.

Il se dit en revanche « très inquiet » des coupes budgétaires visant les collectivités locales, qui portent les projets sur l’eau. « J’ai bien peur que l’effort très important demandé aux collectivités ne remette en cause la mise en œuvre du plan eau, précise-t-il. On ne devrait pas manquer d’argent pour subventionner le programme, mais on va manquer de porteurs de projets. »

Autrement dit, les communes et intercommunalités, exsangues, risquent de différer leurs travaux pour résorber les fuites des réseaux ou pour moderniser les stations de traitement de l’eau potable. Et l’élu de conclure : « Encore une fois, l’écologie va faire les frais de la raréfaction des financements publics. »


https://reporterre.net/Budget-2025-les-agences-de-l-eau-trinquent-encore

Anonyme a dit…

BEAUCAIRE : DES IMMIGRÉS LATINOS EXPLOITÉS / RÉVÉLATIONS SUR LA FACE CACHÉE D'UNE VILLE RN
Le Média


https://youtu.be/eRPqqMu3Op8?si=sK_mjeIun6hRB9u-


L’immigration est au cœur des débats politiques affichée comme une priorité des problèmes à régler pour les français. A en croire notre ministre de l’intérieur, Bruno Retailleau, cette immigration ne serait pas une chance pour notre pays et serait même à l’origine d’une grande partie des maux de la société française. Une mécanique de bouc émissaire qui cache pourtant d’autres réalités beaucoup plus nuancées.
Car l’immigration constitue encore une manne de main d’œuvres exploitable à merci pour des secteurs en peine de recrutement comme l’agriculture. Dans cette enquête, Le Média vous emmène à Beaucaire, commune du Gard dirigée par l’extrême droite depuis une dizaine d’années. Là, depuis une dizaine d’années, une vaste communauté d’immigrés originaire d’Amérique latine s’est installée. Exploités dans les structures agricoles locales ils sont devenus indispensable à la dynamique économique de cette région française. Malgré cela, la municipalité Rassemblement National refuse de les aider à s’intégrer les maintenant dans une précarité qui les empêchent de quitter les champs.
Travailleurs latinos exploités, c’est la Face Cachée de Beaucaire, une commune aux mains de l’extrême droite. Une enquête de Raphael Blandamour et Simon Breem.

Anonyme a dit…

La construction d’une centrale solaire de 122 hectares au sol vient d’être autorisée par l’État sur les communes de Prévenchères et de Pied-de-Borne. Le projet soutenu par les élus locaux en pleine zone tampon Unesco « Causses et Cévennes » pose la question de la préservation des paysages face au déploiement des énergies renouvelables.

Plateau du Roujanel (Lozère), reportage

"Des pins sylvestres alignés comme des soldats poussent sur le sol rocailleux. Entre les pistes DFCI (défense contre l’incendie) et les genêts, des signalétiques en plastique orange fluo ont poussé tels des champignons. Les ramasseurs de cèpes et de girolles enjambent ces balises qui délimitent les cinq futures zones où seront implantés des panneaux solaires. L’État a autorisé, dans un arrêté du 30 juillet dernier, la construction d’une centrale solaire au sol d’une surface totale de 122 hectares (241 758 modules au total) sur les communes de Prévenchères (260 habitants) et de Pied-de-Borne (186 habitants).

Ainsi, le plateau du Roujanel va être recouvert en partie par la plus grande centrale solaire d’Occitanie (129 MWc, soit la consommation électrique de 80 000 personnes). Les gorges du Chassezac, la rivière de cette vallée, ont elles aussi été métamorphosées, cette fois pour la construction de cinq barrages hydroélectriques (d’une puissance de 197 mégawatts-crête (MWc), soit la consommation de 162 000 personnes). Une zone industrielle est en passe de s’installer sur ce territoire rural et faiblement peuplé, inscrit dans la « zone tampon » du « Bien Unesco » des Causses et des Cévennes, au titre de « paysage culturel de l’agropastoralisme méditerranéen »."
…/…


https://reporterre.net/Dans-les-Cevennes-122-hectares-de-panneaux-solaires-vont-s-installer-en-zone-protegee