samedi 9 mars 2024

Enquête truquée et aigles menacés : un parc éolien remue le Gard

https://reporterre.net/Enquete-truquee-et-aigles-menaces-un-parc-eolien-remue-le-Gard



3 commentaires:

Anonyme a dit…

C'est TOTAL .... avec un sous traitant qui n'aura pas les finances en cas d'avenir incertains , ce sont les MOULEZANAIS SES qui réglerons la facture
détruire ce bois des Lens est une connerie de plus .
après les PFAS et TFA on a pas besoin de pollution complémentaire .

Anonyme a dit…

Truquée et menacée la concertation ?

"Corbès, Durfort, Fressac, Générargues, Lasalle, Soudorgues et Saint-Sébastien-d'Aigrefeuille vont voir leurs collégiens fréquenter un autre établissement que celui auquel la commune était affiliée, à partir de la rentrée 2025. Les mairies ont reçu un courrier des services départementaux en ce sens, après que l'élue en charge des collèges, Nathalie Nury, a rendu visite aux municipalités concernées. En redéfinissant la carte scolaire, le Département essaie d'endiguer la baisse drastique du nombre de collégiens inscrits à Saint-Jean-du-Gard et de réduire le nombre d'élèves au collège Florian d'Anduze, "afin de garantir les conditions de réussite éducative des élèves de chacun de ces établissements", écrit Nathalie Nury dans le courrier qu'elle a adressé aux maires, au mois de décembre."
(…)


https://www.objectifgard.com/education/fait-du-jour-pour-les-colleges-danduze-saint-hippolyte-du-fort-et-saint-jean-du-gard-sept-communes-devraient-changer-daffectation-124165.php

Anonyme a dit…

Interstices

"S’esquisse ainsi ce que Geneviève Pruvost qualifie de « politique de la parcelle », à savoir une lente acquisition foncière au profit d’une communauté écologique radicale, aussi diverse soit-elle. Mais cette « politique interstitielle », pour reprendre l’expression du sociologue étasunien Erik Olin Wright, bute sur plusieurs écueils, malgré son caractère officiel.

Vu la faiblesse de leurs apports financiers et leur refus d’emprunter auprès des banques, les paysans alternatifs de Valondes doivent se contenter de terrains oubliés, pour le meilleur et pour le pire. Pour le meilleur, car ils échappent ainsi à la surveillance de l’État et du voisinage ; et pour le pire, car ces terrains, étriqués, empêchent une installation agricole en bonne et due forme.

Au terme d’une enquête ethnographique originale, dont l’immersion au sein d’une communauté écologique radicale aura remué, selon ses propres mots, son autrice, on prend mieux la mesure de ce que signifie vivre aux marges du capitalisme et de l’État. Non pas dans « une opposition manifeste, mais, bien au contraire, tout contre, autrement dit tout près, à côté, sans se laisser pour autant absorber ». On peut par conséquent renverser le sous-titre de l’ouvrage : tout en voulant « conter ce qui conte », Geneviève Pruvost « compte ceux qui content » une autre manière de vivre.


La subsistance au quotidien. Conter ce qui compte, de Geneviève Pruvost, aux éditions La Découverte, collection « L’horizon des possibles », février 2024, 504 p., 28 euros."


https://reporterre.net/Yourte-fournil-Ils-vivent-aux-marges-du-capitalisme-et-du-patriarcat