"L’organisme s’est appuyé en 2023 sur l’étude de plus 46 000 échantillons de 46 légumes et fruits différents. Notons qu’avant chaque test, les fruits et légumes ont ainsi été lavés, pelés ou frottés. Résultat ? En tête des produits qui contiennent le plus de pesticide, on retrouve la fraise. Ce fruit rouge très apprécié par les petits et grands gourmands surpasse ainsi les épinards, le chou vert et chou frisé mais aussi les pêches, les nectarines, ou encore les pommes ou le raisin qui apparaissent aussi dans la liste des produits les plus pollués." (...)
je ne ferai aucun commentaire ..les connaissant bien tous les deux et avec d'autres arguments à développer , car je ne pense pas être en crise après, depuis longtemps ,un demi siècle, avoir choisi la voie de la raison qui est celle d'observer et de collaborer avec la nature .. petit rappel pour les étourdis : Génération XVII , le cri de la terre ,filmé par Frédéric Gleyze où je montre ce qu'on pourrait faire pour casser le cycle infernal du dérèglement climatique ( j'ai assez de recul pour dire certaines choses .) louis julian
De la démesure au sur mesure pour les débouchés...
RETOUR AUX ORIGINES Ne les appelez plus Val d’Orbieu… Ou pire, négoce acheteur de vins espagnols !
"Prenant l’identité de Coop VO, l’union coopérative languedocienne veut s’émanciper de l’image de gros faiseur pour affirmer son repositionnement de prestataire de services dédié à la production de vins en vrac sur mesure." (…)
Changement de braquet
« Jusqu’à trois ans en arrière, tous les vins étaient aspirés par Vinadeis » rappelle Vincent Charleux, le directeur technique de Coop VO, qui suit le potentiel de chaque parcelle cartographiée pour l’orienter dans sa production. Ce qui conduit dans le vignoble à travailler sur « les modalités de plantation (y compris cépages résistants), l’apport azoté pour le sauvignon blanc, les vendanges à sous-maturité pour les vinifications à bas degrés d’alcool, la production de blanc de noirs… » Face aux ambitions nationales d’arracher 100 à 150 000 hectares, Coop VO s’attend à des arrachages sur son territoire et veut « accompagner les caves pour maintenir leur capacité à faire le plein » esquisse Jean-Louis Reffle."
Coop VO est présidée par José Martinez, qui préside la cave Terroirs en Garrigues.
De la démesure au sur mesure pour les débouchés...
RETOUR AUX ORIGINES Ne les appelez plus Val d’Orbieu… Ou pire, négoce acheteur de vins espagnols !
"Prenant l’identité de Coop VO, l’union coopérative languedocienne veut s’émanciper de l’image de gros faiseur pour affirmer son repositionnement de prestataire de services dédié à la production de vins en vrac sur mesure." (…)
Changement de braquet
« Jusqu’à trois ans en arrière, tous les vins étaient aspirés par Vinadeis » rappelle Vincent Charleux, le directeur technique de Coop VO, qui suit le potentiel de chaque parcelle cartographiée pour l’orienter dans sa production. Ce qui conduit dans le vignoble à travailler sur « les modalités de plantation (y compris cépages résistants), l’apport azoté pour le sauvignon blanc, les vendanges à sous-maturité pour les vinifications à bas degrés d’alcool, la production de blanc de noirs… » Face aux ambitions nationales d’arracher 100 à 150 000 hectares, Coop VO s’attend à des arrachages sur son territoire et veut « accompagner les caves pour maintenir leur capacité à faire le plein » esquisse Jean-Louis Reffle."
Coop VO est présidée par José Martinez, qui préside la cave Terroirs en Garrigues.
"Le patrimoine de l’Occitanie regorge de trésors méconnus, des cépages tombés dans l’oubli qui ont jadis orné les vignobles de la région. Depuis plusieurs années, les vignerons décident de ressusciter certaines variétés afin de mieux répondre aux conditions climatiques tout en produisant des vins qui restent bons et qui gardent une teneur en alcool raisonnable." (…)
Fruit d’un partenariat entre la commune, l’agglomération d’Alès et l’Office national des forêts, deux sentiers seront inaugurés le 24 mars.
"Ses frondaisons ont sûrement tremblé au moment de l’explosion. Lui, c’est cet imposant cèdre centenaire toujours debout en contrebas du château Boissier de Sauvages sur la commune pininque. Un édifice aujourd’hui disparu, dynamité pour être précis, pour des raisons de sécurité dans les années 60. Cependant, c’est au départ des fermes et dépendances restantes que deux sentiers, un de botanique et l’autre forestier, vont permettre de faire revivre ce site autour d’un arboretum trop longtemps délaissé. Créé par l’abbé Pierre-Augustin Boissier de Lacroix de Sauvages (1710-1795), cèdres, chêne-liège, buis de Mahon, pins de Salzmann ou, plus tardifs, eucalyptus, ont été dégagés par les agents de l’office national des forêts (ONF). Sur place début février, de frais billots de bois patientent avant enlèvement tandis que les promeneurs en vacances arrivent de cette piste au départ de la route d’Auzas croisant le GR 70 du tour de la vallée du Galeizon. Un signe de l’attractivité du site dont les parcours s’adresseront aux familles comme aux bons marcheurs et conduiront immanquablement à cette prairie d’herbe grasse qui, au printemps, fut un temps, accueillait les familles partageant l’omelette Pascale enrichie de tranches de pommes de terre." (…)
"Il arrivera un moment où il n'y aura pas assez d'eau pour tout le monde."...
Puiser dans le lac du Salagou
"Pour éviter la disparition des vignobles, les pouvoirs publics ont lancé un vaste projet d’irrigation. Ces tuyaux, une fois enfouis dans le sol, transporteront jusqu’aux exploitations de l’eau puisée dans le lac du Salagou. Coût de l'opération : 7 M€ pour irriguer 700 hectares de vignes.
Un projet contre lequel se dresse un collectif au nom de la défense du lac, dont le niveau est régulièrement bas. Et selon ses membres, cela pose la question du partage de l’eau.
"Il arrivera un moment où il n'y aura pas assez d'eau pour tout le monde." Marie Azorin Collectif "Sauvons le Salagou"
On fait des choix et il faudra les assumer jusqu'à la fin, c'est-à-dire jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'eau", s'inquiète Marie Azorin membre du Collectif "Sauvons le Salagou"." (…)
7 commentaires:
Vaut mieux croquer des Tagada...
Le fruit le plus contaminé par les pesticides
"L’organisme s’est appuyé en 2023 sur l’étude de plus 46 000 échantillons de 46 légumes et fruits différents. Notons qu’avant chaque test, les fruits et légumes ont ainsi été lavés, pelés ou frottés. Résultat ? En tête des produits qui contiennent le plus de pesticide, on retrouve la fraise. Ce fruit rouge très apprécié par les petits et grands gourmands surpasse ainsi les épinards, le chou vert et chou frisé mais aussi les pêches, les nectarines, ou encore les pommes ou le raisin qui apparaissent aussi dans la liste des produits les plus pollués."
(...)
https://www.marmiton.org/cuisine-facile/voici-le-fruit-le-plus-contamine-par-les-pesticides-et-qu-il-vaut-mieux-acheter-bio-s4079892.html
je ne ferai aucun commentaire ..les connaissant bien tous les deux et avec d'autres arguments à développer , car je ne pense pas être en crise après, depuis longtemps ,un demi siècle, avoir choisi la voie de la raison qui est celle d'observer et de collaborer avec la nature ..
petit rappel pour les étourdis : Génération XVII , le cri de la terre ,filmé par Frédéric Gleyze où je montre ce qu'on pourrait faire pour casser le cycle infernal du dérèglement climatique ( j'ai assez de recul pour dire certaines choses .)
louis julian
De la démesure au sur mesure pour les débouchés...
RETOUR AUX ORIGINES
Ne les appelez plus Val d’Orbieu… Ou pire, négoce acheteur de vins espagnols !
"Prenant l’identité de Coop VO, l’union coopérative languedocienne veut s’émanciper de l’image de gros faiseur pour affirmer son repositionnement de prestataire de services dédié à la production de vins en vrac sur mesure."
(…)
Changement de braquet
« Jusqu’à trois ans en arrière, tous les vins étaient aspirés par Vinadeis » rappelle Vincent Charleux, le directeur technique de Coop VO, qui suit le potentiel de chaque parcelle cartographiée pour l’orienter dans sa production. Ce qui conduit dans le vignoble à travailler sur « les modalités de plantation (y compris cépages résistants), l’apport azoté pour le sauvignon blanc, les vendanges à sous-maturité pour les vinifications à bas degrés d’alcool, la production de blanc de noirs… » Face aux ambitions nationales d’arracher 100 à 150 000 hectares, Coop VO s’attend à des arrachages sur son territoire et veut « accompagner les caves pour maintenir leur capacité à faire le plein » esquisse Jean-Louis Reffle."
Coop VO est présidée par José Martinez, qui préside la cave Terroirs en Garrigues.
https://www.vitisphere.com/actualite-101267-ne-les-appelez-plus-val-dorbieu-ou-pire-negoce-acheteur-de-vins-espagnols-.html
De la démesure au sur mesure pour les débouchés...
RETOUR AUX ORIGINES
Ne les appelez plus Val d’Orbieu… Ou pire, négoce acheteur de vins espagnols !
"Prenant l’identité de Coop VO, l’union coopérative languedocienne veut s’émanciper de l’image de gros faiseur pour affirmer son repositionnement de prestataire de services dédié à la production de vins en vrac sur mesure."
(…)
Changement de braquet
« Jusqu’à trois ans en arrière, tous les vins étaient aspirés par Vinadeis » rappelle Vincent Charleux, le directeur technique de Coop VO, qui suit le potentiel de chaque parcelle cartographiée pour l’orienter dans sa production. Ce qui conduit dans le vignoble à travailler sur « les modalités de plantation (y compris cépages résistants), l’apport azoté pour le sauvignon blanc, les vendanges à sous-maturité pour les vinifications à bas degrés d’alcool, la production de blanc de noirs… » Face aux ambitions nationales d’arracher 100 à 150 000 hectares, Coop VO s’attend à des arrachages sur son territoire et veut « accompagner les caves pour maintenir leur capacité à faire le plein » esquisse Jean-Louis Reffle."
Coop VO est présidée par José Martinez, qui préside la cave Terroirs en Garrigues.
https://www.vitisphere.com/actualite-101267-ne-les-appelez-plus-val-dorbieu-ou-pire-negoce-acheteur-de-vins-espagnols-.html
"Le patrimoine de l’Occitanie regorge de trésors méconnus, des cépages tombés dans l’oubli qui ont jadis orné les vignobles de la région. Depuis plusieurs années, les vignerons décident de ressusciter certaines variétés afin de mieux répondre aux conditions climatiques tout en produisant des vins qui restent bons et qui gardent une teneur en alcool raisonnable."
(…)
https://www.lejournaltoulousain.fr/occitanie/actualites-occitanie/decouvrez-5-cepages-occitanie-tombes-oubli-249494/
Fruit d’un partenariat entre la commune, l’agglomération d’Alès et l’Office national des forêts, deux sentiers seront inaugurés le 24 mars.
"Ses frondaisons ont sûrement tremblé au moment de l’explosion. Lui, c’est cet imposant cèdre centenaire toujours debout en contrebas du château Boissier de Sauvages sur la commune pininque. Un édifice aujourd’hui disparu, dynamité pour être précis, pour des raisons de sécurité dans les années 60. Cependant, c’est au départ des fermes et dépendances restantes que deux sentiers, un de botanique et l’autre forestier, vont permettre de faire revivre ce site autour d’un arboretum trop longtemps délaissé.
Créé par l’abbé Pierre-Augustin Boissier de Lacroix de Sauvages (1710-1795), cèdres, chêne-liège, buis de Mahon, pins de Salzmann ou, plus tardifs, eucalyptus, ont été dégagés par les agents de l’office national des forêts (ONF). Sur place début février, de frais billots de bois patientent avant enlèvement tandis que les promeneurs en vacances arrivent de cette piste au départ de la route d’Auzas croisant le GR 70 du tour de la vallée du Galeizon. Un signe de l’attractivité du site dont les parcours s’adresseront aux familles comme aux bons marcheurs et conduiront immanquablement à cette prairie d’herbe grasse qui, au printemps, fut un temps, accueillait les familles partageant l’omelette Pascale enrichie de tranches de pommes de terre."
(…)
https://www.midilibre.fr/2024/02/18/sauvages-et-botanique-celebres-lors-de-la-journee-internationale-de-la-foret-11769975.php
"Il arrivera un moment où il n'y aura pas assez d'eau pour tout le monde."...
Puiser dans le lac du Salagou
"Pour éviter la disparition des vignobles, les pouvoirs publics ont lancé un vaste projet d’irrigation. Ces tuyaux, une fois enfouis dans le sol, transporteront jusqu’aux exploitations de l’eau puisée dans le lac du Salagou. Coût de l'opération : 7 M€ pour irriguer 700 hectares de vignes.
Un projet contre lequel se dresse un collectif au nom de la défense du lac, dont le niveau est régulièrement bas. Et selon ses membres, cela pose la question du partage de l’eau.
"Il arrivera un moment où il n'y aura pas assez d'eau pour tout le monde."
Marie Azorin
Collectif "Sauvons le Salagou"
On fait des choix et il faudra les assumer jusqu'à la fin, c'est-à-dire jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'eau", s'inquiète Marie Azorin membre du Collectif "Sauvons le Salagou"."
(…)
https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/herault/montpellier/polemique-bientot-il-n-y-aura-plus-assez-d-eau-pour-tout-le-monde-un-projet-d-irrigation-des-vignes-suscite-la-controverse-2926020.html
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