Le grand Jacques doit bien avoir sa tirelire au Crédit Agricole non ?
Et Spirito à la Soc Gé... 64 000 euros
"Jacques Blanc était soupçonné d'avoir octroyé une indemnité de départ à la retraite de 64 000 euros à Pierre Spirito, le directeur du comité départemental de tourisme d'alors. Une somme qui n'aurait jamais dû être versée, car ce dernier était détaché du ministère de l'Agriculture. Pierre Spirito a aussi été reconnu coupable et condamnné à quatre ans de prison avec sursis et 10 000 euros d'amende.
"La justice est passée, note Me Antony Chabert, avocat de l'Office de tourisme. Le versement de cette somme avait été dénoncé par un rapport de la Chambre régionale des comptes. Nous sommes satisfaits du jugement", indique l'avocat joint au téléphone par France 3 Occitanie."
Six mois avec sursis requis
"L'affaire remonte à l'époque où Jacques Blanc était président du comité départemental de tourisme de la Lozère. Six mois de prison avec sursis avaient été requis à son encontre.Tout au long du procès, Jacques Blanc et Pierre Spirito ont nié les accusations et répété qu'ils ne ignoraient que cette indemnité ne pouvait être versée. Sollicités par France 3 Occitanie, ils n'ont pas répondu à l'heure où écrivons ces lignes, à nos demandes d'interview."
https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/lozere/mende/jacques-blanc-ancien-president-de-region-et-ancien-depute-de-lozere-reconnu-coupable-d-abus-de-confiance-2920998.html
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
jeudi 8 février 2024
Le grand Jacques doit bien avoir sa tirelire au Crédit Agricole non ?
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4 commentaires:
Et des Avé Maria pour le C.A.???
Des sols secs comme la pierre
"Conséquence : les sols sont aussi secs que fin août, selon Météo-France, et les nappes phréatiques sont à un niveau "très bas", estime le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM). "La situation est très inquiétante, explique Jean Bertrand, responsable eau à la chambre d'agriculture des Pyrénées-Orientales. Dans le degré de souffrance, les vignerons sont les plus touchés car ils n'ont pas d'outils pour lutter contre la sécheresse. Les arboriculteurs et les maraîchers disposent de réseaux d'irrigation, mais pour tous, on attend la pluie." S'il reconnaît que "la bataille est rude et que certains chancellent", Jean Bertrand assure que les agriculteurs sont mieux préparés qu'en 2023, où la sécheresse avait pris tout le monde de court.
"L'an dernier, la vigne s'est fatiguée pour puiser de l'eau, donc là c'est encore pire", explique René Calmon au milieu de ses vignes chauffées par le soleil, à une dizaine de kilomètres au nord-ouest de Perpignan. "Regardez, c'est tout sec, il n'y a pas une herbe qui a poussé", montre-t-il en arrachant un plant vidé de sa sève. Lors de la taille de la vigne, il y a quelques semaines, ses branches ne dépassaient pas 30 cm, contre 1m20 en temps normal. Le viticulteur sort d'une mauvaise récolte – "Le climat a changé, les vendanges arrivent début août maintenant" – mais redoute surtout que la prochaine soit bien pire.
"Si ça continue, on va faire moins de la moitié de la récolte de 2023, donc on va prier pour qu'il y ait de l'eau. Il y a des exploitations au bord de l'explosion, des mecs surendettés."
René Calmon, viticulteur à Baixas
à franceinfo
Le viticulteur affirme que ses revenus sont passés de 3 000 à 1 000 euros par mois en 15 ans. Il s'inquiète pour l'avenir, même s'il approche de la retraite : "Une vigne, c'est une vie, alors si ce que nos anciens nous ont transmis meurt..."
Si le gouvernement a débloqué une aide d'urgence pour les viticulteurs (un peu moins de deux millions d'euros pour le département) et si la préfecture promet une enveloppe d'un million d'euros pour les éleveurs "en grande fragilité économique en raison de l'impact de la sécheresse", les agriculteurs se sentent quand même abandonnés. Certains arrachent leurs vignes ou leurs arbres, quand d'autres organisent des barrages filtrants sur les routes."
(…)
https://www.francetvinfo.fr/meteo/secheresse/reportage-on-prie-pour-avoir-de-l-eau-dans-les-pyrenees-orientales-la-secheresse-historique-etouffe-des-agriculteurs-maudits-des-dieux_6355207.html
Monsieur ou Madame Eau-Agriculture pour pallier aux prières...
30 projets hydrauliques prioritaires
"Mercredi 7 février 2024, une première réunion de travail autour de l’eau agricole a été organisée avec les agriculteurs et professionnels du secteur. Trois avancées majeures ont pu voir le jour. Ceux-ci devront permettre de concrétiser une trentaine de projets hydrauliques dans le territoire.
"Je souhaite que ce nouvel interlocuteur puisse avoir des prérogatives élargies qui lui permette d’échanger avec l’ensemble des acteurs de l’eau du territoire."
Carole Delga
présidente de la Région
Si l’urgence touche de nombreux départements et leurs populations en Occitanie, Carole Delga prend l’exemple des Pyrénées-Orientales, « en première ligne face aux impacts du réchauffement climatique »."
(…)
https://actu.fr/societe/occitanie-cette-mesure-est-un-signal-positif-envoye-a-nos-agriculteurs-et-viticulteurs_60674787.html
"Dans l’Hérault, la coopérative Macondo construit depuis six ans un « laboratoire de la transition écologique ». Malgré le succès et la sobriété de leur démarche, le maire propriétaire du terrain exige leur déménagement."
.../...
Un « immense gâchis » sur fond de politique locale
"Après plus d’un an de discussions difficiles, la sentence est tombée début janvier 2024 : les locataires de la garrigue doivent avoir quitté les lieux d’ici début mai, sous peine d’une astreinte financière de 500 euros par jour. Sans solution de relogement pour le moment.
Sur place, la colère se mêle à la résignation. « C’est un immense gâchis, soupire Benjamin Clouet. Nous cochions toutes les cases d’un projet écolo, social, innovant. » Du côté de l’école Etre, Kaïs Hamamchi cherche tous azimuts un plan B pour finir l’année scolaire, « mais ce n’est pas facile de trouver un lieu qui convienne aussi bien que celui-ci », souffle-t-il.
Autour de la table photovoltaïque – qui permet de recharger son téléphone une tasse à la main – les questionnements s’accumulent, faute de pouvoir lire dans le marc de café. Pourquoi le maire de Montarnaud s’acharne-t-il contre ce lieu exemplaire ? Est-ce parce que le projet a été validé par son prédécesseur et rival ? Parce que certains usagers de Macondo sont connus pour leur militantisme écolo ou leur opposition aux élus socialistes locaux ?
Interrogé par Reporterre, Jean-Pierre Pugens se retranche derrière sa « responsabilité légale » : « En cas de feu, on me demanderait des comptes, insiste-t-il. La loi doit s’appliquer à tout le monde, toute construction doit être faite dans les règles. »
Certes, Macondo tient plus de la République des palettes que de l’édifice en bonne et due forme auquel M. Pugens a pu être habitué pendant ses vingt ans à la tête de Hérault Habitat, bras armé du département en matière de bâtiment. « S’il était venu nous voir, nous aurions peut-être pu le convaincre de l’intérêt et du bien-fondé de notre projet », regrette Benjamin Clouet.
Au téléphone, l’élu nous assure pourtant s’être rendu sur place. Vrai : il y a emmené son ami et président de la métropole montpelliéraine, Mickaël Delafosse – sans contacter les occupants. Présent aux vœux de la mairie de Montarnaud mi-janvier, le baron socialiste a d’ailleurs décrit ce coin de garrigue comme « un endroit exceptionnel qui peut être un des grands écrins respectueux de l’environnement et du dialogue entre les hommes et la nature dont nous avons tant besoin ». Mais… sans Macondo, et ses « occupations illicites qui dégradent » le lieu. Avant de conclure : « Le moment venu, nous travaillerons à un projet commun ». Plus à la sauce socialiste locale."
https://reporterre.net/Pres-de-Montpellier-un-tiers-lieu-ecolo-bientot-expulse
LE TRANSIT DE LA SOCIÉTÉ GÉNÉRALE VA FINIR AUX CHIOTTES...
"Un bandeau rouge et noir informant que la Société générale a écopé d’une amende de 4,5 millions d’euros pour pratique commerciale trompeuse : telle est la première image du site et de l’application que la banque propose à ses clients depuis le 22 janvier. Mais ce n’est pas la dernière éraflure à son image. Lors de la publication des résultats annuels de la banque de la Défense, jeudi 9 février, le nouveau directeur général, Slawomir Krupa, a parlé d’une année de « transition et de transformation »."
(…)
https://www.challenges.fr/finance-et-marche/banques/pour-redresser-ses-comptes-societe-generale-va-jouer-la-carte-de-la-transition-des-2024_883358
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