mercredi 31 janvier 2024

 


4 commentaires:

Anonyme a dit…

MACRON et FESNEAU main dans la main à Bruxelles ?

"Les négociations pour signer le traité de libre-échange avec le Mercosur se poursuivent, contrairement à ce qu’avait laissé entendre le gouvernement. Le 26 janvier dernier, Gabriel Attal avait réitéré l’opposition de la France à la signature de l’accord entre l’Union européenne et le Mercosur, qui regroupe plusieurs pays d’Amérique du Sud, rapportait alors Euractiv. Une main tendue aux agriculteurs en colère, qui manifestent notamment contre les accords de libre-échange internationaux.

Pourtant, si la Commission européenne a reconnu que les conditions d’un accord entre le Mercosur et l’Union européenne (UE) n’étaient « pas réunies », les négociations continuent, assure un article du Monde.

Si cet accord commercial entrait en vigueur, il pourrait « puiser dans les pays du Sud les matières premières nécessaires pour maintenir quoi qu’il en coûte nos modes de vie », estimait l’économiste Maxime Combes dans une tribune publiée dans Reporterre. Il s’agirait notamment d’importer 99 000 tonnes de viande bovine de plus qu’aujourd’hui, avec un droit de douane réduit. Une concurrence que les agriculteurs estiment déloyale.

Pour rappel, Emmanuel Macron avait déjà annoncé avoir « stoppé net » les négociations UE-Mercosur en juin 2020, devant la Convention citoyenne pour le climat."


https://reporterre.net/Traite-UE-Mercosur-la-Commission-contredit-l-Elysee

Anonyme a dit…

3. À la FNSEA, il était chargé de la PAC

"Avant d’être élu (il était le seul candidat) à la tête de la FNSEA en octobre 2023, Arnaud Rousseau en était premier vice-président chargé des négociations sur la répartition des neuf milliards d’euros annuels des fonds européens de soutien à l’agriculture française (la politique agricole commune ou PAC). En 2021, le total de cette manne européenne pour ses propres exploitations, s’est élevé précisément à 173 441 euros. C’est 5,6 fois le montant moyen que touche une exploitation agricole en France, indique Mediapart. Avec lui, « la FNSEA a tout fait pour conserver le statu quo », déplore Mathieu Courgeau, éleveur laitier et coprésident du collectif Nourrir, qui réunit 52 organisations pour une refonte du système agricole et alimentaire."
(…)


https://www.lavoixdunord.fr/1424818/article/2024-01-30/bloquer-rungis-pour-lui-ce-n-est-pas-une-bonne-idee-cinq-choses-savoir-arnaud

Anonyme a dit…

3. À la FNSEA, il était chargé de la PAC

"Avant d’être élu (il était le seul candidat) à la tête de la FNSEA en octobre 2023, Arnaud Rousseau en était premier vice-président chargé des négociations sur la répartition des neuf milliards d’euros annuels des fonds européens de soutien à l’agriculture française (la politique agricole commune ou PAC). En 2021, le total de cette manne européenne pour ses propres exploitations, s’est élevé précisément à 173 441 euros. C’est 5,6 fois le montant moyen que touche une exploitation agricole en France, indique Mediapart. Avec lui, « la FNSEA a tout fait pour conserver le statu quo », déplore Mathieu Courgeau, éleveur laitier et coprésident du collectif Nourrir, qui réunit 52 organisations pour une refonte du système agricole et alimentaire."
(…)


https://www.lavoixdunord.fr/1424818/article/2024-01-30/bloquer-rungis-pour-lui-ce-n-est-pas-une-bonne-idee-cinq-choses-savoir-arnaud

Anonyme a dit…

Avec Orban le populisme au tournant ?

"Les agriculteurs mettent la pression sur l'UE. Selon la police belge, au moins un millier de tracteurs sont présents ce jeudi 1er février dans les rues de Bruxelles. Et ce, alors qu'un Conseil européen est prévu et doit réunir les 27 dirigeants des États membres de l'Union européenne. « Il y a mille tracteurs ou engins agricoles », a déclaré à l'Agence France-Presse un porte-parole de la police, précisant que ces agriculteurs viennent essentiellement de Belgique.

Le point du rassemblement se situe à quelques centaines de mètres du périmètre très sécurisé du siège du Conseil européen, où seront réunis les chefs d'État et de gouvernement de l'UE, pour un sommet consacré à l'Ukraine mais où la question agricole pourrait s'inviter. Au-delà des facteurs nationaux, les organisations belges disent partager des points communs de mécontentement avec les récents mouvements de grogne à travers l'Europe : revenus des agriculteurs, « surcharge administrative », législations écologistes complexes ou importations déloyales."
(…)


https://www.lepoint.fr/monde/colere-des-agriculteurs-un-millier-de-tracteurs-bloquent-les-rues-de-bruxelles-01-02-2024-2551266_24.php