Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
jeudi 23 novembre 2023
Panneaux retournés : tout comprendre sur l'origine et les raisons de ce mouvement agricole qui se propage partout en France - midilibre.fr
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PANNEAUX À L'ENVERS : MARC FESNEAU SE RATTRAPE AVEC UN DÉCRET !
Grâce à un décret, le gouvernement pourrait accorder davantage de financements à la FNSEA, défenseur de l’agriculture industrielle. De quoi fragiliser les plus petits syndicats.
"Cela pourrait être interprété comme un cadeau à la FNSEA. Le syndicat agricole majoritaire, défenseur des pesticides et de l’agriculture industrielle, pourrait, grâce à un décret du gouvernement, bénéficier d’encore plus de financements publics. En miroir, les syndicats minoritaires verraient eux leurs financements s’évaporer telle l’eau d’une mégabassine en pleine canicule.
C’est la Confédération paysanne, syndicat minoritaire et défenseur d’une agriculture écologique et paysanne, qui a décidé de rendre l’affaire publique lors d’une conférence de presse le 22 novembre. Selon l’organisation, le ministre de l’Agriculture souhaite modifier les règles de financement des syndicats agricoles.
« Chaque année, une enveloppe de 14,5 millions d’euros est répartie entre les syndicats », a expliqué la secrétaire générale de la Confédération paysanne, Laurence Marandola. L’enveloppe est répartie entre la FNSEA, les Jeunes agriculteurs (JA), la Coordination rurale, la Confédération paysanne et le Modef. « La Confédération paysanne reçoit 2,3 millions d’euros par an », a précisé la paysanne. Avec les nouvelles règles envisagées, le syndicat perdrait environ 500 000 euros par an.
La Coordination rurale et le Modef, autres syndicats minoritaires, seraient également perdants. La FNSEA et les JA, tant qu’ils restent majoritaires, verraient eux leurs subventions augmenter. La FNSEA en a-t-elle vraiment besoin ? En 2020, une enquête de Mediapart avait révélé que ses dirigeants se rémunéraient jusqu’à 13 400 euros par mois.
Le premier vice-président de la FNSEA Jérôme Despey a estimé, auprès de nos confrères de Contexte, qu’il ne s’agissait que d’un « alignement » sur les règles de financement des partis politiques."
.../...
https://reporterre.net/Le-gouvernement-veut-donner-plus-d-argent-aux-agro-industriels
METTEZ UN DARD (MALIN) À VOTRE VOISIN !
Quelles formations ?
"Alain Machenin se dit cependant "inquiet" quant aux compétences des buralistes. "Au niveau logistique, il ne devrait pas y avoir de problème, estime-t-il. Mais il faut un minimum de formation."
En l'occurrence, Jean-Simon Mérandat a expliqué que devraient pouvoir "se former en quelques heures à la réglementation". "Si c'est 100 heures, ça peut être suffisant, mais si c'est deux heures, ça ne paraît pas beaucoup, ironise Alain Machenin. Sinon il y a un risque, on ne peut pas mettre n'importe quoi dans un fusil. Peut-être qu'ils seront limités dans les produits qu'ils pourront vendre ?"
Pour l'instant, aucune précision supplémentaire n'a été donnée par le ministère de l'Intérieur, qui n'a pas encore répondu aux sollicitations de France 3. Selon Jean-Simon Mérandat, les buralistes pourront "s'appuyer sur un armurier", et ne devraient donc pas avoir de stock de munitions. "On a rencontré la fédération nationale des buralistes, qui s'est montrée intéressée", a-t-il ajouté.
Sur X (ex-Twitter), les internautes ont massivement relayé l'information, principalement pour la fustiger. "C'est ahurissant", a ainsi réagi le Parti animaliste : "Il est insupportable que l'État facilite l'utilisation des armes." "Perso, je propose qu'on l'étende aux boulangeries et aussi à la Poste pour redynamiser nos villages", a de son côté raillé Pierre Rigaux, militant écologiste."
(…)
https://france3-regions.francetvinfo.fr/centre-val-de-loire/loiret/des-munitions-de-chasse-en-vente-chez-les-buralistes-ce-sera-le-cas-des-le-1er-janvier-2024-2878676.html
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