samedi 1 juillet 2023

Les quartiers, …

 Les quartiers ?!?


Une question se pose 


Pourquoi ne pas mettre les mêmes moyens pour la lutte anti-drogues

Bien sur ces moyens colossaux mis en place actuellement pour rétablir le calme

Seraient certainement efficaces contre la délinquance générée par les trafics de drogues, dénoncés depuis plusieurs dizaines d’ années mais non résolus 

Cette mafia sort aujourd’hui gagnante

2 commentaires:

Anonyme a dit…

« Sentiment de connexion »

"Les partisans de cette décision espèrent que ces substances pourront permettre des avancées décisives dans le traitement de certains troubles mentaux. Mike Musker, chercheur en santé mentale et en prévention du suicide à l’université d’Australie-Méridionale, estime ainsi auprès de l’Agence France-Presse (AFP) que la MDMA donne aux patients « un sentiment de connexion » qui leur permet de faciliter le contact avec le thérapeute et d’échanger sur leurs expériences traumatiques. L’« effet psychospirituel » de la psilocybine, lui, « que l’on n’obtient pas avec les médicaments traditionnels (…), peut changer votre perception de vous-même et de votre (…) et avec un peu de chance, cela peut vous donner envie de vivre ».

M. Musker doute que ces drogues soient « largement utilisées » par les patients avant 2024, et a déclaré que le processus ne consisterait pas à « prendre une pilule et disparaître dans la nature ». L’ecstasy, par exemple, nécessiterait probablement trois traitements sur une période de cinq à huit semaines, chaque séance durant environ huit heures.

Il précise également que les thérapeutes resteraient avec les patients pendant qu’ils sont sous l’empire de la drogue, au cours de séances qui ne seront pas accessibles à tout le monde puisqu’elles pourraient coûter environ 1 000 dollars australiens (609 euros) chacune. Pour le docteur David Caldicott, consultant en médecine d’urgence et chercheur en substances cliniques à l’université nationale australienne, à Canberra, cette décision donne à l’Australie une longueur d’avance dans l’exploration des avantages médicinaux des drogues."
(…)


https://www.lemonde.fr/international/article/2023/07/01/l-australie-autorise-l-usage-medical-de-l-ecstasy-et-des-champignons-hallucinogenes_6180107_3210.html

Anonyme a dit…

* Fouad Boumarcid, directeur de Raia

"Aux Prés Saint-Jean, le directeur de l’association Rencontre et amitié d’ici et d’ailleurs (Raia), également relais point info CAF, souligne "le jeu de surenchère, cette forme d’escalade via les réseaux sociaux, autour d’une forme de frustration", auxquels se sont livrés les auteurs des violences. "Face à cela, nous développons des projets sur les risques des réseaux sociaux. Mais cela ne suffit pas car la tentation du téléphone portable est au-dessus de l’éducatif, déplore Fouad Boumarcid. Il faut aussi s’interroger sur les règles de Snapchat ou Tik Tok et les adapter aux situations et règles de notre pays."

Sur la tentation de l’amalgame, "il est clair que la grande majorité des habitants des quartiers populaires condamne et a appelé à la paix et à l’apaisement. Maintenant, certains veulent rester dans les mêmes perspectives et ne pas vouloir comprendre qu’il ne s’agit que d’une minorité et que c’est un phénomène que l’on retrouve partout ailleurs dans la société."

Fouad Boumarcid souligne enfin la contrainte du système d’appel à projet lié à la politique de la Ville impliquant une lourde charge de travail afin d’obtenir les financements de leur action. "Bien sûr qu’il faut un contrôle et un cahier des charges. Mais il faut revoir ce système complexe de financement qui met en concurrence. Et privilégier une action sociale de qualité dans le temps. Enfin, ne pas oublier la considération envers l’animateur social, premier maillon de la chaîne éducative."


https://www.midilibre.fr/2023/07/04/week-end-de-degradations-a-ales-dans-les-quartiers-personne-nadhere-a-ce-qui-sest-passe-11317927.php