dimanche 26 février 2023

Tweeté par Marcel sur Twitter


6 commentaires:

Anonyme a dit…

THOMAS PORCHER : CE QUE VEUT VRAIMENT MACRON AVEC LA REFORME DES RETRAITES
@LeMediaOfficiel



https://youtube.com/shorts/Kp20U5WiHVY?feature=share



Emmanuel Tatcher is back !


Anonyme a dit…

Comment caresser les vaches d'une main et signer des traités de libre-échange avec des pays à l'autre bout du monde de l'autre...


Clément Viktorovitch : Pourquoi tant de bruit autour du Salon de l'agriculture ?
franceinfo



https://youtu.be/r8JwA1qlp4U



L’une des actualités de ce weekend, c’est bien sûr l’ouverture du Salon de l’agriculture, à Paris. L’occasion de se demander : pour quelles raisons, au fond, ce salon nous intéresse-t-il autant ?


Anonyme a dit…

https://www.liberation.fr/checknews/pension-minimale-a-1-200-euros-emmanuel-macron-ne-comprend-pas-sa-propre-reforme-20230226_HCOCWRGDSND2DC7CUUMACRHHO4/

Anonyme a dit…

Le 7 mars, mettons la France à l'arrêt !


Bonjour à tous et à toutes,

"Nous vous l’avons annoncé il y a quelques jours, l’intersyndicale retraites appelle à une nouvelle journée de mobilisation le 7 mars. Face à la surdité du gouvernement, nous avons décidé de monter d’un cran !

Pour cela, nous invitons chaque travailleur et travailleuse à se mobiliser et à rejoindre les cortèges qui seront organisés partout en France. Dépassons en nombre de manifestantes et manifestants, les journées du 31 janvier et du 11 février qui étaient déjà historiques !

Ensuite, dans toutes les entreprises, les administrations, les zones d’activité, … nous appelons à arrêter le travail, organiser des actions de visibilité pour démontrer au Gouvernement et aux Parlementaires que nous sommes une majorité à rejeter les 64 ans. Un hashtag est à utiliser sur tous vos réseaux pour manifester votre soutien au mouvement lors de cette journée : #Stop64ans. Des visuels ont également été réalisés, avec un panneau Stop, pour illustrer la France à l’arrêt. Vous les trouverez sur le site des différentes organisations syndicales, n’hésitez pas à les relayer. Le 7 mars, saturons donc les réseaux sociaux avec le même message : #Stop64ans

Vous l’aurez compris : c’est parce que chacun et chacune se mobilisera, partout en France, dans la rue, sur son lieu de travail que nous renforcerons la pression pour voir ce projet de réforme supprimé.

L’intersyndicale retraites.
(…)


https://www.change.org/p/retraites-non-%C3%A0-cette-r%C3%A9forme-injuste-et-brutale-reformesdesretraites/u/31348189?cs_tk=Ajk9byEOSVcMMG2_BWQAAXicyyvNyQEABF8BvHrCB8uMScNY-EhQ4PBvoCY%3D&utm_campaign=b4502f93ecc14c9b8dee7db5763e7458&utm_content=initial_v0_6_0&utm_medium=email&utm_source=petition_update&utm_term=cs

Anonyme a dit…

CE TYPE EST PARTOUT ?! – GluNews #4
@Glupatate



https://youtube.com/shorts/wafe9RgbICo?feature=share



Antoine Nori, le commerçant qui a aussi un contrat d'intermitent du spectacle auprès de BFM ?


https://twitter.com/p_duval/status/1612811425839484934

Anonyme a dit…

« Une confrontation pour l’avenir du monde agricole »

"C’est à ce moment que l’importance du Salon commença à apparaître : ce n’était pas seulement un décor de théâtre ou une comédie politique, mais le lieu d’une confrontation, pour l’avenir du monde agricole. J’en étais à ces réflexions, quand on me proposa d’aller manger le repas de midi au Cniel (l’Interprofession laitière), avec les collègues en élevage laitier de la Confédération paysanne. C’est en écoutant les histoires, les combats mais aussi les désaccords, c’est en enchaînant les verres de rouge que la réalité du Salon se dévoila.

Dans ce lieu, pendant quelques jours, nous étions des rois. Les journalistes réclamaient notre parole, les politiques mendiaient quelques photos avec nous, et les grandes écoles d’hôtellerie nous servaient comme si nous étions issues de la haute bourgeoisie parisienne, nous les « bouseux ». Alors nous buvions des canons, grisés par notre nombre, comme si la France comptait encore des millions de paysans.

Quand les effets de l’alcool retombèrent, je vis à nouveau les allées, le bitume et le béton. Je vis les visages fatigués des paysans et des visiteurs. Je pris le métro, puis un train pour revenir dans la Drôme. De retour chez moi, je poserai ma joue sur l’herbe, j’écouterai le merle percer le jour, je reprendrai mes outils. Et je repenserai à ce repas au Cniel, aux allées du Salon et à cette rame de métro. Je repenserai à cette terre qui ne nous lâche pas, aux étables et aux villes, aux fermes et aux immeubles, aux paysans et aux passants.

Égarés ensemble dans les trajectoires du progrès, nous avions un commun : quelque chose en nous qui veut vivre."


https://reporterre.net/Au-Salon-de-l-agriculture-les-paysans-sont-des-rois-muets