"Cette vidéo rappelera à notre bon souvenir les obscénités des discours de la Macronie et les éléments de langage associés"...
[ARCHIVES] La JUSTICE SOCIALE selon MACRON (2019 : Réforme des retraites) Le Pixel Mort
https://youtu.be/NA-oR9JaF94
Merci pour votre soutien et vos messages. NOTE IMPORTANTE : Aucune vidéo sur cette chaine n'est monétisée. Cependant les ayant droit des extraits utilisés peuvent réclamer la monétisation de la vidéo à leur compte.
L'ironie du 28 janvier, la Journée de la protection des données (...)
Quelle ironie pour le gouvernement : "Faites ce que je dis, pas ce que je fais"!
"Propagande politique"
"Le courriel a été envoyé sur l'adresse privée que les agents "renseignent pour leur déclaration d'impôts" et non sur "leur adresse professionnelle", selon l'Unsa fonction publique.
Pour la confédération Force ouvrière (FO), le ministère de la Fonction publique a "détourné la finalité" de l'usage des adresses de messagerie électronique des administrés à des fins de "propagande politique". FO déclare avoir "aussitôt" saisi la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) afin de "faire respecter la protection des données personnelles de l'ensemble des agents".
Le gardien de la vie privée a indiqué procéder à des vérifications.
"À ce stade de l'instruction, la CNIL n'est donc pas encore en mesure de se prononcer sur la conformité de l'utilisation des données personnelles qui a été faite. Elle prendra position ultérieurement", a-t-elle indiqué dans un communiqué.
Le ministère a expliqué que "ce message vidéo est un contenu RH (ressources humaines, NDLR) relayant de l'information sur leurs pensions aux agents de la fonction publique". Cette vidéo avait déjà été publiée sur le site internet du ministère, a-t-il ajouté.
Le ministère a assuré qu'"aucune transmission de fichier de contacts n'avait été faite" entre la DGFIP, qui dispose des adresses de messagerie électronique communiquées par les agents publics (professionnelles et/ou personnelles) pour des informations sur la paie notamment, et le ministère.
Selon la même source, "cette procédure a déjà été appliquée par le passé, avec par exemple la diffusion d'une lettre aux agents par le ministère de la Transformation et de la Fonction publiques sur la protection sociale complémentaire"."
MACRON ET "SES" ÉDITOCRATES : COMMENT ILS MANIPULENT L'OPINION Le Média
https://youtu.be/wRP8gDJ-zjk
Deux jours avant la grande journée de mobilisation du 19 janvier, la communication de l'Élysée a organisé une rencontre entre le président et dix éditorialistes : notamment Guillaume Tabard du Figaro, Dominique Seux de France inter et des Echos, Françoise Fressoz du Monde ou encore Nathalie Saint-Cricq de France Télévisions.
L’Élysée a fixé une condition de taille : les journalistes peuvent le citer, mais ne doivent pas dire qu'ils se sont entrenus avec Emmanuel Macron. En effaçant tout moyen de comprendre le contexte d’énonciation, ces journalistes participent à un dispositif de communication, et deviennent des porte-parole déguisés.
Habituellement un off peut servir à protéger une source, mais quel est l’intérêt ici de ne pas exposer le président au public, tout en répandant sur ce public la lecture que le président fait des évènements ?
L’intérêt d’Emmanuel Macron, dans cette opération, est de pouvoir chercher à influencer l’opinion avec ses arguments, sans avoir à se montrer. C'est cela que lui offre la complaisante discrétion de ces éditorialistes flattés de faire partie de ces happy-fews à qui parle le président.
Tapez 1, 2 ou 3... Le 4 est réservé aux distopiques !
"Les règles de TikTok stipulent que « les comptes qui enfreignent régulièrement les consignes communautaires seront bannis ». Parmi les actes répréhensibles, figurent entre autres toutes vidéos ayant trait à de la « nudité et activités sexuelles », « l’extrémisme violent » ou encore « l’intimidation et le harcèlement »." (...)
6 commentaires:
Avec Guillaume, Yaël, Nathalie et consorts, nous avons participé à un
"dîner de con(s)"...
"Cette vidéo rappelera à notre bon souvenir les obscénités des discours de la Macronie et les éléments de langage associés"...
[ARCHIVES] La JUSTICE SOCIALE selon MACRON (2019 : Réforme des retraites)
Le Pixel Mort
https://youtu.be/NA-oR9JaF94
Merci pour votre soutien et vos messages.
NOTE IMPORTANTE :
Aucune vidéo sur cette chaine n'est monétisée.
Cependant les ayant droit des extraits utilisés peuvent réclamer la monétisation de la vidéo à leur compte.
https://www.bfmtv.com/politique/la-republique-en-marche/indecent-damien-abad-cosigne-une-proposition-de-loi-sur-l-ineligibilite-d-elus-condamnes-pour-violences_AN-202301260734.html
L'ironie du 28 janvier, la Journée de la protection des données
(...)
Quelle ironie pour le gouvernement : "Faites ce que je dis, pas ce que je fais"!
"Propagande politique"
"Le courriel a été envoyé sur l'adresse privée que les agents "renseignent pour leur déclaration d'impôts" et non sur "leur adresse professionnelle", selon l'Unsa fonction publique.
Pour la confédération Force ouvrière (FO), le ministère de la Fonction publique a "détourné la finalité" de l'usage des adresses de messagerie électronique des administrés à des fins de "propagande politique". FO déclare avoir "aussitôt" saisi la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) afin de "faire respecter la protection des données personnelles de l'ensemble des agents".
Le gardien de la vie privée a indiqué procéder à des vérifications.
"À ce stade de l'instruction, la CNIL n'est donc pas encore en mesure de se prononcer sur la conformité de l'utilisation des données personnelles qui a été faite. Elle prendra position ultérieurement", a-t-elle indiqué dans un communiqué.
Le ministère a expliqué que "ce message vidéo est un contenu RH (ressources humaines, NDLR) relayant de l'information sur leurs pensions aux agents de la fonction publique". Cette vidéo avait déjà été publiée sur le site internet du ministère, a-t-il ajouté.
Le ministère a assuré qu'"aucune transmission de fichier de contacts n'avait été faite" entre la DGFIP, qui dispose des adresses de messagerie électronique communiquées par les agents publics (professionnelles et/ou personnelles) pour des informations sur la paie notamment, et le ministère.
Selon la même source, "cette procédure a déjà été appliquée par le passé, avec par exemple la diffusion d'une lettre aux agents par le ministère de la Transformation et de la Fonction publiques sur la protection sociale complémentaire"."
https://www.latribune.fr/economie/france/reforme-des-retraites-l-e-mail-de-stanislas-guerini-qui-ne-passe-pas-949698.html
MACRON ET "SES" ÉDITOCRATES : COMMENT ILS MANIPULENT L'OPINION
Le Média
https://youtu.be/wRP8gDJ-zjk
Deux jours avant la grande journée de mobilisation du 19 janvier, la communication de l'Élysée a organisé une rencontre entre le président et dix éditorialistes : notamment Guillaume Tabard du Figaro, Dominique Seux de France inter et des Echos, Françoise Fressoz du Monde ou encore Nathalie Saint-Cricq de France Télévisions.
L’Élysée a fixé une condition de taille : les journalistes peuvent le citer, mais ne doivent pas dire qu'ils se sont entrenus avec Emmanuel Macron. En effaçant tout moyen de comprendre le contexte d’énonciation, ces journalistes participent à un dispositif de communication, et deviennent des porte-parole déguisés.
Habituellement un off peut servir à protéger une source, mais quel est l’intérêt ici de ne pas exposer le président au public, tout en répandant sur ce public la lecture que le président fait des évènements ?
L’intérêt d’Emmanuel Macron, dans cette opération, est de pouvoir chercher à influencer l’opinion avec ses arguments, sans avoir à se montrer. C'est cela que lui offre la complaisante discrétion de ces éditorialistes flattés de faire partie de ces happy-fews à qui parle le président.
Tapez 1, 2 ou 3...
Le 4 est réservé aux distopiques !
"Les règles de TikTok stipulent que « les comptes qui enfreignent régulièrement les consignes communautaires seront bannis ». Parmi les actes répréhensibles, figurent entre autres toutes vidéos ayant trait à de la « nudité et activités sexuelles »,
« l’extrémisme violent » ou encore
« l’intimidation et le harcèlement »."
(...)
https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/tiktok-bannit-emmanuel-macron-durant-quelques-heures_213344.html
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