mardi 22 novembre 2022

L'été 2022 a connu la surmortalité la plus importante depuis la canicule de 2003, avec un excès de plus de 10 000 décès, selon Santé publique France

https://www.francetvinfo.fr/meteo/canicule/l-ete-2022-a-connu-la-surmortalite-la-plus-importante-depuis-la-canicule-de-2003-avec-un-exces-de-plus-de-10-000-deces-selon-sante-publique-france_5491278.html



3 commentaires:

Anonyme a dit…

La Silver Economy de la biscotte

"Je suis avec attention le naufrage de la société Orpea car c’est un cas d’école que nous avons sous les yeux.

Une société portée aux nues et au pinacle. Une société qui ne craignait rien ni personne, sur un marché tellement captif et tellement prometteur, celui de la
« silver economy » comme on dit entre initiés pour parler du marché des vieux et des papy mamies. C’est plus joli Silver Economy qui désigne les cheveux gris et argentés que de parler des vieux, c’est plus « bankable ». Sauf, sauf… quand quelques journalistes mettent leurs nez dans les petites affaires de ce secteur pour dévoiler des pratiques lamentables et en aucun cas tolérables mais qui étaient connues de tous en réalité depuis fort longtemps.

On comptait les couches comme les biscottes rationnées pour chaque pensionnaire.

Malgré cette terrible gestion, Orpea est un colosse aux pieds d’argile, étranglé par une dette monumentale de 9,55 milliards !

Oui 10 milliards et le tout avec des taux en hausse.

Alors que la société a annoncé la semaine dernière son très lourd plan de restructuration, le titre continue à plonger et passe sous les 7 euros à 6.73€ en baisse de presque 10 % encore aujourd’hui."
(...)


https://insolentiae.com/orpea-biscottes-pour-tous-pour-les-pensionnaires-comme-pour-les-actionnaires/

Anonyme a dit…

"La situation du groupe, englué dans le scandale qui le touche depuis la parution, en janvier, du livre de Victor Castanet, Les Fossoyeurs (Fayard, 400 pages, 22,90 euros), explique ce changement de pied. Criblée de dettes – 9,3 milliards d’euros –, Orpea doit à tout prix convaincre ses créanciers et les investisseurs de participer à un plan de refinancement. La nouvelle direction compte beaucoup sur la Caisse des dépôts pour participer au tour de table. Ce qui suppose de purger ses différends avec l’Etat. « Pour engager complètement la refondation du groupe, je souhaite tourner la page et mettre derrière nous tous les sujets qui ont trait aux errements du passé », explique M. Guillot."
(...)


https://www.lemonde.fr/societe/article/2022/11/22/orpea-pret-a-regler-les-sommes-demandees-par-l-etat_6151016_3224.html

Anonyme a dit…

Le principe de « pollués-payeurs »

"En Seine-Maritime, le maire d’Angerville-la-Martel est bien placé pour être au courant des dépassements des seuils puisqu’il est aussi président du syndicat d’eau Seine aval. « Nous travaillons sur la commune avec le monde agricole pour réduire l’usage des nitrates et pesticides», confie à Enquêtes d’actu Laurent Vasset.

Ici, la teneur des métabolites du chloridazone était de 0,7 µg/L, en juin et juillet 2022. Sept fois plus que ce que préconisait l’ancien seuil (0,1), mais en dessous de la nouvelle valeur transitoire de 3 µg/L.

Mais le maire ne veut pas se contenter de faire évoluer le monde agricole dans sa pratique, il projette la construction d’une usine de traitement de l’eau. Les études de faisabilité viennent seulement de commencer. « Il faudra attendre cinq à six ans pour voir naître cette usine de traitement », précise l’élu. Nombre de responsables politiques s’interrogent sur la nécessité de telles installations. Mais pour Daniel Reininger, d’Alsace nature, ces investissements sont « la cerise sur le gâteau » (toxique), car « le coût du traitement va être reporté sur la facture et donc c’est le consommateur de l’eau polluée qui devra payer ». Pour lui, ce principe de « pollués-payeurs » est « immoral ».

Le nombre de pesticides recherchés est variable selon les régions. Comme le précise l’ARS Normandie, « il n’existe pas de liste nationale des molécules de pesticides à rechercher dans le cadre du contrôle sanitaire ». Ce qui fait craindre une pollution aux pesticides bien plus vaste.

Sur le millier de molécules de pesticides existantes, auxquelles il faut rajouter leurs métabolites, les autorités de santé n’en ont en moyenne recherché que 170 entre janvier 2021 et juillet 2022."


https://actu.fr/planete/alimentation/eau-du-robinet-polluee-herbicides-pesticides-etat-joue-t-il-avec-notre-sante_55383799.html