samedi 3 septembre 2022

Mobilisation pour une dissolution

Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Une « soirée des losers » dans les jardins de l'Élysée - Le Point" :

Mobilisation pour une dissolution

"Nous ne sommes pas encore installés et nous ne savons pas si nous devons retourner devant les électeurs. Tenez vous prêts. Nous avons besoin de vous pour cela."
C'est avec cette allusion parfaitement limpide à une possible dissolution que Macron a ponctué, le 29 août, son discours devant les 150 candidats de son camp battus aux législatives, en juin dernier. Parmi les invités, seul Jean-Michel Blanquer manquait à l'appel. Il prépare la rentrée scolaire, peut-être ?
Christophe Castaner et Richard Ferrand étaient, eux, bien présents.. le chef de l'État a tenu à rendre hommage à ceux, "qui étaient avec [lui] dès l'origine d'En Marche !. Heureusement, dans la vie, l'amitié dépasse les péripéties électorales."
Commentaire de Patrick Mignola, ancien président du groupe Modem à l'Assemblée : "C'était un pot de départ, il a essayé d'en faire un nouveau pot de départ."
L'important est surtout d'arriver en bon état !"

Le Canard Enchaîné, page 2, 31 août 2022.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

https://www.lemonde.fr/politique/article/2022/09/06/sira-sylla-ex-deputee-macroniste-condamnee-pour-harcelement-moral_6140464_823448.html

Anonyme a dit…

Incidents du 16 novembre 2019

"A l’origine de cette plainte, initialement déposée en juin 2020 contre Didier Lallement et contre X pour « atteinte arbitraire à la liberté individuelle », « entrave à la liberté de manifestation » ou « mise en danger d’autrui », deux coorganisateurs de la manifestation du 16 novembre 2019, Priscillia Ludosky, 36 ans, et Faouzi Lellouche, 56 ans. Ce jour-là, plusieurs centaines de personnes s’étaient réunies à la mi-journée place d’Italie à Paris pour fêter le premier anniversaire de la mobilisation des « gilets jaunes ».

Le cortège devait partir à 14h mais à 14h19, la préfecture de police demande « l’annulation » de la manifestation pour cause d’« exactions ». 22 minutes plus tard, le « gilet jaune » Manuel Coisne perd un œil suite à un tir policier de grenade lacrymogène. La stèle du maréchal Juin, au centre de la place, est dégradée. Présent sur les lieux, le préfet de police s’illustre par un échange devenu célèbre. A une « gilet jaune » qui l’interpelle, Didier Lallement répond : « Nous ne sommes pas dans le même camp, madame ! »."
(...)


https://www.nouvelobs.com/societe/20220908.OBS62920/un-juge-va-enqueter-sur-le-maintien-de-l-ordre-par-didier-lallement-pendant-la-crise-des-gilets-jaunes.html