dimanche 10 juillet 2022

Au début

Au début


On communiquait d'un lieu à l' autre
Par de cris, grondements, sifflements etc…
Par des signaux de fumée
Par des feux
Par des écrits transportés par des messagers courant ou à cheval
Et j' en oublie
Plus récemment grâce à l' électricité entre autres
On a utilisé des codes , le morse par exemple
Par des écrits des lettres et des cartes
Ensuite la phonie par les téléphones et autres
Avec même l' image animée du correspondant
Ce progrès malheureusement déplaît aux grosses organisations
Les contacts directs avec son correspondant deviennent impossibles
On revient donc en arrière
Avec les messageries les SMS et MMS ainsi que toutes les autres variantes
On préfère écrire même si on frôle le dialogue de sourd
Et des fÔtes
Je connais !
Restons en là, ne reculons plus, en cette période de sécheresse la communication par feux risquerait de déplaire

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Ouvres tes chakras, récites quelques mantras et reconnectes-toi fissa !


" Que vaut la nature ? Quelle est la valeur culturelle, symbolique ou commerciale d'un animal ou d'une plante ? Ces questions sont centrales pour comprendre l'érosion de la biodiversité, qui menace un million d'espèces animales et végétales, analysent les scientifiques de la plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES). Dans un rapport publié lundi 11 juillet, les experts de l'IPBES estiment en effet que cette crise est "étroitement liée à la manière dont la nature est valorisée dans les décisions politiques et économiques". Ils regrettent que ces décisions soient trop focalisées sur "les profits à court terme et la croissance économique" et se fassent "au détriment de la nature et de la société, ainsi que des générations futures".

Pour faire face à cette situation, les scientifiques appellent à "s'éloigner des valeurs dominantes" et à intégrer d'autres manières de voir le monde à nos processus de décision. "Inverser l'impact humain sur la biodiversité requiert un changement systémique et transformateur", estiment-ils. Le rapport évoque une cinquantaine de méthodes pour mieux prendre en compte les différentes valeurs de la nature – culturelles, écologiques, etc. – et appelle les décideurs à s'en emparer."
(...)



https://www.francetvinfo.fr/monde/environnement/biodiversite/crise-de-la-biodiversite-des-scientifiques-appellent-a-arreter-de-considerer-la-nature-comme-une-simple-marchandise_5249884.html

Anonyme a dit…

La nature n’est protégée que si elle rapporte de l’argent, observe le nouveau rapport de l’IPBES


"Englués dans une vision productiviste, nos politiques ne protègent pas bien la nature. C’est — en substance — ce que montre le nouveau rapport de l’IPBES [1], le « Giec de la biodiversité », publié ce lundi 11 juillet. Réalisée par 82 scientifiques internationaux, cette évaluation « sur les valeurs de la nature » est le fruit de quatre années d’étude.

Les experts ont constaté que « les décisions économiques et politiques ont surtout donné la priorité à certaines valeurs de la nature, en particulier les valeurs instrumentales de la nature basées sur le marché, telles que celles associées aux aliments produits de manière intensive ». À l’inverse, certains services — plus indirects — que nous rend la nature, comme la régulation du climat ou le sentiment d’appartenance culturelle, sont très mal pris en compte par les décideurs.

Cette approche très marchande de la nature — où celle-ci n’est considérée et donc protégée que si elle génère des revenus — a des conséquences très concrètes, selon Patricia Balvanera, coautrice du rapport : « Un projet de développement peut générer des avantages économiques et des emplois, pour lesquels les valeurs instrumentales de la nature peuvent être évaluées, mais il peut également entraîner la disparition d’espèces et la destruction de sites patrimoniaux importants pour l’identité culturelle », a-t-elle expliqué dans un communiqué.

« La biodiversité se perd et les services que la nature rend aux populations se dégradent plus rapidement aujourd’hui qu’à tout autre moment de l’histoire de l’humanité, a déclaré Ana María Hernández Salgar, présidente de l’IPBES. Cela est dû en grande partie au fait que notre approche actuelle des décisions politiques et économiques ne tient pas suffisamment compte de la diversité des valeurs de la nature. » Les experts invitent ainsi à redéfinir les concepts de « développement », de « qualité de vie », afin de mieux prendre en compte la nature dans sa globalité. Ils proposent aussi de renforcer et d’élargir le champ des études d’impact environnemental, pour prendre en compte les multiples services rendus par les écosystèmes.

Ce rapport intervient quelques mois avant la COP15 sur la biodiversité, qui doit permettre la conclusion d’un accord international pour protéger le vivant."



https://reporterre.net/La-nature-n-est-protegee-que-si-elle-rapporte-de-l-argent-observe-le-nouveau-rapport-de-l

Anonyme a dit…

Cayeux, une histoire d'iris


"Le ministre délégué chargé aux transports Clément Beaune, a dénoncé ce mercredi 13 juillet sur LCI les « propos extrêmement blessants » de l’ancienne maire de Beauvais, Caroline Cayeux à l’encontre du mariage pour tous. Mardi, Public Sénat a demandé à la ministre déléguée en charge des Collectivités territoriales si elle maintenait d’anciennes « déclarations sur le mariage pour tous et l’adoption pour les couples de même sexe, qualifiées de réforme de caprice et de dessein qui va contre la nature ».

Caroline Cayeux s’était alors défendue, tout en maintenant ses propos d’il y a 9 ans : « Je maintiens évidemment mes propos, mais j’ai toujours dit que la loi, si elle était votée, je l’appliquerais. Et puis, je vais vous dire, quand même, que j’ai beaucoup d’amis parmi tous ces gens-là. Franchement, c’est un mauvais procès qu’on me fait et ça m’a beaucoup contrariée. »
(...)


https://www.leparisien.fr/politique/je-fais-partie-de-ces-gens-la-clement-beaune-remonte-apres-les-propos-blessants-de-caroline-cayeux-14-07-2022-UYSHWYT5XNBNXN6ZA5NDWASZVA.php