mercredi 15 juin 2022

Législatives 2022 : Olivier Faure assure avoir "des informations" selon lesquelles le ministère de l'Économie prévoirait "d'augmenter une part de la TVA"

https://www.francetvinfo.fr/elections/legislatives/legislatives-2022-olivier-faure-assure-avoir-des-informations-selon-lesquelles-le-ministere-de-l-economieprevoirait-d-augmenter-une-part-de-latva_5195695.html

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Olivier Faure a des acouphènes ou il entend des voix ? N'a t'il pas entendu aussi que les macronistes envisageaient de taxer les pauvres au profit des riches ?

Anonyme a dit…

T'as le créneau de l'apéro facile 19:56 ou tu te fourvoies complaisamment ?


"Dans la bouche d’Amélie de Montchalin, ce rappel des us et coutumes démocratiques est pour le moins cocasse : « D’habitude, a lancé la ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, lundi 13 juin sur CNews, une élection, c’est projet contre projet. » Une tradition dont Emmanuel Macron s’est grandement émancipé lors de la campagne présidentielle, refusant de débattre avec ses concurrents. Un évitement qu’il a prolongé par toutes sortes de moyens à l’approche des législatives, conseillant même à ses troupes d’en dire le moins possible, et notamment de ne plus évoquer la réforme des retraites, pour mieux franchir l’obstacle de ce scrutin.

Cette stratégie de l’esquive, la ministre, ordinairement présentée comme un des espoirs de la Macronie, ne l’ignore pas. Elle la pratique elle-même. En ce lendemain de premier tour, sèchement devancée par le socialiste Jérôme Guedj, elle refuse tous les débats que lui proposent les médias avec son adversaire, préférant qualifier sur la chaîne de Bolloré les candidats de la Nupes d’« anarchistes d’extrême gauche », soumis à des puissances étrangères, « à une forme d’antisémitisme ». (...)"
.../...

"Et la recherche d’économies guide déjà le gouvernement. Sur un dossier éminemment écologique, alors qu’Emmanuel Macron n’a dévoilé aucun programme détaillé pour sa politique de transports, on a appris récemment que l’État avait enfin signé, le 6 avril, dans une grande discrétion, le contrat de performance qui doit fixer la trajectoire de SNCF Réseau jusqu’en 2030. La finalisation de ce document sous-titré « développer l’usage du train » avait pris deux ans de retard. Problème : le texte prévoit d’investir 2,8 milliards d’euros par an pour la régénération du réseau structurant. Mais rien pour sa modernisation ! Pour le PDG de SNCF Réseau, Luc Lallemand, c’est notoirement insuffisant pour doubler d’ici à 2030 le nombre de voyageurs et « atteindre les objectifs du “green deal” ».

Dans ses multiples dispositions, le projet de loi d’orientation et de programmation du ministère de l’Intérieur (LOPMI), adopté en conseil des ministres le 16 mars – il sera examiné par la nouvelle Assemblée nationale prochainement –, prévoit, lui, d’économiser des procédures judiciaires forcément gourmandes en juges, greffiers et procureur, en généralisant les amendes forfaitaires délictuelles (AFD) « à tous les délits punis de moins d’un an de prison ». Si cela est de nature à satisfaire les syndicats de police qui hurlaient l’an dernier devant le Palais-Bourbon que « le problème de la police, c’est la justice », les justiciables y perdraient en garanties puisque sur un simple constat de policiers ou de gendarmes ils pourraient être condamnés à une amende qu’on imagine importante, sans procédure contradictoire. Un déni de justice.

Autre dossier sur lequel il serait bon qu’Emmanuel Macron précise ses intentions, puisque la réduction du déficit de l’Unedic est un de ses mantras : le décret ayant réformé l’assurance chômage n’est valable que jusqu’au 31 octobre. En principe, la loi oblige le gouvernement à envoyer aux partenaires sociaux quatre mois avant, soit d’ici à la fin juin, « une lettre de cadrage » pour renégocier une nouvelle convention d’assurance-chômage. Or aucun bilan n’a été dressé de la précédente, qui a diminué substantiellement les allocations de centaines de milliers de chômeurs : le gouvernement Castex, dont la ministre du Travail était Élisabeth Borne, n’a jamais installé, comme il s’y était engagé, le « comité de suivi de la réforme » avec les partenaires sociaux.

Programme caché ou pas, la stratégie de l’esquive et le non-respect par le gouvernement des engagements qu’il s’est lui-même imposés suscitent des doutes légitimes sur ses intentions réelles. Et inquiètent."


https://www.politis.fr/articles/2022/06/le-programme-cache-de-macron-44565/

Anonyme a dit…

Des bisous 19:56 !


LES MYSTÉRIEUX 80 MILLIARDS DE LA MACRONIE!
Canard Réfractaire



https://youtu.be/3-KeA5zY_Pk




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