mardi 24 mai 2022

ELISABETH BORNE DE GAUCHE ? POURQUOI C'EST LA BLAGUE DE L'ANNÉE

Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "La retraite à 65 ans "n'est pas un totem" pour Elisabeth Borne qui promet de "ne pas mentir" aux Français" :

ELISABETH BORNE DE GAUCHE ? POURQUOI C'EST LA BLAGUE DE L'ANNÉE
Le Média

https://youtu.be/GpJqQCnzm9A

Bonjour tout le monde et bienvenue pour ce nouvel instant Porcher. Je suis ravie de vous retrouver. Comme chaque semaine, on va avoir des choses à dire, analyser et décrypter avec tous ces discours qui gravitent autour de nous ou parfois l'on peut s'y perdre. Notre meilleure arme démocratique : connaître et comprendre.

Au programme aujourd'hui, on passe à la loupe la nomination d'Elisabeth Borne première ministre ; et on fait un détour chez la NUPES pour décrypter le programme tout fraîchement sorti jeudi dernier.




 Borgne certainement de l’ oeil GAUCHE

7 commentaires:

Anonyme a dit…

"En 2018, 11 députés LREM avaient voté pour et 34 contre sur un total de 35 voix pour et 42 contre. La présence d’Amélie de Montchalin au ministère de la Transition écologique n’est pas la seule à faire grincer des dents. Marc Fesneau, nouveau ministre de l’Agriculture, a, lui aussi, voté en 2018 contre l’interdiction du glyphosate. C’est également lui qui, dans un article de Challenges en 2020, avait traité les écolos et les vegan de “fous dangereux”."


https://www.huffingtonpost.fr/entry/glyphosate-montchalin-justifie-son-vote-contre-linterdiction-en-2018-la-gauche-setouffe_fr_628c9f8ae4b0933e736a2b78

Anonyme a dit…

"Aux yeux des Français, ce gouvernement Borne n'incarne pas la nouveauté promise par Emmanuel Macron. Lors de son investiture pour son second mandat, le président de la République avait en effet déclaré que "le peuple a confié à un président nouveau un mandat nouveau". Mais pour 70% des Français, ce gouvernement n'incarne pas la nouveauté, un "mandat nouveau", dont 38% répondant "pas vraiment" et 32% "pas du tout". A l'inverse, 29% considèrent qu'il incarne la nouveauté, dont 25% plutôt et 4% tout à fait.

Par ailleurs, alors que le ministre Damien Abad, chargé des Solidarités, de l'Autonomie et des Personnes handicapées, est accusé par deux femmes de viols en 2010 et 2011, des allégations qu'il récuse, une courte majorité de Français (53%) pense qu'un membre du gouvernement visé par des accusations de viols ou d'agressions sexuelles doit démissionner. Au contraire, 46% estiment que tant que la justice ne s'est pas prononcée, il y a présomption d'innocence et un membre du gouvernement ne doit pas démissionner."


https://www.lexpress.fr/actualite/politique/sondage-exclusif-ce-que-pensent-les-francais-du-gouvernement-borne_2174056.html

Anonyme a dit…

« Incompatible ». Dans un avis rendu public ce mardi, la Haute autorité pour la transparence de la vie publique a refusé – chose rare – l'un des projets de reconversion professionnelle de Jean-Baptiste Djebbari. L'ancien ministre délégué aux Transports ambitionnait de rejoindre le « pôle spatial » de la société de transport maritime CMA-CGM, « en qualité de vice-président exécutif », fonction qui l'aurait de facto propulsé membre du comité exécutif du groupe.

Sauf que le pantouflage est encadré par la loi. Le Code pénal régule le passage du secteur public vers le secteur privé – afin de prévenir tout cas de figure dans lequel un ministre qui serait chargé de contrôler une entreprise privée pourrait être recruté par celle-ci juste après la fin de son mandat."
(...)


https://www.marianne.net/politique/gouvernement/pantouflage-avorte-de-jean-baptiste-djebbari-a-la-cma-cgm-la-hatvp-a-dit-non

Anonyme a dit…

URGENCES : "ON VA AVOIR DES MORTS, ET ON LE SAIT"
Le Média



https://youtu.be/Eb6h_UikLlQ



La Société française de médecine d’urgence tire la sonnette d’alarme. Selon l’association, près de 120 services d’urgence privés ou publics risquent de rencontrer d’importantes difficultés cet été, voire de fermer leurs portes. L’ampleur du phénomène est inédit. Comment expliquer une telle crise ?

Pour en parler, notre journaliste Cemil Şanlı reçoit Pierre Schwob Tellier, infirmier aux urgences de nuit de l’hôpital Beaujon à Clichy et membre du collectif Inter-urgences.

Anonyme a dit…

LÉGISLATIVES : GROSSE PANIQUE EN MACRONIE!
Le Média



https://youtu.be/vdBENfclymk



Deuxième épisode de “Direction Palais Bourbon”, notre module qui vous dit tout sur la campagne en vue des législatives.

Au sommaire : Emmanuel Macron et l’épreuve de feu à laquelle il soumet, tel un Néron dans les gradins d’une arène, les ministres et ex-ministres de son camp. A commencer par la Première ministre Elisabeth Borne, qui sera contrainte de démissionner en cas de défaite. Nous pensons aussi à Jean-Michel Blanquer, débarqué du ministère de l’Education nationale et qui doit gagner les législatives pour continuer d’exister politiquement. Sur le terrain, Borne et Blanquer se font chahuter. Dure dure la vie loin des tapis rouges et des lustres dorés de la République…

Qui mérite la médaille d’or du trolling politique ? Le petit parti pro-chasse LMR, le mouvement pour la ruralité, qui a réussi à présenter une Sandrine Rousseau contre LA Sandrine Rousseau écolo, candidate de la NUPES.

Jordan Bardella, président du Rassemblement national et successeur putatif de Marine Le Pen, a gaffé sur France Info. Une bourde qui s’inscrit dans une série d’instants dignes de “Malaise TV”. Des instants offerts gratuitement par les candidats RN.

Et la circonscription du jour est celle de Damien Abad, tout nouveau ministre des Solidarités venu des Républicains, et qui est d’ores et déjà sur la sellette. Accusé de viols, il était toujours au gouvernement, au moment où nous tournions.

Anonyme a dit…

"Tout juste nommé ministre du Travail, Olivier Dussopt est chargé de mener à bien la réforme décriée du système des retraites voulue par Emmanuel Macron. Un gros morceau pour cet ancien député socialiste, qui s'est converti au macronisme en trois jours.

Le brûlant dossier des retraites est sur son bureau. Tout frais ministre du Travail, Olivier Dussopt se lance dans le marathon qui doit conduire à l'adoption de la réforme des retraites promise par Emmanuel Macron. Le calendrier reste flou, l'ancien député socialiste a tout juste confié sur RTL qu'il commence à rencontrer les partenaires sociaux ce mardi 24 mai, pour préparer une « concertation » qui doit commencer « au mois de septembre » ou « au mois d'octobre ».

Olivier Dussopt est aussi resté évasif sur l'objectif du gouvernement. Après avoir envisagé de repousser l'âge de la retraite à 65 ans, Emmanuel Macron a laissé la porte ouverte à 64 ans. Une ambiguïté que continue d'entretenir Dussopt. Tout peut encore être débattu laisse entendre la Macronie."
(...)


https://www.marianne.net/politique/gouvernement/olivier-dussopt-le-roi-du-retourne-acrobatique-est-charge-de-la-reforme-des-retraites

Anonyme a dit…

MÉLENCHON CONTRE BORNE : QUI EST DE MAUVAISE FOI ?
Le Média



https://youtu.be/FphyyC_VsKQ



En interview, Jean-Luc Mélenchon part du principe que la Première ministre Elisabeth Borne mènera une politique libérale. Les journalistes croient pouvoir y repérer un procès d’intention : “mais quand même, elle vient de la gauche ! On ne peut pas savoir ce qu’elle fera puisque ses intentions nous sont inaccessibles.”

Mais Mélenchon justifie ses anticipations de l’action future de Borne par ses actions passées, qui ne sont que l’application stricte du macronisme : privatisation des autoroutes, ouverture du secteur ferroviaire à la concurrence, fin du statut du cheminot, réforme de l’assurance-chômage…

Qu’une ministre issue de la technocratie d’Etat ou d’entreprise, ayant appliqué avec rigueur les réformes de droite d’un gouvernement de droite, continue dans cette voie une fois Première ministre, cela semble évident, et se passe de démonstration. C’est bien plutôt à celui qui croit en la possibilité d’une rupture de prouver son point. Ici ce n’est pas Mélenchon le sophiste, ce sont les journalistes, car ils inversent la charge de la preuve.

Quoi qu’il en soit, en faisant semblant qu’il y a un vrai débat pour savoir si Borne est de droite ou de gauche, ces journalistes et commentateurs installent dans le débat public l’idée que la future politique gouvernementale pourrait être différente de celle qu’on a subie jusqu'ici, et rendent moins audible l’idée qu’il faille imposer à Macron un Premier ministre de gauche, ou du moins une forte opposition de gauche au Parlement.