jeudi 7 avril 2022

elle montre qu’Emmanuel Macron savait les dangers mortels de l’épidémie lors des municipales de mars 2020 qu’il a maintenue malgré les risques encourus pour nombre d’élus et d’électeurs.


Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Laurent Bigorgne, la dérive toxique d'une étoile de la macronie – Libération" :

LES RÉVÉLATIONS D'UNE DÉPUTÉE AU COEUR DU SYSTÈME MACRON
Blast, le souffle de l'info

https://youtu.be/SA6i-wntMJQ

En 2017, Frédérique Dumas a milité pour « En marche » et est devenue une députée LREM des Hauts de Seine, très proche d'Emmanuel Macron avec qui elle échangeait régulièrement sur de nombreux sujets en particuliers culturels. Productrice de cinéma et un temps pressentie pour devenir ministre de la culture, elle déchantera lentement mais sûrement de la Macronie puis de son leader maximo.

Elle quitte le mouvement en septembre 2018 mais continue à avoir des échanges épistolaires avec le président de la République jusqu'à la crise Covid où, c'est une des révélations de cet entretien tonitruant, elle montre qu'Emmanuel Macron savait les dangers mortels de l'épidémie lors des municipales de mars 2020 qu'il a maintenue malgré les risques encourus pour nombre d'élus et d'électeurs.

Cynique, calculateur, obsédé par les échéances électorales, inaffectif, déniant la réalité, le portrait brossé du président et de son homme lige Alexis Kolher est glaçant. « Il joue en permanence au poker avec nous, c'est un algorithme » glisse Frédérique Dumas qui en profite pour tailler des costumes trois pièces à toute l'élite de la Macronie.

D'Alexis Kolher manipulateur et pervers à Édouard Philippe qui ne « regarde jamais ses adversaires dans les yeux » à toute la clique d'opportunistes et de traine-mocassins qui encombrent les allées du pouvoir Gabriel Attal et roselyne Bachelot en tête. L'ex-députée LREM ne rate jamais sa cible car elle n'est à aucun moment rancunière ou belliqueuse. C'est ce qui donne une grande force à ce Zoom arrière de haut vol, mais aussi au livre servant de support à la conversation « Ce que l'on ne veut pas que je vous dise » (éditions Massot).

François Bayrou ou Valérie Pécresse ainsi que plusieurs stars du cinéma en prennent aussi pour leur grade ici : « Il était temps pour moi de témoigner de ce que j'ai vu, entendu, vécu de l'intérieur qui mine notre vie démocratique et nos espérances et d'imaginer un nouveau chemin » énonce Frédérique Dumas. Le livre sort quelques jours avant le premier tour de la Présidentielle.

Si quelqu'un a dans son entourage un électeur hésitant ou vantant la sincérité d'Emmanuel Macron, il faut d'urgence lui passer cet entretien ou lui offrir le livre. Afin qu'il ne puisse pas dire ensuite qu'il ne savait pas et pour qu'il comprenne que nous sommes en train de livrer les clés du pays à un enfant de Machiavel dopé à l'adrénaline du pouvoir. Une sorte de robot humain programmé pour charmer les foules, mais dont le cœur est un algorithme au service d'un capitalisme de plus en plus sauvage.

Journaliste : Denis Robert
Montage : Camille Chastrusse
Images : Arthur Frainet
Son : Baptiste Veilhan
Graphisme : Adrien Colrat
Diffusion : Maxime Hector
Production : Thomas Bornot
Direction des programmes : Mathias Enthoven
Rédaction en chef : Soumaya Benaissa

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Frédérique Dumas parlait déjà du "Titanic" en 2018

"En 2018, il aurait décidé seul "pour faire moderne" de supprimer la chaîne de télévision France 4, une heure avant la conférence de presse de la ministre de la Culture, Françoise Nyssen. Elle a découvert l'information quelques minutes avant de prendre la parole.

Ce n'est pas la première fois que la députée juge très sévèrement l'exécutif. Dans un long entretien au Parisien en 2018, elle avait dénoncé le peu de considération pour le travail du Parlement de la part du président.

"Travailler dans l'espoir d'être écouté, voire entendu, faire bouger les lignes est tout simplement impossible avec l'exécutif et compliqué avec le groupe. Même donner un avis est vu comme une fronde s'il n'est pas conforme", avait justifié Frédérique Dumas pour expliquer son départ.
"On nous explique que les ministres doivent faire des sacrifices personnels en abandonnant leurs convictions, leurs idéaux, qu'il faut avaler toutes les couleuvres, pour rester au gouvernement. C'est dangereux", avancait-elle encore.

Avant de conclure : "On a le sentiment d'être sur le Titanic"."



https://www.bfmtv.com/politique/elections/presidentielle/edouard-philippe-odieux-jean-michel-blanquer-paranoiaque-quand-une-ex-deputee-lrem-etrille-la-macronie_AN-202203310254.html

Anonyme a dit…

ENQUÊTE : RÉVÉLATIONS SUR L'HOMME DE L'OMBRE DE LA MACRONIE
Le Média



https://youtu.be/yH0qYfj18T0




Thomas Dietrich vient présenter les résultats de la dernière enquête du pôle investigation, financé exclusivement par vous ! Des révélations exclusives qui pourraient faire trembler plus d’une personne !
Vous ne connaissez sans doute pas son nom, mais Laurent Obadia est pourtant l’un des rouages essentiels de la Macronie. Ce communicant redouté dans le Tout-Paris est l’un des artisans de la terrible OPA de Veolia sur Suez. Proche d'Emmanuel Macron, l'homme a eu mille vies et cultive mille réseaux. Grâce à des documents jamais rendus publics, le Média éclaire la trajectoire d'un Laurent Obadia qui a frayé avec le maître-espion Bernard Squarcini, est parti en vacances aux frais de l’un des financiers du Front National, et s'est adonné à des activités d'espionnage envers le mentor de Volodymyr Zelensky. Entre grands noms du macronisme et missions de surveillance à la limite de la légalité, plongée dans un monde trouble où se mêlent trahisons, dictatures et paradis fiscaux.

Anonyme a dit…

"Dans un texte courroucé, Mathieu Slama, auteur du récent « Adieu la liberté. Essai sur la société disciplinaire » (Presses de la Cité), dresse son bilan du macronisme, qu'il définit comme « une contre-révolution managériale aux accents profondément réactionnaires et autoritaires »."
(...)

4 - EMMANUEL MACRON ET LA CRISE SANITAIRE

"Mais la destruction de notre État de droit n’a jamais été aussi grave et manifeste que lors de la crise sanitaire. Comme l’a très bien expliqué le juriste Paul Cassia dans un récent article lumineux, nos libertés ont été « sauvagement piétinées » pendant deux ans, du confinement total au couvre-feu, du port du masque obligatoire dans la rue au passe sanitaire puis vaccinal, outils monstrueux d’ingénierie sociale qui rendent désormais possibles à peu près tous les abus et toutes les dérives imaginables.

La France est aujourd’hui un champ de ruines démocratique. Nous avons accepté que notre Premier ministre nous dise, sur un ton martial, que « le couvre-feu est maintenu jusqu’à nouvel ordre » ; nous avons accepté de voir notre vie sociale conditionnée à un QR code activable et désactivable par l’État ; nous avons accepté, donc, de conditionner la pleine citoyenneté à un statut vaccinal ; nous avons accepté d’être enfermés chez nous sous surveillance policière ; nous avons accepté que le chef de l’État lui-même explique qu’il avait « très envie d’emmerder les non-vaccinés », autrement dit des millions de Français ; nous avons accepté des humiliations et des discriminations insensées. Ces acceptations ne sont pas des petites choses : elles sont des renoncements, et marquent la sortie définitive d’un pays de liberté pour entrer dans un régime d’ordre et de discipline où le principe de sécurité permet d’attenter à toutes nos libertés. C’est une rupture majeure.

La révolution démocratique annoncée par Emmanuel Macron en 2016 a en fait été une contre-révolution. «Nous avons, en tant que citoyens, des devoirs avant des droits» : c’est par ces mots que le chef de l’État a défini son idéologie politique. Et c’est par ses mots que se sont achevés ces cinq années de macronisme, véritable contre-révolution managériale aux accents profondément réactionnaires et autoritaires, dans la trahison complète de nos idéaux révolutionnaires et républicains. Alors, à quelques jours du premier tour de l’élection présidentielle, il convient de se demander : cinq ans de plus, vraiment?"



https://www.marianne.net/agora/tribunes-libres/mathieu-slama-ce-quemmanuel-macron-a-fait-a-la-france

Anonyme a dit…

Un grand courage cette dame ainsi que Martine Wonner .
Bravo Mesdames vous avez un sixième sens fort aiguisé et merci pour votre droiture .

Anonyme a dit…

DÉPOSSESSION : MACRON VA TUER L'HÔPITAL PUBLIC
Blast, le souffle de l'info



https://youtu.be/gVGdLAE4qo4




"L'hôpital est malade et les soignants aussi sont malades. J'ai connu de très beaux jours à l'hôpital et je me suis rendue compte au fur et à mesure que l'hôpital était en train de mourir de l'intérieur. Chaque réforme qui vient, elle affaiblit un peu plus l'hôpital."

"On a été héroïques parce qu'on était en guerre et on a répondu présent. Tous les soignants étaient là. Personne n'a compté ses heures. Personne n'a compté ses efforts."