On continue 🤡🤡🤡
Une autre promesse bidon
Si il est élu Macrouné va permettre l' autonomie mais de qui donc ?
je te le donne en mille Emile …
Ben, de la Corse voyons, qui est depuis plusieurs jours à feu et à sang
Je conseille donc aux bretons une libération complète
Et je ne parlerai pas de l'Alsace et de la Lorraine
Mais vois tu Emile j' aimerais que Paris soit indépendant
Afin que cette armée de politiques prétentieux, dépassés par les évènements et pour certains véreux ,
Lâche la Grappe 🍇 à nos belles provinces qui fonctionnent très bien sans leurs directives de plus en plus autoritaires et « absconnes »(si vous connaissez mal ce mot, je le traduirai donc phonétiquement par absolument connes , ce qui n'est pas et vous le savez sa signification exacte)
Paris ne sera plus le coeur 💓 de la France, mais un bidule qui tournera en rond en s' auto-alimentant bon débarras !
Vive la 7eme REPUBLIQUE !
10 commentaires:
Du point d'indice des fonctionnaires à la pluie de sable du Sahara, le tempo...
FACE À LA CENSURE, RÉSISTONS
Blast,le souffle de l'info
https://youtu.be/JJ9AlAusohU
- International maintenant.
Une question reste en suspens: quel est le projet de Vladimir Poutine?
- Va t il s’arrêter à l’invasion de l’Ukraine?
- Pourquoi penser le contraire? Même si à la télévision d'État russe des experts militaires discutent ouvertement de plans pour envahir la Lituanie, l’Estonie, voire la Suède et la Pologne.
- Ouais mais nan, c’est impossible, ça peut pas arriver jusqu’à nous, les français.
- J’ai l’impression que ça se rapproche quand même non ?
- Nooon
- Vous entendez cette musique ?
Grand superviseur suprême : Bruno Gaccio
Auteurs : Bruno Gaccio, Aude Gogny-Goubert, Patrick Chanfray
Comédiens : Aude Gogny-Goubert, Patrick Chanfray, Françoise Merle
Réalisation : Ameyes Aït-Oufella
Son : Baptiste Veilhan
Direction artistique : Adrien Colrat
Diffusion : Maxime Hector
Production : Thomas Bornot
Direction des programmes : Mathias Enthoven
Rédaction en chef : Soumaya Benaissa
FAUT-IL SUPPRIMER L'ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE? LPSR, ÉPISODE 2
Blast, le souffle de l'info
https://youtu.be/6x12V3-vDjY
À la fin de chaque mandat, c’est toujours le même tableau : on présente au Peuple français des candidats, petits ou grands, bobo ou populo. On les aime, on les adore, on les déteste, on les combat, on les choisit et ils nous gouvernent pendant cinq ans.
On a presque l’impression que sans ça, le ciel nous tomberait sur la tête.
Mais une petite rengaine revient régulièrement : dans l’ensemble, les français n’ont pas trop confiance en leur système politique.
De l’autre côté, on voit qu’Allemands et Anglais semblent beaucoup plus confiants dans leurs élus.
En France, dans le détail, cette confiance varie beaucoup selon les institutions : le Conseil municipal bénéficie d’une très large confiance chez les sondés. Là où les assemblées parlementaires, moyennement et le Président : beaucoup moins.
C’est un schéma répétitif et constant : nous nous méfions de nos représentants.
Si notre démocratie est si bonne et si unique, pourquoi les français n'ont-ils pas confiance en elle ? Qu’est-ce qui participe à cette défiance ? Et d’où est-ce que ça vient ?
A la surprise générale (non) : le problème principal, c’est l’élection présidentielle.
De par ce qu’elle est et ce qu’elle représente, l’élection présidentielle a tué la démocratie française.
Et c'est ce que nous allons voir dans ce deuxième numéro du Peuple a ses raisons.
Auteur : Victor Ulysse Sultra
Montage : Camille Chastrusse
Images : Arthur Frainet, Lilian Poulain, Noé Poulin, Joanna Marcos
Son : Baptiste Veilhan
Graphisme : Adrien Colrat
Diffusion : Maxime Hector
Production : Thomas Bornot
Direction des programmes : Mathias Enthoven
Rédaction en chef : Soumaya Benaissa
CORSE, GUADELOUPE, GILETS JAUNES... MACRON, CINQ ANS DE MÉPRIS
Le Média
https://youtu.be/N_eIbLGMv9w
Dans cette nouvelle chronique, le porte-parole jeunesse de la France insoumise revient sur la gestion de la colère sociale par Emmanuel Macron durant son quinquennat. Alors que la colère des Corses fait de nouveau l’actualité à la suite de la tentative d’assassinat d’Yvan Colonna, David Guiraud dénonce le mépris généralisé du gouvernement "pour tout ce qui sort de Paris".
Des Gilets Jaunes aux quartiers populaires, en passant par la colère sociale dans les départements et régions d’outre-mer, pour David Guiraud, "ceux qui se séparent des autres, ce sont ceux qui sont en haut, en responsabilité".
Une rumeur qui enfle
Colonna serait décédé
Macron tremble
"Le magazine « Réseau d’enquêtes » est alarmiste concernant les conditions de travail des professionnels de santé. Sur le terrain, dans l’Est, médecins et soignants restent néanmoins dévoués et proposent des solutions."
(...)
« A gérer des hôpitaux comme des usines, les petites mains souffrent », dénonce Pascal Pannetier, chef du pôle psychiatrie du CH de Jury-les-Metz. Pour parer au plus pressé, les hôpitaux vont jusqu’à embaucher des « mercenaires » (rétribués 3 000 euros la semaine aux urgences, quand l’urgentiste en poste gagne de 4 000 à 6 000 euros par mois). Une aberration financière, alors que la gestion et le poids de l’administratif sont pointés à Thionville, Nancy et Metz."
(...)
https://www.lemonde.fr/culture/article/2022/03/16/la-lente-agonie-de-l-hopital-public-sur-france-3-soigner-le-plus-beau-metier-du-monde-quand-meme_6117815_3246.html
TRIBUNE
"Face à Emmanuel Macron et sa stratégie de la «tacite reconduction» qui n’a pas caché sa volonté de poursuivre sur sa lancée mais en pire, un collectif dont Ariane Ascaride, Laurent Binet ou Alice Zeniter… riposte avec le hashtag #PasDeDébatPasDeMandat.
par Un collectif d'écrivains, de réalisateurs, de philosophes, de psychiatres et d'économistes...
publié le 15 mars 2022 à 18h46
Oui, il y a la guerre. Mais il se trouve qu’il y a aussi une campagne présidentielle. De qui cette situation fait les affaires, la chose est assez claire pour tout le monde. Une réélection sans campagne, quelle riche idée. Une campagne annulée par cas de force majeure, quelle providence. Nous avions compris que Macron avait pour idéal le renouvellement de son mandat par tacite reconduction. Qu’il y aurait une guerre et qu’il s’en servirait avec le dernier degré d’hypocrisie opportuniste, nous pouvions plus difficilement le voir venir. L’expérience historique enseigne assez qu’un état de guerre soude un pays pour le moins pire ou pour le pire – c’est-à-dire produit sur le débat public un effet comparable à celui d’une pelleteuse sur un parterre floral. On ne parle plus d’aucune autre chose, et on n’en parle plus que pour en dire la même chose.
Or une campagne est un moment où – en théorie… – toutes les autres choses reviennent à l’agenda, et avec elles leur charge de dissensus. Qu’elles en aient été si radicalement chassées est une situation d’une anomalie choquante. Elle l’est d’autant plus que nous voyons assez dans quel état de démolition le quinquennat a laissé le pays, et que s’il est une chose que le candidat-par-tacite-reconduction n’a pas cachée, c’est son «projeeeet» de poursuivre en pire. Comme Bourdieu l’avait fait remarquer très généralement à propos du néolibéralisme, il y a dans le macronisme un désir fanatique de détruire toutes les structures collectives, en particulier les services publics, et jusqu’à l’«Etat de politiques publiques» par cabinets de conseil interposés.
Une politique anti-sociale violente
La réalité après cinq ans de macronisme, c’est que l’hôpital est en ruine, la justice est en ruine, l’école est en ruine, les libertés publiques sont en ruine, la grande cause du féminisme est une blague, Make Our Planet Great Gain est une énorme blague – mais la police est toute-puissante et la surveillance numérique en train de passer des caps orwelliens. La réalité de cinq ans de macronisme, c’est qu’on n’a jamais connu une politique anti-sociale d’une telle violence, si outrageusement occupée des riches, si acharnée à mépriser ceux qui ne le sont pas. Le macronisme nous aura fait découvrir les gilets jaunes qui font un repas tous les deux jours, les étudiants à la soupe populaire, les parents d’enfant décédé dont les jours de congé «pénalisent les entreprises», la recherche d’emploi en traversant la rue, la négation de l’assurance chômage transformée en férule à mettre les individus à la merci des employeurs – et le mensonge et la violence érigés en moyens ordinaires de gouvernement.
Emmanuel Macron en est si satisfait qu’il a l’intention de tout prolonger et de tout aggraver – on comprend que dans son esprit il n’y ait pas lieu d’en discuter puisqu’au menu il n’y a que du même en davantage. Pour toutes celles et ceux sur qui ce «même» va s’abattre, en revanche, on aimerait bien pouvoir en parler un peu : massacre des retraites, démolition de l’université, poursuite des cadeaux fiscaux aux entreprises, abandon des salariés à la vague d’inflation là où ni le capital ni le gouvernement ne lâcheront plus que quelques miettes sur le smic ou sur le point, approfondissement silencieux de la désertification des zones rurales par «rationalisation» (fermetures, regroupements, des services publics).
[...]
Ne le laissons pas faire. Il se planque ? #OnVaLeChercher. #PasDeDébatPasDeMandat.
Signataires : ..."
https://www.liberation.fr/idees-et-debats/tribunes/campagne-presidentielle-pasdedebatpasdemandat-par-adele-haenel-annie-ernaux-barbara-stiegler-20220315_2LHY7PNVVFFLPK7JA5NPUV3B6A/
https://m.huffingtonpost.fr/amp/entry/pasdedebatpasdemandat-le-hashtag-qui-veut-faire-exister-le-debat-dans-la-presidentielle_fr_6231e99be4b0e01d97b3d294/
Sarkozy visitait mamie Zinzin (alias Liliane B.), Macron s'est-il rendu au chevet d'Abdelaziz B. ?
CAMPAGNE DE MACRON : DE L'ARGENT LIQUIDE VENU D'ALGÉRIE ?
Le Média
https://youtu.be/frN6IhkOcbQ
Le président français Emmanuel Macron a-t-il bénéficié, lors de son accession au pouvoir, du soutien discret d’un certain nombre d’oligarques algériens historiquement liés au régime du défunt Abdelaziz Bouteflika ou aux gros bonnets de l’armée ?
C’est cette piste qu’explorent Yanis Mhamdi et Jean-Baptiste Rivoire, du tout média vidéo spécialisé dans l’enquête, Off Investigation. Ils viennent de publier sur la chaîne YouTube et le site Internet de Off un documentaire passionnant que nous vous invitons à prendre le temps de regarder.
« – C’est moi le plus de droite ! – Ah non, c’est moi ! » Dans la course à l’échalote qui l’oppose à Valérie Pécresse pour durcir les conditions d’accès au RSA, Emmanuel Macron mène désormais d’une courte tête grâce à son fidèle Christophe Castaner. Venu défendre sur BFMTV la proposition consistant à imposer aux allocataires du RSA de consacrer « 15 à 20 heures par semaine à une activité facilitant l'insertion professionnelle », le président du groupe LREM à l’Assemblée nationale a en effet affirmé, ce lundi 21 mars, que l’allocation était « la réponse des lâches » à la question de la solidarité nationale. « C'est juste dire : voilà, prenez un peu d'argent. Ben non, on préfère accompagner », a expliqué l’ancien socialiste. Encore faut-il que les bénéficiaires du RSA soient en situation d’être « accompagnés » : à en croire les données compilées par la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees) dans son rapport de 2021, cela n’a rien d’évident."
(...)
https://www.marianne.net/economie/protection-sociale/travailler-pour-toucher-le-rsa-mais-au-fait-comment-vont-faire-les-pauvres
"La surprise, c'est que ce rapport ne sera pas public et c'est inquiétant", a déclaré vendredi 25 mars sur franceinfo Laurent Garcia, cadre infirmier. Il a travaillé huit mois à la maison de retraite Orpea de Neuilly-sur-Seine, dans laquelle il décrit un quotidien épouvantable. Il est à l'origine de l'enquête Les Fossoyeurs, publiée aux éditions Fayard. Le rapport d'enquête administrative déclenchée à la suite des révélations du livre, établit par l'Inspection générale des Finances (IGF) et celle des Affaires sociales (Igas), ne sera pas rendu public."
(...)
https://www.francetvinfo.fr/societe/prise-en-charge-des-personnes-agees/scandale-dans-les-ehpad-orpea-le-rapport-d-enquete-ne-sera-pas-public-et-c-est-inquietant-juge-un-cadre-infirmier_5045116.html
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