samedi 30 octobre 2021

Interdire , comment vivre ensemble ?

Interdire , comment vivre ensemble ?


Comment vivre ensemble sans interdire ?
Nous la génération des « juste après guerre » avons vécu la meilleure période de notre civilisation , nous étions jeunes !
Mais pas que …
Pourquoi ne pas arrêter la fabrication ?  

Depuis quelques années nos instances dirigeantes , « pour notre bien » ont appliqué des contraintes par propagande, confirmées petit à petit par des interdits
« Pour notre bien » bien sur :
La ceinture de sécurité , la vitesse, etc …
Fumer dans les lieux publics (mais sans interdire la vente de tabac , trop rentable)
Il en est de même pour l 'alcool qui est resté au stade de la propagande
La liste est longue
Mais voilà d' autres interdits moins « pour notre bien » se mêlent à ce flot , et sont donc plus facilement assimilables
Par exemple à partir du 1 novembre les pneus neige ou chaînes seront obligatoires
(Voir post ci-dessous)
Quelle que soit la météo , absurde, mais c'est la loi
Tous ces interdits suivent le délire de « lobbyeurs mot inventé » avec une arrière pensée de profit
A vous de trouver d' autres exemples plus marquants, il y en a, mais je fatigue …
Mais c'est bien sûr il y a aussi tout ce qui gravite autour de la santé : grippe, bronchiolite, covid etc… Ou la propagande et les interdits font rage

Tout ça pour ne pas répondre à la question
« comment vivre ensemble sans interdire ? »
C'est nul !

Leréboussierquinesaitplusquoidire






3 commentaires:

Anonyme a dit…

Une liberté associative fragilisée

"Au-delà même de la cellule Demeter, un rapport conduit par un groupe de chercheurs à la demande de l’Observatoire des libertés associatives fait en octobre 2020 le constat "d’atteintes aux libertés associatives dans la France contemporaine". L’analyse d’une centaine de cas révèle des pressions allant de la suppression de subventions à la privation de locaux, en passant par les procédures judiciaires abusives, les amendes à répétition ou l’atteinte réputationnelle. Le cas de la porte-parole de l’association de défense de l’environnement Sepanso des Landes y est notamment cité. Opposée à un projet de dragage d’un lac, sa maison avait été qualifiée de "taudis" dans un message posté sur sa page Facebook personnelle par le maire d’Hossegor, suscitant des messages de menaces. Poursuivi par la militante environnementale, le maire d’Hossegor a été relaxé.

“Il y a un recul de la liberté associative", estime Benjamin Sourice, de l’association VoxPublic. Il évoque également "une criminalisation et une gestion beaucoup plus policière de l’opposition politique que représentent désormais les associations". En février 2020, un collectif de 28 associations, dont la Ligue des droits de l’Homme, a réclamé au Premier ministre la dissolution de la cellule Demeter. L'initiative a été renouvelée en juillet 2020 par 12 associations et la Confédération paysanne, auprès cette fois du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin. Les signataires pointaient les "dérapages" du dispositif et se disaient "extrêmement inquiets face aux nombreuses dérives possibles d’une cellule de renseignement au mandat flou".

Cette préoccupation du monde associatif n'a fait que croître avec la loi du 24 août 2021 "confortant le respect des principes de la République", également qualifiée dans le débat public de "loi contre le séparatisme". "Cette loi renforce le contrôle sur les associations, s’inquiète encore Benjamin Sourice. L’État et les collectivités imposent aux associations de signer un contrat d’engagement républicain avec un certain nombre de critères à respecter, notamment le fait de ne pas avoir recours à la désobéissance civile, qui fait pourtant partie du mode d’action des associations. De même, les aides matérielles ou les agréments pour agir en justice au nom de l’environnement pourront plus facilement être retirés. Tout cela va contribuer à faire taire les voix critiques et à étouffer le milieu associatif."

Contactés au sujet de la cellule Demeter, ni Christophe Castaner, ni le ministère de l’Intérieur, ni la Direction générale de la gendarmerie nationale n’ont souhaité répondre aux questions de la cellule investigation de Radio France."



https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/agriculture/deux-ans-apres-sa-creation-la-cellule-demeter-de-la-gendarmerie-fait-toujours-polemique_4826105.html

Anonyme a dit…

A la tribune, la députée Mathilde Panot cite Stromae... puis se fait censurer par la macronie !
La Luciole Mélenchantée



https://youtu.be/I3rOc4Qp0J0



Santé ! - "Mon amendement pour donner le budget réception de l'Élysée à l'hôpital public a été refusé sans raison. Quand je cite l'amendement, le vice-Président m'interdit de poursuivre. Quelles sont ces méthodes ? On ne peut plus parler d'Emmanuel Macron ? Retour du crime de lèse-majesté?!", a tweeté ce 30/10/2021 la députée et présidente du groupe La France Insoumise à l'Assemblée nationale. https://twitter.com/MathildePanot/sta...

Anonyme a dit…

« Ce chanteur se dit woke, mais ce n’est pas vraiment un SJW ; c’est un cis-hétéro non déconstruit qui a fait son beurre sur l’appropriation culturelle. » Si vous n’avez pas compris cette phrase, ce lexique est pour vous.

Le « wokisme », mot devenu péjoratif, désigne une mouvance militante regroupant divers combats contre les injustices sexistes, racistes, homophobes, et contre les atteintes à l’environnement. Le mot « woke » vient de l’argot des Noirs américains, c’est une déformation de woken (éveillé), le participe passé de wake : dans la communauté noire américaine, l’injonction à rester politiquement « éveillé » contre les violences racistes remonte à l’époque de l’esclavage.

Etre « woke » aujourd’hui, c’est être conscient de diverses injustices souvent ancrées et inconscientes. Et ne pas les laisser passer, quitte à passer pour le/la pénible de service."
(...)


https://www.nouvelobs.com/bibliobs/20211029.OBS50429/exclusif-notre-dictionnaire-woke-francais.html